Si tu lis ça... c'est ke tu passes trop de temps sur internet !

 

       Va bouger ton corps avec tes potes. Ca fait trop du bien. Ca te rapproche d'eux. Et après t'es fier de toi et tu te kiffs.

 

       J'te donne des idées pour arrêter de rêver la vie et te jeter dedans :

 

DANSE !

 

 

JONGLE !

 

CHAUFFE ! (Mdr les bledars ki s'mettent a faire comme nous !)

      

CONFRONTE-TOI !

JOUE !


FRIME !

 

SAUTE !

 
 
 
GRIMPE ! (T'es pas obligé de te saper ossi mal ke le 1er keum)
 

 
 
 
 
EXPLOSE-TOI ! (lol moi ossi j'l'avais le reflexe de me toucher la teub, 4e saut)
 
 
 
 
 
 

       Ton corps, c'est ton meilleur ami. T'as besoin de rien d'otre pour jouir et t'amuser.

       Moi en tout cas, j'fais une overdose d'internet. L'introspection, ça prend la tete kan on fait ke ca. J'vais profiter de mon avancée, de mon corps et de la vie. 

       J'vous aime tous !

 

 

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       Hier, un plan vite fait avec Yohan s'est transformé en fiasco. Cki a fait basculer le truc, c'est ke j'me suis vu de l'extérieur. D'habitude, je plonge entièrement dans mon corps, dans mes sensations, je me laisse diriger sans voir, jusqu'à l'extase. Hier, je me suis vu de l'extérieur, comme un spectateur de mon humiliation. Elle est devenue réelle pour moi. Ca a tout cassé d'un coup. Merci Yohan pour la longue discussion ki a suivie et pour ton amitié.

       Ecrire cke je vais ecrire, ca fait lourd dans le ventre. J'ai réalisé combien j'assumais pas au fond ce ke je faisais avec Yohan. Combien j'assume pas ma part sombre.

       Fiso, depuis ton article sur ton blog : "Ambivalence", ya un truc ki me travaille. T'écris "Parce qu’on pourrait voir une forme d’autopunition dans ce qu’il vit ?" J'y avais jamais pensé ke je pouvais me punir de kelke chose. Depuis j'essaye de trouver kelle est ma faute, mais je crois ke je trouve pas. Me punir d'exister ? d'être né comme je suis ? d'avoir pris la place de mes grands frères ? de pas etre conforme à cke ma famille attend de moi ? à cke la société attend de moi ? J'en sais rien. Un truc ke j'ai du m'imaginer petit et ki est resté. Une sorte de saleté ke je porte avec moi.

         Boby, tu m'as bien claké ce coup-ci. En m'aidant à me rappeler combien je peux, parfois, me détester ou me mépriser. J'te règlerai ton compte plus tard ! Ca m'a bien niké ma journée et ça m'a ossi permis de capter ça.

         Oui, j'ai deux parts en moi-même. Une sombre et une claire. Je les aime autant l'une ke l'autre. J'y suis attaché car elles me donnent ma force. Il y'en a une ke je présente au monde, l'autre ke je cache. En attendant de me pardonner...

 

 

 

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Pour illustrer l'article : Trop lourd à porter seul.              

    

 

  1- L'humilité du fautif innocent.

Baisser la tête pour ne pas risker d'offenser l'autre par son regard.

 

 

 

           2 - "Fuck me" écrit par un autre.

 Etre rien d'important, voila ce ki me calme, en attendant de me pardonner.

 

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           Ca fait longtemps ke j'voulais voir le Tour de France se casser la gueule. Ca arrive ! Là encore c'est grace à l'exigence des gens k'on va finir par s'en sortir.

 

            Kan j'étais petit, j'le regardais avec mon père. J'm'emballais pas comme mes reufs mais j'aimais bien. Le vélo partage avec la boxe le même niveau social des pratiquants. Ya des choses belles dans le velo, notamment le fait ke les equipes ne sont pas faites sur un critère de nationalité, et puis la tactique d'equipe, les relais, etc. Moi cke j'aimais bien avec le Tour de France, c'est ke j'voyais mon pays. Pendant les vacances, on restait chez nous, ou alors on allait au bled selon les années. Donc la France j'la voyais k'a la télé. J'etais super fier kan j'voyais comment c'était beau.

