Je vous recommande ce jeu rapide pour vous excercer au débat de demain soir.

 

    Un jeu d'adresse mais surtout d'intelligence...

 

          Jouer !

 

     Oualaouradim mon score pour l'instant c'est 38, mais j'vais encore m'entrainer.

Voir les 3 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Des corps ki bougent

 

         Vous vous montrez inquiets ou deçus de pas avoir de mes nouvelles. C'est gentil. Je ne suis pas mort mais la peur me rend muet.

         J'ai terriblement peur du scrutin de dimanche. J'ai peur ke la France, mon pays ke j'aime, devienne mauvaise. Sarkosy ne sait rien faire d'autre ke monter les uns contre les autres, pour son propre compte. Les vieux contre les jeunes et les jeunes contre les vieux, le privé contre le public, les pauvres contre les riches, les ruraux contre les banlieusards...

         Ce type va tous nous rendre guedin, parce qu'il est dingue lui même. Je lui pronostique deux ans de pouvoir à tout casser avant k'il pète un cable. Et la France se relèvera pas de sitôt d'un pervers pareil.

         Comment les Français pourraient-ils élire le même genre de petit chef parano ke celui qu'ils exècrent tant à leur boulot ? Ce Sarkosy n'a pas fini de nous faire souffrir. Et la haine k'il suscite dans certaines catégories va déclencher des foudres.

         La force débile et injuste n'a jamais rien résolu.

         Vive le dialogue, l'humanité, l'écoûte et le rassemblement des différences respectées !

        

 

Voir les 11 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Wajdi - Soft et malin

 

 

        Putain ke c'est compliké d'écrire sur le thème là, tellement ça fait mal à l'intérieur. Kan t'y penses, c'est comme un métal en fusion ki coule dans tes veines. Mettre des mots dessus, ca permettrait de le refroidir pour pouvoir l'extraire kan il se sera distingué du sang.

 

        En plus, c'est désespérant paske kan t'écris sur ca, tu voudrais forcément ke les otres comprennent cke tu ressens. Et c'est pas possible k'ils comprennent, paske si ils comprenaient, ce serait trop horrible pour eux. Et puis ca les renvoie surement à leur propre exclusion. Parsk'on a toujours été l'exclu de quelqu'un, d'un groupe qu'on admirait et ki n'a pas voulu de nous. Ki a méprisé notre existence, ki a piétiné notre coeur ouvert à lui. On préfère oublier ces moments là. Ca fait trop souffrir de se rappeler qu'on peut être collectivement aussi méchants. Ca fait bien plus mal qu'une lèvre ki éclate. Et la cicatrice disparait moins vite.

 

        Parler du racisme, ça veut dire d'abord s'intéresser à soi, à sa famille, à ses cousins. A notre propre comportement. Je supporte de moins en moins les rebeus ki n'envisagent plus d'aller à la rencontre de l'autre. Avant, je me disais ke c'est pask'ils en pouvaient plus d'être rejeté, ke pour leur survie ils fermaient la fenêtre pour ne plus voir ke l'intérieur d'eux-mêmes. Mais on ne voit pas clair kan on a les yeux clos. Ni l'ami, ni l'adversaire. Et puis on crève. On se déconnecte du monde.

 

        J'en connais quelques uns comme ça des vrais réacs, mais aussi des ki sont seulement cons. Ki comprennent pas qu'on est toujours plus forts ensemble. Comme mes potes ki se foutaient de moi paske j'aide une femme ke j'connais pas a monter sa poussette dans le bus. Ils peuvent se fouttre de moi, ca m'atteind pas. C'est rien face au remerciement de la femme. Ce sourire ki vient dire : "comme c'est doux de s'aider gratuitement entre autres". Ce sourire là il te donne une putain de force pour le reste de la journée. En secret, t'es le roi du monde ce jour-là. Riez mes frères, vous m'atteindrez pas. Vos rires vous enferment vous-mêmes dans votre propre prison.

 

          Après, en grandissant ils s'ouvrent aussi. Simplement paske c'est plus agréable. Il yen a ki restent fermés ; mais j'trouve k'ils sont pas si nombreux. Ils sont même assez rares malgré ce k'on voudrait laisser croire. Ya mon cousin par exemple ki dit "moi j'vais votez Le Pen ce coup-ci. Les Français sont racistes, alors il faut ke ça apparaisse". Il le dit pour la provok. Mais je sais k'il le fera pas. Il est pas encore assez Français pour faire comme les Français : voter à l'encontre de ses idées pour faire passer un message, voter NON au référundum pour dire qu'on est très Européens, voter Besancenot pour dire aux socialistes k'ils sont décevants. Moi par contre, je suis très Français, j'ai votez Vert en 2002 pour avoir plus de gauche que Jospin. En fait, j'voulais Jospin. J'ai dû voter Chirac après. C'est dur la première fois ke tu votes de vivre ça. Mais bon, c'est la vie kan t'es Français.