 

            Le dopage, j'l'ai deja dit, c'est la plaie du sport. Mais c'est aussi le reflet de la société. Celle ki dit, k'ya une seule place, celle de devant et k'on peut tout utiliser pour y être. Celle ki prend des antibiotiks pour soigner un rhume ki serait passé tout seul. Celle ki se bourre de vitamines ou d'anti-dépresseurs.

 

             Ce ki se passe cette année est vraiment une bonne chose, à commencer par le refu des chaines allemandes de retransmettre. L'exigence, l'éthique, c'est cki peut rendre les hommes forts. Comme c'est compatible avec le libéralisme, on a des chances d'y arriver. Paske j'vois pas kel sponsor va payer pour une équipe ki se fait cracher dessus. Mais ça dépendra ke de l'exigence du citoyen. Là l'exigence c'est : Le corps, c'est toi, pas une machine. Si t'aime le pousser à ses limites, fais-le en sentant cke ça lui procurre comme sensation. Jouis ! Mais fais-le pour ton plaisir, pour cke ca procure de vivre ta force, de mêler ton intelligence à ton mouvement, d'être envahis par l'épuisement, de récupérer. Pas pour d'otres ki t'utilisent pour leur gloire personnelle en te faisant croire ke t'es libre. 

 

                Allez, les singes de laboratoire, encore un effort juske Paris... Et puis après, retournez dans votre zoo.

 

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 Ca a l'air compliké d'arrêter un gars à plusieurs, sans abimer sa carosserie...

 

 

     Heureusement, en France, on fait pas ça... Par contre, ici, ck'on aime bien, c'est humilier un peu les délinquants, voir les citoyens. C'est pas réglo, mais ça coute rien... même pas une condamnation de principe des collègues.

 

 

     Ouais, mais là, fo dire c'est pas réglo, pask'ils savent pas k'ils sont filmés. Kan ils le savent ça donne ça :

 

 

     Ah, bas, là aussi, ils dérappe en fait... La télé ça ne protège plus, tellement c'est comme ça k'ils font d'habitude. Ca doit etre plus fort k'eux. Mais c'est surement le fait d'une minorité de flic, des moutons noirs en kelke sortes, paske une interpellation "banale, un peu musclée, mais classique", ça donne normalement ça :

 

 

 

     Bon aller, j'arrete de vous prendre le chou. Mais kan même, moi j'crois ke plus on est puissant, plus on se doit de savoir se dominer, et montrer l'exemple.

 

     Kan même un dernier pour la route. Mais faut dire aussi, c'est pas de bol, chaque fois ke ca dérappe, ya un con pour filmer :

 


 
 
 
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     Olala, il fo pas grand chose pour me rendre dingo ! Ya une belette ki passe, ki reste un peu, ki s'intéresse, et voila ke j'm'enflamme et ke j'lui courre après. J'en oublie même les potes... (excuse oh!91 pour le comment). C'est ça les filles, ça te fait chauffer la tête avec leurs courants d'air de kan elles passent sans s'arrêter.

 

      J'sais bien ke j'devrais faire comme si ça me touchait moyen ck'elle me dit, histoire k'elle continue a s'interesser a moi. Mais j'peux pas. Il faut ke j'lui dise, c'est plus fort ke moi. J'sais pas etre stratégik avec les filles, tout l'inverse de mon reuf ki drague avec la meme facilité k'il tej ensuite.

 

      J'ai cherché cki m'avait touché chez elle. J'ai pas encore tout trouvé. Les comms déjà, trop légers, trop bon à lire. C'etait comme si ma soeur avait lu mon blog et k'au lieu de vomir et d'me juger, elle me prend dans ses bras et me serre fort. Ca, ca m'a fait trop du bien. Après, elle ecrit sur son blog k'elle pense a moi et tout. Un truk où t'hallucines kan tu le lis. Et dans les comms, elle prend ma défense... Et depuis, elle gère un max le style j'reste mystérieuse. J'peux te dire ke ca marche, ca me donne heure apres heure une de ces envies de la découvrir. J'ai djà 200 questions a lui poser sur sa vie, pire ke Dan Omega. Et j'fulmine de pas pouvoir le faire. Pareil ke lui.

 

       En plus, si encore j'taffais, ça m'envahirait moins. Mais là j'suis seul a la maison à garder mon fils. J'peux même pas aller courrir. Ya ke les series sur les sacs ke j'peux faire pour me défouler. Et l'entrainement ce soir, là j'vous promets, j'défonce tout.

 

       Bon allez, on s'calme... Cki m'a touché, c'est ke j'ai senti chez elle une vraie tendresse pour les hommes. J'ai eu le sentiment k'elle en avait pas peur. K'elle craignait pas de les laisser être ki ils sont, en profitant de leur energie, comme nous on profite de leur féminité. Et si j'pouvais lui permettre d'aller plus vers elle-même, ben ça pourrait faire une belle amitié de blog.

    

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     Merci Fiso, ça fait tellement longtemps ke j'attendais ce ki se passe, mais je crois que j'y suis seulement près depuis quinze jours.

 

     J'vais passer ma semaine à repondre à tes messages j'crois. J'm'y met dès demain.

 

     Pour l'instant, ca me file trop la banane. J'vais déchirer à l'entrainement.

 

     J't'embrasse très fort.

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      J'devrais avoir du temps ces 15 prochains jours. Comme j'sais ke certains ont des questions, c'est le moment de les poser en comment. J'y répondrai au mieux, a condition k'elles permettent pas aux gens ki me connaissent de m'identifier.

       Une seule kestion par comment, ou en tout cas un seul thème. (OK Dan ?)

       Comme dans tout jeu dangereux, j'au droit à deux jokers.

 

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      Tu dis ke t'aimes mes uppercuts. En voila un, avant la 30e seconde. T'as le droit de changer d'avis. mdr. (C'est un hollandais et c'est du kick boxing, mais là forcement, on a pas trop le temps de se rendre compte de la délicatesse de la technik).

 

 

 

 

 A bientot pour des nouvo uppercuts...

 

 

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         Je voudrais parler sur le combat et son esprit car pour la plupart, vous fantasmez grave sur cette question.

 

         Vers janvier, un gars d'une trentaine d'année est venu au club pour s'inscrire. Il avait jamais boxé ni combattu. C'est tombé sur moi pour le renseigner et c'est bien tombé j'crois. Il s'était dit ke ce serait bien d'apprendre à se battre, mais il avait pas envisagé ke se battre, ça voulait aussi dire accepter l'idée de prendre des coups. Si bien k'il venait à la boxe comme il se serait inscrit à la muscu. Les autres auraient pris son inscription ; il serait resté trois semaines et on l'aurait plus vu ; il serait parti dégouté et plus peureux k'il était venu, et il aurait replié encore plus au fond son agressivité à l'intérieur de lui-même. Une inscription, comme un combat, ça se prépare. J'ai discuté longtemps avec lui pour lui faire sentir un truc k'il ne captait pas : combattre c'est d'abord s'engager, c'est l'inverse de rêver. Lui, il devait atterrir avant de s'inscrire.

 

          C'est pas pour faire encore mon homophobe ou mon macho, mais j'crois sincèrement k'ya peu de PD dans les sports de combat. C'est preske incompatible. Pour boxer, même à l'entrainement, il faut accepter l'idée de s'abîmer. Se fouttre complètement d'être beau physiquement. La beauté, elle est dans l'intérieur du corps. Sa capacité à combattre. Mais les traits sont déviés par les coups, les paumettes tuméfiées, le nez cassé... avec plus ou moins de grace selon la chance k'on a le jour où ça arrive. La beauté elle est dans la blessure, comme une scarification. Le gars dont je parlais n'avait pas réfléchi au jour où son nez se casserait.  

 

 

 

          Vous êtes trop droles et trop mignons kan vous voulez ke j'devienne tendre. Paske tendre je le suis déjà. De deux façons. L'une à travers les caresses, l'autre à travers le combat. Et pour moi, c'est deux façons d'aimer l'autre et de lui dire. Contrairement à cke vous croyez, je suis capable de faire les deux. Seulement, les caresses, je les trouve appropriées pour ma meuf, mes reufs et mes gosses.

 

          J'aime dévoré l'autre symbolikement, l'étrangler, le piéger, l'essoufler, l'affaiblir, le coincer, l'impacter. J'aime trop mes adversaires pour seulement les caresser.

 

         Sur un ring, ya pas ke cke vous voyez. Le public applaudit les coups, plus rarement les esquives et jamais le reste. Pourtant, le point compté vient tout en dernier. Ya d'abord une stratégie et une tactique. Mes deux passions dans le combat. Gérer le temps, la succession des rounds. Observer. Fuir. Finter. Bleuffer. Déjouer. Capter la faille. Choisir une zone d'impact. Insister sur une blessure. Obliger l'autre à se contredire, à s'enfermer, à douter. Le détruire d'abord mentalement, l'exploser pour le posséder entièrement. Le balader pour l'épuiser. L'épargner pour laisser agir la peur en lui, ce poison de l'intérieur ki travaille à ma place. Et seulement là, capturer ma proie.