 

           A force de voir qu'on te rejette souvent, tu finis par croire k'on te rejette tout le temps. Mais ca, ca dépend beaucoup du point de vue ke t'as. Mon reuf et moi, kan on se baladait à deux, ça sautait aux yeux. Lui il voyait ke des gens gentils autour de lui, moi ke des gens qui se méfient. Kan il voyait un mek s'énerver contre lui, il voyait un mek en colère. Moi je voyais un raciste. Kan il voyait une femme serrer son sac contre elle en nous voyant (ça peut être imperceptible mais c'est très fréquent) il voyait une peureuse. Moi je voyais une raciste. Kan on rentrait pas en boîte, il voyait des videurs ki sont débordés. Moi je voyais des racistes. Kan je disais "Putain ! c'est grave comment les gens sont racistes" il disait "tu trouves ?". Résultat, il se faisait plein de meufs et moi jamais. Je crois ke c'est lié.

 

           Faut lire le texte de Mehdi kan il explique comment le racisme des autres finit par te corrompre, tu comprends comme c'est un cercle vicieux : Racisme ordinaire.

 

            Et puis après, ya tout ce k'on subit vraiment, et notamment en banlieue. Un petit harcèlement discret, insidieux, à la manière d'un joueur de foot Italien ki t'ennerve tout un match pour te pousser à la faute. Avec nous les rebeus, ça marche à tous les coups. Ca finit toujours par payer. Paske ce comportement déverse d'un coup sur un coeur déjà trop plein d'amer, un flot d'aigreur supplémentaire. Une dernière petite couche.

 

            Comme ça doit être jubilatoire pour un petit pervers de nous pousser à la faute. Et puis comme c'est facile, on te traite de racaille et ça s'enflamme avant même ke t'ai fini ta frase. On couvre une bavure et t'es sûr de voir des les potes du quartier s'éclater la tête sur le mur tellement c'est insupportable de vivre avec cette injustice. Ou alors tu marques pas sur la mairie : Liberté, Egalité, Fraternité. Paske ça fait encore plus mal, kan on te prend pour un con.

 

             Tu m'as bien fait rigoler Kamel kan tu m'as envoyé cte video, en disant "regarde le vrai visage de la police". Comme si j'le connais pas le vrai visage de la police. C'était marrant ce décalage. Toi tu viens du bled, t'es cultivé, t'as jamais vécu dans un quartier, alors ça te choque. Et moi je disais "Ben koi ? c'est des flics". Je cherchais la blague. Je voyais pas cki te choquait. J'vais kan même la mettre la vidéo, dès fois ke dans les lecteurs, y'aurait d'otres gars ke toi ki auraient jamais été contrôlé pour otre chose qu'une infraction au code de la route. Mais j'vois pas comment ce serait possible. Les flics, ils contrôlent tout le monde non ? Bon, nous peut-être un peu plus, mais les otres, vous devez bien être contrôlés aussi, non ? Rien qu'une petite fois dans le trimestre non ? Dans l'année ? Rassurez-moi, vous êtes contrôlé kan même...

  

 

   

          Attention, ne pensez pas ke c'est un exploi journalistik, style on a réussi à capter le dérapage. Des dérapages comme ça, j'peux vous dire où vous pouvez en filmer un tous les trois soirs. C'est en bas de la tour de mes parents... C'est pour ça ke j'comprennais pas pourkoi tu me montrais cte vidéo Kamel.