 

         C'est ça le combat. Mais comme l'autre est autant déterminé ke toi, tu subis autant ke tu donnes. Tu es la proie de celui ke tu chasses. Alors t'as pas le loisir de te demander si tu seras aussi beau à l'arrivée k'au départ, ni si tu auras encore toutes tes synapses accrochées à tes neurones. Tu acceptes l'idée de te consumer. C'est paske j'étais plus d'accord avec cette idée ke j'ai arrêté la compète. Le manque est terrible des fois : je crois pas ke vous imaginez combien le manque est physik... combien je le ressens dans ma chair. Comme si j'étais privé de caresses. 

  

Lorenzo : Je pensais que la boxe était la représentation de la violence gratuite, qu'il fallait juste monter sur un ring et donner des coups, sans aucun intérêt pour moi. C'était pour moi le paroxisme du machisme et de la "connerie" de l'homme qui s'exprime mieux avec ses poings qu'avec des mots.
Tu m'as fait découvrir que c'est loin d'être le cas, que les boxeurs sont des sportifs à part entière (et non des moindres), qu'il y a beaucoup plus de psychologie que je voulais le croire. Je n'irais pas encore dire comme certains que c'est un art mais j'éprouve à présent du respect pour ce sport.

 

            J'aime kan les extrêmes se rencontrent pour se connaître. Kan les riches découvrent la vraie misère et comprennent ce ke l'autre vit en face ; kan les hétéros rencontrent les homos ; les chrétiens, les musulmans ; les Palestiniens, les Israëliens ; les femmes, les hommes ; et mon frère, mon père. J'aime kan "Lorenzo" rencontre "Wajdi"... Je suis jamais tant heureux ke kan je fais découvrir à kelk'un ke celui d'en face est plus complexe ou plus intéressant k'il le pensait. Je suis un homme ki aime profondément la paix. Mais pas la paix dans la fusion toute molle. La paix dans la distinction, dans le respect et l'affirmation des différences. La fusion c'est les caresses. Le combat, c'est la distinction. Mais l'amour est le même.

 

            Hier, le père d'un copain de ma fille parlait à son fils comme s'il avait du miel dans la gorge. Vous diriez ke c'est de la tendresse, je n'y ai vu ke de la faiblesse, l'évitement de kelkechose dans le ton du père, l'évitement de la vraie vie. J'aurais pas aimé ke mon père me parle avec cette douceur.

 

 

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           Ca fait déjà plus de 15 jours que je devais écrire cet article et j'arrive pas à m'y mettre. Je fais mon timide. Pourtant, le contrat avec Yohan, c'était ke je raconte sur le blog ck'il m'a fait faire. Pour ke ma honte soit publique. Mais les articles de cette rubrique, j'ai du mal à les écrire. Comme si je voulais ke cet aspect de moi n'existe pas, ou k'au moins on sache pas.

 

           Ma dernière chasse réussie à la gazelle, c'est plus valorisant à raconter ke cki va suivre. Et pourtant, le kiff de soumission fait autant partie de moi ke mon côté guerrier. J'en ressens même une vraie fierté face à Yohan. Mais le partager avec vous, c'est autre chose.

 

           Donc, ya deux semaines, j'ai discuté une petite heure avec Yohan, de chose et d'autre, à midi, et kan on s'est kittés, il m'a dit de mettre les boules pour penser à lui toute l'après-midi. Pour sentir ke j'étais bien à lui. Même si j'm'habitue petit a petit, ça me coupe toujours le souffle et la voix kan il donne un ordre. Le moment où on passe d'une relation normale à cette relation là. J'suis chaque fois désorienté, comme un gosse ki a perdu sa famille dans une foire aux manèges.

 

            La consigne c'était une seule boule au taf, et la deuxième à l'entrainement. J'pourrais les retirer une fois à ma case. J'ai mis une boule et j'suis parti. J'avais la hchouma complet pendant 20 minutes avant de m'habituer. Tu marches dans la rue et tu les sens ki vibrent au bord du fion. Ca te fait contracter inutilement. Tu mouilles progressivement. Putain, c'est trop la honte. T'es sûr de pas oublier ke t'es pas à toi.

 

            Passé ce moment-là, j'commence a me redresser et retrouver ma fierté habituelle, sauf ke là, c'est la fierté de lui appartenir, de me sentir dirigé. Tenu. J'ai le fion ki devient sensible. Je me sens très fragile. Vulnérable. Comme si à chaque seconde on pouvait me prendre en faute. Comme si les gens autour de moi étaient autorisés par Yohan a me demander froidement de me désapper, d'exposer mon fion pour contrôler ke je respecte bien la consigne. Et moi, je m'applique à bien obéir.

 

            Arrivé à la salle, je pousse la deuxième avant de me changer. Je sais ke le fil reste en dehors. Ca oblige à être discret. Ca exclu de prendre une douche à la fin. Or je déteste sortir sans me doucher. L'autre solution est de cacher le fil dans l'anus. Putain la heche de nouveau, c'est terrible. Je suis géné, inkiet, pas sûr de moi. C'est dur à vivre, mais je sais ke c'est pour Yohan. Par obéissance à son ascendant sur moi. Ca me fait preske trembler. Je sens un vide intérieur, incroyable, ki m'envahit. Comme si j'étais vraiment rien. Comme si j'étais tout seul. Perdu. En tout cas au moment de me désapper.

 

           Une fois en tenue, j'arrive un peu à l'oublier. Je ne sens plus ke la sensation. J'ai plus la trouille ki l'accompagnait. Chaque mouvement fait grelotter dans mon fion, à l'intérieur de moi, et m'empêche d'oublier ke je suis à Yohan, son pion, son soldat. Je suis forcé de lui dédier mon entrainement.

 

Superebeu : T'es un héros Wajdi, en tout cas moi je te vois en tant que tel.
 
Amicalement

             Je pense à toi ossi, Supereubeu. Le héro a un immense revers, k'il dissimule. Une faille tragik, k'il passe beaucoup d'énergie à cacher. Un secret capable de le ridiculiser aux yeux du monde entier. Le héro a un accès sensible ke Yohan a su trouver, exposer et ouvrir. Et je joue avec cette faille, en allant me brûler là où c'est le plus riské, au milieu de mes potes de la boxe, tous tellement loin de ça, tellement occupés à se chambrer, à se jauger et se fritter. Je les domine, mais je suis en secret le plus dominé.

 

              C'est ossi avec mes boules dans le fion ke j'ai pris le cadeau de Jason (voir l'article). Kelle coincidence et kel mélange ! Comme si un monde de durs avait accouché de deux fragilités ki se sont attirées, puis explorées. Je ne sais plus vraiment ki je suis entre la faille et le blok.  

 

 

 

 

 

               

 

 

 

 

 

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       Dans les douches collectives, on pourrait croire ke s'faire choper avec la trik, ca te grille à jamais. En fait, c'est beaucoup plus compliké ke ca. Aujourd'hui j'suis plus trankil mais ya pas si longtemps j'bandais, c'etait systématik. Dans ces conditions, ya des pieges dans leskels faut pas tomber. Moyennant koi tu peux bander trankil sans te griller. Mais fo savoir bleuffer, toujours tenir la ligne et jamais douter. En fait, c'est une vraie épreuve d'où tu sors soit gagnant, soit perdant. Voila mes petits conseils à l'attention des sportifs gays, ou hétéros bien dans leur corps, ki sont parfois génés avec leur trique :

 

        1, T'oublie toi-même ke tu kiffs les keums, si c'est le cas, sinon t'as aucune chance de passer. Toutes les façons, au fond les autres sont comme toi sauf k'ils sont moins à l'aise avec ça.

 

        2, Tu te mets pas a draguer dans ton propre club. C'est pas du tout le lieu et t'es pas venu pour ça. En plus, t'es pas en position de le faire à ce moment là. Donc pas d'ambiguïtés dans le regard. Si ton oeil est gourmand, tu te feras vite lincher.

 

        3, Tu regardes continuellement devant toi sans etre figé, plutot à hauteur des épaules. T'évites la confrontation de regard, c'est pas à toi d'attaquer, mais si elle arrive surtout tu la fuis pas. Si tu baisses les yeux au sol, t'es mort. Si tu les baisses vers la teub d'un autre, t'es grillé. Donc t'accroches le keum dans ses yeux, éventuellement tu le fixes sur sa croupe. Mais t'oublies k'il a une bite.