 

       Kesk'on a fait à Dieu pour mériter une police pareille ? Mais ya pire : les prisons françaises. Les prisons sont surement le reflet de la santé d'un peuple. De sa capacité à comprendre le désespoir en tout cas. Dormez bien petits bourgeois, les prisons autour de vous travaillent à vous fabriquer de futurs braqueurs éperdus. On travaille à leur démontrer k'ils avaient bien raison de ne pas croire à la société. On les démonte, on les casse pendant ke vous dormez. On leur fait payer très cher le fait d'avoir eu moins de chance, moins de solide autour d'eux. De s'être trompé, dans leur jeunesse tumultueuse. Ou simplement d'avoir été au mauvais endroit, au mauvais moment ou avec la mauvaise personne. Dormez petits bourgeois. Vous reprendrez du dessert deux fois dimanche avec les trois euros d'économie d'impôt ke vous ont fait gagner l'état déplorable des prisons. C'est marrant, ce genre d'humiliation là me fait pas kiffer. Mais alors pas du tout. Surement ke c'est paske c'est pas un jeu aukel chaque participant a décidé de jouer. Tiens, ceux ki s'inquiétaient de l'état d'esprit de Yohan, kan on joue lui et moi... vous vous êtes demandé si celui de ce pays était sain ?

 

           Allez, je deviens amer... Comme kan je me promenais avec mon frère, je vois le mal partout. Je devrez dormir moi ossi, comme le bourgeois ke je prétends devenir. Mais je ne peux pas. Des cris attroces m'empêchent de dormir de cette façon là. Des fois j'ouvre ma gueule, mais ça fait pire ke mieux. Kan j'ouvre ma gueule, je bascule direct dans le camp des délinquants, comme si je venais de sortir de cette prison ke je condamne. Ca doit être une question de couleur de peau, ou de langage. Je suis pas entendu si je parle de ça. Eh non, je suis jamais allez en zonzon. Un de mes frères oui. Mais pas longtemps gràce à un avocat commis d'office ki a bien fait son boulot. Ki a passé plus de temps k'en aurait passé un autre pour démontrer ke mon reuf n'était pas du tout une racaille. Il a eu de la chance cette fois là. Et je l'ai retrouvé intact kan je l'ai serré dans mes bras, longtemps. J'en dirais pas de meme des otres... malgré ce k'ils prétendent. Ils disent ke la prison ça les a renforcé. Mais je vois bien k'ils sont vidés de l'intérieur.

 

           Il va falloir revenir sur le thème, ya pas de raison ke ce soit ke la flicaille et la pénitenciaire ki trinquent. Paske le racisme, il est en chacun d'entre nous et c'est en nous k'il faut le comprendre, puis le combattre.

 

        LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE

 

 

           

Suivre le fil des posts préférés

 

  

Voir les 28 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Divers

 

        Je pars quelques jours sur la cote pour voir un match ki me tient a coeur.

        J'reviens vite mais j'vais prendre un peu de distance avec le blog. Le temps ke je passe sur le net, je le passe pas avec mes gosses et ma meuf. Et là, j'ai besoin d'eux, de les voir grandir. Mes potes et mes frères ossi. Et puis j'veux me laisser etre sensuel, paske là j'me brime.

         Pour pas louper mon retour, vous pouvez vous abonner à la newsletter. Comme ça on reste en contact. Sinon, j'continuerai à lire vos comments.

 

Voir les 8 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Wajdi - Soft et malin

 

 

        J'suis incapable d'expliquer pourkoi je kiff ce style d'implication totale dans la relation.

 

        D'abord une question d'humiliation j'pense. L'humiliation, c'est contre quoi j'ai le plus lutté dans ma vie ordinaire. C'est pour ça ke j'parle parfois de repos du guerrier. Comme si je lachais d'un coup la tension qui pousse à etre constament vigilant, à gérer ma réputation. Je me laisse couler dans l'abandon à l'autre. Je lache la garde.

  

       C'est aussi parce que je me sens puissant ke je kiff me soumettre. Pour moi, c'est pas un jeu pour les faibles. Tu dois avoir de la determination dans ta tete pour le chef. Des muscles et de la puissance a offrir kan t'es soumis. Sinon ça sert a rien. Si t'es une larve dans la vie, t'as rien a offrir. 

 

       En attendant ke j'comprenne d'où ça me vient, voila une petite présentation de cke je kiff dans le jeu de la soumission et de la domination :

 

 

   

 

      Etre face à l'autre, dans une position inégalitaire. Dans l'impossibilité de cacher l'excitation k'on vit interieurement.

 

 

 

 

      Etre ridicule face à l'autre, parce k'il t'ordone un truc dégradant et que tu obéis.

 

 

  

 

    Obéir encore. Jusqu'à ne plus avoir d'intimité.

 

 

 

  Prendre à la demande une pose de soumission extrême pour rappeler et se rappeler ki est le chef et ki est le bâtard. Une position ki te fait intégrer dans ta p'tite tete ke t'es l'objet de l'autre.