 

         4, T'en parles assez vite. Et surtout, si un gars fait une allusion au groupe. Si tu te tais, t'es mort à brève échéance. Faut occuper l'espace de toutes les façons, donc aussi par la parole. Pas une voix ki tremble. De l'assurance. Rien ke de l'assurance. C'est pour ça ke tu dois croire toi-même à ta supériorité sur les autres. Pour imposer ta logik : "bander sous l'eau chaude, c'est naturel pour un keum. Ne pas bander est louche !" Tu peux très facilement inverser la pression et la mettre sur les autres, en insinuant ke s'ils bandent jamais, c'est peut-être k'ils en sont pas capables. Mais là encore, t'attaques pas le groupe de front. T'en choisis un, de préférence le plus frimeur, paske c'est celui ki est le plus susceptible de t'enfoncer et c'est aussi le plus fragile... Une fois ke t'auras pris son terrain, les autres seront derrière toi. Ils approuveront ta logik pour ne pas être attaqués à leur tour. Personne n'a envie de passer pour un impuissant.

 

          5, T'occupes l'espace. Si tu cherches à te cacher, t'es mort. C'est l'inverse k'il faut faire : apparaitre sans t'exhiber ; montrer ke t'es super à l'aise avec ça. C'est pour ça ke tu dois etre persuadé à l'interieur de toi ke c'est une force et pas une faiblesse.

 

           Petits éléments facilitants :

           - si t'occupes déjà une position de leader par ailleurs, t'auras aucune difficulté. Veille juste à pas trop t'y croire, genre droit de cuissage, ça passerait pas du tout. Tout le monde préfère les leaders justes.

           - une fois ke t'as fait passer l'idée, et ke les autres se sont habitués (quelques semaines kan même, par sécurité). Tu peux trankil fermer les yeux, pour te retrouver avec toi-même. Tes sensations, tes rêves, ton plaisir de l'eau chaude ki masse ton corps après la dépense physique. Les autres vont respecter ton espace si tu l'as bien établi auparavent. Evite kan même de te branler... Ca se fait pas ça.

 

           Voila essaye ça, si ça marche pas tu pourras toujours te plaindre en comment. Mais prépare toi bien mentalement, paske t'as k'une seule chance. Tu verras si tu tiens la pression. Si t'as la force de t'imposer comme t'es.

 

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           Pour illustrer l'article : Bander sous les douches, c'est pas forcément rédibitoire.

 

 

 

 

 

 

 

 

1. Le regard doux et sûr pourrait lui donner des chances de pas être emmerdé, mais ya kelkechose de trop ouvert dans la position et le sourir, comme une envie cachée de se faire mettre. Donc c'est pas bon.

 

 

 

 

 

 

    

 

 

 

2. Le coté bourru peut être un atout. On t'emmerdera pas, mais on te respectera pas pour autant. Pas assez intégré au groupe, tu risques de devenir la tête de turc. Donc c'est pas bon.

 

 

 

 

 

3. Un peu trop dur peut-être pour être crédible longtemps, mais clairement dominant et trankil avec l'idée ke bander c'est normal. Ca doit passer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

4. Trop tot pour le dire. Le fait d'etre centré sur sa teub n'est pas rédibitoire en soi. Mais attention de ne pas s'y accrocher dans l'espoir d'éviter le regard des autres. Sans koi, on va vite lire de la honte, et là ça devient plus compliké. Mon astuce dans ce cas là : tu fais celui ki comprend pas cki lui arrive, mais ki trouve ça marrant, et ki prend les autres en témoins. Ca fera marrer tout le monde et on t'en voudra pas. Mais là encore faut etre habile et pas se cacher. Fo montrer k'on a un peu honte, et k'on l'assume en rigolant. Moi personnellement, j'suis incapable de faire ça, vu ke j'ai rien d'un clown. Le problème de cette astuce : la semaine suivante, tout est à refaire.   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

5. Tout faux. Si on le lynche pas c'est k'il a su inspirer la pitié. En tout cas, il est étiqueté PD jusqu'à la fin de l'année. D'ailleurs dans quinze jours, il revient plus. De lui-même.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

6. Ca doit passer. On t'emmerde rarement kan t'es dans tes sensations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 7. Fo voir. Si c'est du narcissisme, négatif. Si c'est de la trankilité, ça le fait.