 

 

 

 

   Se mettre à oilp kan tout en toi t'incite a te cacher, te rhabiller. Violer ta propre pudeur. Comme si elle comptait pas.

 

 

 

  Etre exposés pendant longtemps. Et ne rien pouvoir faire contre. Attendre une décision qui vient d'ailleurs. Ou ki ne vient pas.

 

 

      Etre immobilisé, se sentir bien tenu...

 

   

...exposé, écarté, tellement vulnérable.

 

     Incapable d'être méchant. La teub en avant, mouillée et impudique, saisissable comme une poignée pour t'amener où tu veux pas aller.

 

      La soumission est un jeu qui dure des heures, une occasion d'aller au bout de moi-même, de mon corps, de ma sexualité. L'orgasme est transcendental : je jouis sans me toucher, mon sperme coule comme de la mouille, j'enchaine sans pause et sans débander. Je reste dans une conscience permanente des sensations de mon corps. Extatik !

 

 Suivre le fil des posts préférés

 

Voir les 11 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Clin d'oeil - XX

 

       Hier midi j'ai appelé Yohan a son bureau, juste comme ça pour avoir des news. On avait pas beaucoup de temps, mais il a voulu me donner une contrainte avant ke je retourne au taff. J'avais pas sur moi le petit tube k'il me fait mettre dans mon fion kan il veut m'obliger à penser à lui toute la journée. Alors il a voulu en compensation ke je m'attache les couilles et ke je les ramène vers l'arrière.

    

     Je sais c'est ridicule et je la ramène pas trop de le raconter ici. Mais c'est pour dire la transe ke c'est pour moi au bout de quelques heures.

 

     J'ai défait un lacet de ma shoes, et déjà je me sentais grave lui appartenir. Cette sensation me transforme de l'interieur, comme si je devenais un autre. Completement different de ki je suis. Devenir obéissant jusqu'à l'extrême. Comme hypnotisé.

 

     J'ai fait cinq tours autour de mes boules pour les isoler, les éloigner de mon corps. Elles se sont regrouppées en petit paquet. Et dejà là, tu prends trop conscience de la sensation. Puis, j'ai fixé l'autre bout du lacet à l'elastique de mon boxer à l'arrière. Comme on m'avait demandé. Je me suis rhabillé. J'ai marché, doucement, pour m'habituer à la sensation. Les boules entre les jambes ; ça fait k'a chaque pas, t'as le haut des aducteurs ki gratte les bords de ta virilité réduite à son plus simple appareil.

 

      J'ai tout de suite eu une trik ki m'a pour ainsi dire plus kittée de la journée. J'vous dit même pas la sensation.

 

      Mais ya plus fort ke la sensation. C'est l'effet de se sentir sous la coupe de Yohan alors k'il est loin de moi. Comme s'il me tient par les couilles pendant ke je marche. Comme s'il guidait chaque pas. Une effroyable tempête dans mon corps, derrière une face placide, preque ordinaire. Juste une gêne, une lumière floue dans l'oeil, et de la docilité.

 

       Au taf, c'etait trankil l'après-midi. Quelques coups de fil. Des classements. Pas trop de monde a croiser. J'en arrivais presque à oublier ma contrainte. Mais au fil des heures, tu te sens de plus en plus exclusivement sexuel. Près à sauter sur tout pour te frotter comme un animal. Libérer l'excitation. Mais l'animal est tenu, il ne dérappe pas. Et ça pour moi, c'est comme une caresse intérieure.

 

      Après j'ai fillé à la salle. Pour me désapper, j'ai du être mega discret. Mais une fois en survet, ma trik était vraiment trop visible. J'ai essayé d'attacher mon haut de survet en bandoulière à la ceinture pour cacher mais c'était n'importe koi. Alors, j'me suis caché dans les chiottes et j'ai sanglé ma teub le long de ma cuisse gauche, à l'intérieur, en la faisant sortir par le bas de mon boxer. J'ai sanglé en faisant deux tours avec ma ceinture en sangle. C'était bien tenu. Mes boules toujours prises, ma teub vers le bas, le gland collé à ma cuisse. Plus je trikais, plus je me sentais contraint. J'ai mis mon survet le plus large pour ke personne capte le dispositif. Putain j'ai la hech de raconter ça, c'est dingue.

  

      Au lieu de m'entrainer, je me suis occupé des autres. J'ai mis les pattes d'ours et je les faisais frapper en rythme. Mais j'étais complètement ailleurs. Vraiment en transe. Un flo continu de mouille trempait ma cuisse, comme une fissure d'eau qui coule dans une cave.

 

     Sur les deux heures d'entrainement, j'suis allé deux fois dans les chiottes, pour virer mon survet. J'ai lécher le bas de ma cuisse, pour goûter ce liquide qui me fait tant kiffer. L'odeur de la bite fraîche. Et sentir cette déprave totale dans lakelle je sombrais. En léchant, je gémissais imperceptiblement, trankil, comme si Yohan me tenais l'épaule, comme s'il m'indikait d'un doigt ce ke je dois lécher. J'ai fais des efforts trop hallicinants pour me tenir et pas me branler. Mais la deuxième fois j'en pouvais plus. Alors j'ai promis à Yohan à l'intérieur de moi-même, tout gentiment, ke j'allais tout nettoyer, qu'on verrait pas ke j'ai juté. En stimulant mon gland pris avec juste le bout d'un doigt contre ma cuisse, j'ai vite déclenché la fontaine. J'étais tellement excité depuis longtemps ke ça a fait comme un volcan. Ca m'a libéré un peu mais pas vraiment calmé. J'ai léché mon sperme comme promis. Puis j'ai repris cke j'faisais faire aux potes avec les pattes d'ours. Toujours avec la trik, plus le goût du sperme en bouche ki t'arrache un moment.

 

       Je me sens bien kan je suis tenu comme ça par les couilles. Tellement vulnérable ; tellement l'inverse de cke je suis. Calme. Ni agressif, ni impulsif. Juste dominé par la ferveur de la jouissance intérieure et l'impossible de la laisser paraître. Concentré. Le pion de Yohan. Le soldat d'une armée.

 

       Dans cet instant là, je suis fier de ce ke j'ai fait de mon corps, de son aptitude à l'effort intense, au combat. Comme si je l'avais construit pour servir.

 

       Je me suis rhabillé ossi scred qu'au départ. Une pudibonderie ki a du semblé bizarre à ceux ki sont habitués à me voir a oilp. Une imense gêne d'être a ce point dépravé. Mais une proximité intense avec mon corps et les sensations d'animal ke je suis capable de vivre intérieurement. Ces orgasmes là sont pour moi cent fois plus intenses que d'otres.

 

       Le soir, on est sortis pour l'aniversaire d'un pote, ma meuf et moi. J'ai garde ma contrainte aux boules, pour sentir ke j'étais là paske Yohan le voulait bien. Des moments, j'oubliai, d'otres moments, je chivirai. Les deux bierres ke j'ai bu m'ont soulé. J'étais pas vraiment présent. Entre la honte et le plaisir. Le plaisir d'avoir honte.

 

        Dans la nuit, il a fallu ke je me branle trois fois pour épuiser la charge de la journée. Aujourd'hui, je suis calme. Un peu abattu. J'pense ke Yohan a la patate. Je lui transmets mon surplus d'energie dans ces genre de délires.

      

 

 

Voir les 10 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : J'obeis c dingue - XXX

Dédicacé à Clara qui me kiff.

  

          Mesdames et Mesdemoiselles,

 

          Mon intention n'est pas de vous choquer. Et je comprends bien que certains articles sont pas à votre goût. Pourtant, j'pense que vous en apprendrez plus ici que dans les magazines, sur ce qui peut y avoir dans la tête d'un keum, père de famille, adorable avec ses gosses paraît-il et tout et tout. Bref un mec qui marche pour faire un couple solide. 

 

           Alors ça vous fait peut-être peur, et ça colle peut-être pas à vos fantasmes du prince charmant, mais c'est comme ça dans la vraie vie. Va falloir s'y faire, les mecs et les filles sont pas pareils.  Nous aussi, ça nous surprend régulièrement. Ca empêche pas d'être complices et amoureux, de construire un couple et de tripper au lit, ensemble.

 

            Vos commentaires sont importants pour moi. Ils m'aident à vous comprendre.

 

            Mes parents sont d'une culture où les rapports hommes/femmes sont différents d'ici. Personne ne m'a expliqué comment on faisait, et surtout pas mes potes du quartier qui parlaient beaucoup sans savoir. J'ai dû apprendre tout seul, en regardant les autres et en expérimentant. En me plantant souvent. Au début, j'étais grave à côté de la plaque. Tellement loin du partage, du respect et de l'écoute. J'avais tellement peur de vous... que j'étais incapable de vous rassurer. J'trouve qu'aimer vraiment, c'est pas donné d'avance. Ouvrir son coeur, ça s'apprend.