 

 

    

 

 

 

 

 

 

8. Trop suggestif, trop envie de se faire pomper, trop PD derrière sa mise en scène. J'lui laisse peu de chance d'assumer jusqu'au bout face a la pression du groupe. Suffit pas d'etre tatoué pour s'imposer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si vous avez des images et des commentaires ki peuvent faire avancer, n'hésitez pas à me les envoyer je les rajouterai.

 

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            Jason : "Tu vois, mon rêve ce serait k'on aille a deux pendant trois jours dans une foret ou une montagne, en pleine nature, tu vois quoi ? avec juste un couteau de survie, et on devrait s'débrouiller, passer la nuit, trouver des lapins pour bouffer. On serait forcé d'être solidaires".

 

            Voila cke je sais en plus sur lui. J'lui ai pas dit ke la nuit dans une foret, ca me ferait trop flipper. J'ai peur des esprits ; j'suis trop urbain. Par contre, j'l'ai prevenu ke pour survivre dans une situation pareille, à se rouler dans la boue et tout, j'devais niker au moins trois fois par jour. J'crois ke ca a un peu cassé son reve.

 

            Lundi c'était la derniere fois k'il venait au club avant la rentrée. J'lui ai demandé si il voulait k'on se voit cet été, il a dit oui, et yavait de l'espoir en lui. C'est là k'il m'a raconté son reve. J'ai choppé son t shirt sur le banc et j'l'ai senti, comme pour voir à l'odeur et en lui demandant si il s'etait bien donné pendant l'entrainement. Puis j'lui ai collé sur sa face, k'il respire, en demandant s'il kiffait l'odeur. J'voulais me faire une idée comme ça si c'etait ça k'il charchait dans mes fringues. Il a rougi un peu, mais au total, j'sais toujours pas. J'crois ke j'réfléchis trop avec Jason. Ca fait un trop gros contraste à force.

 

 

              Hier, j'l'ai appelé et j'suis passé le chercher vite fait a la sortie de son taf. Il voulait k'on prenne sa caisse mais j'preferais conduire. Donc j'l'ai embarqué et j'l'ai emmené où ya personne. J'ai dit ke c'etait pour k'on passe du temps ensemble, mais en fait, j'en avais pas beaucoup. Là où on etait on voyait les avions atterrir. En silence. Mais pas plus pesant ke d'habitude. Comme si on fumait une clope mais on fumait pas. Puis il m'a dit k'il avait envie de me "faire plaisir".

 

               J'lui ai répondu k'il savait comment faire. Il a touché ma teub, sous le jean, c'etait bandant. J'me suis mis bien dans le siège et j'ai croisé mes mains derrière ma nuque, trankil. Il s'intéressait pas k'a ma teub. Il palpait mes cuisses, puis mon ventre. J'aimais bien sa caresse ; c'etait un contact franc, pas des caresses de meufs. Comme un geste ki masse en profondeur. Il a sorti ma teub deja mouillée, il a léché. Puis il a fait une bonne petite pompe. J'ai fermé les yeux et j'ai pensé à ma meuf. Trop kiffant.

 

               Kan j'ai craché, il a avalé. Comme la dernière fois, mais librement. J'l'ai regardé faire, j'étais content, et j'lui ai dit gentiment : "cool... tu te souvenais ke j'kiff kan ya pas de traces après..." Lui ossi il avait l'air bien, la joue appuyée sur ma cuisse. J'lui ai demandé s'il avait déjà fait la meuf pour un mek. Il a dit "non". J'lui ai demandé si il kifferait. -"Pour toi, ouais".

 

                Pas la peine de dire comment j'étais content. J'en voulais pas davantage. L'idée d'avoir une meuf en plus, ça suffisait à me remplir. Ma gazelle d'avant s'est convertie en petit puceau du fion ke j'me garde bien au chaud.

 

                J'avais pas spécialement envie de voir sa teub mais j'aimais regarder sa trik sous le jean. C'etait beau ce petit baton nettement apparent en travers de la couture. J'lui ai dit de se branler et j'ai pris la route du retour. J'avais juste le mouvement de son bras dans mon champ de vision. C'est moi ki lui a tendu un bout de sopalin ke j'ai trouvé roulé en boule dans le vide poche. J'ai aimé ce geste. Pour moi ca voulait dire : "on n'aura pas le même role toi et moi dans l'histoire, mais j'commence a comprendre cke tu cherches, et surtout j'te respecte".

 

 

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Trop fort !



Pateauger dans l'eau kel kiff !






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