 

             Aujourd'hui j'ai muri, c'est sûr. Je trouve qu'on se démerde pas mal ma meuf que j'aime et moi. On prend les événements comme ils viennent plutôt que de vouloir les prévoir. J'essaye d'être le plus sincère possible. Mais, il ne faut s'avouer que ce qu'on est sûr de pouvoir porter. C'est pour lâcher le reste que ce blog existe.

   

             Si vous cliquez sur le logo violet, vous ouvrez le cercle des articles du blog qui devraient pas vous effrayer. Un blog dans le blog, un peu aténué...

    


Cliquez pour suivre le fil des articles autorisés aux meufs... 

 

Voir les 5 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Blogothérapie

 

           J'ai l'impression ke plus j'en dis sur moi et sur ce ke je ressens et plus j'ai envie de me cacher.

 

           J'ai commencé ce blog pour me libérer, confier mes petits vices pour k'ils me fassent moins honte. Parler. Ca m'a aidé à avoir une meilleure image de moi. Alors pourkoi s'arrêter ? Comme si de nouveau, je voulais me barricader derrière du faux.

 

           Certains l'ont tout de suite capté, comme Xelias : 

Libre à toi de garder ton jardin secret. C'est étonnant quand même : ici,tu te livres comme jamais tu n'as du le faire ailleurs mais tu continues quand même à ne pas te livrer entièrement. Comme si tu continuais à jouer un personnage, comme si tu avais peur de l'image que l'on pourrait avoir de toi. Tu ne joues pas le jeu de ton propre blog.

 

                De nouveau, je recrée une image de moi à la place de me laisser voir comme je suis. Je veux contrôler ce k'on pense de moi. Comme dans le quartier de mon adolescence, je protège ma réputation.

 

           Qu'est-ce ki me rend de nouveau pudique comme ça d'un seul coup ? La peur encore d'être jugé ?

 

            Je veux me déshabiller encore. Mais c'est pas si facile.

 

 

Voir les 24 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Blogothérapie

 

 

     J'ai encore trouvé des vidéos pour le week-end. Une pour s'amuser, l'autre pour réfléchir.

 

     Celle-là elle me fait péter de rire :

 

 


Lascars - Ep.09 - Playboy SVP
envoyé par zaaboub
 
 
 
 
           Et celle-la c'est en plus, pour les fans de bite de lascars :
 
 
 

 
 

Lascars - Ep.09 - Playboy SVP
envoyé par zaaboub
           Et des techniks de transport scred...
 
Voir les 4 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Divers

   

          J'vais retirer l'ecole de ma tête comme on aspire le venin d'une plaie.

 

          Globalement, j'aimais pas l'ambiance. A cause des profs et de leur angoisse toute serrée. Ca s'voyait sur leur gueule k'ils etaient pas heureux.

 

           Comme j'ai deja dit, j'avais des difficultés. Mais j'etais pas un branleur. J'avais vu avec un pote pour me mettre avec lui pour faire un exposé k'on devait faire par deux. Il était d'accord et j'étais super content qu'on soit à deux, paske j'savais ke ça m'aiderait. Ouais, j'étais content.

 

            Le jour où on doit dire les noms des groupes, j'étais pas là. Quand je reviens, j'apprends ke mon pote est pas avec moi. Il est avec un gars, j'connais plus son prénom, juste son nom et sa tête. Style un premier de classe, mais il devait seulement être deuxième si j'me souviens bien. Bref, ce gars là m'avait effacé.

 

             Quand il me l'a dit tout fier, j'ai pu ke déglutir. J'avais pas trop les mots. J'ai kan même dit : "Eh ! Sam il a dit k'il voulait bien s'mettre avec moi... Vous avez fait koi ?" Alors, la chetron de premier de la classe k'était deuxième, il a répondu : "Ca valait pas le coup k'il soit avec toi. Vu ke t'es nul".

 

             J'suis resté silencieux au moins 5 ou 6 minutes. Dans mon monde à les entendre sans capter ce k'ils disaient. J'ai dû manger un peu ma lèvre à l'intérieur, des truks comme ça. Des moments où t'as envie de chialler, mais tu sais ke tu peux pas. Au lycée, fodrait être fou. J'ai ravallé, ravallé, et puis un moment j'ai plus pu.

 

              J'suis allé direct vers le gars et j'l'ai traversé. Il etait pas gaulé pour rester fixé, il a valsé sur trois marches. Il s'est cassé le bras, surement en retombant. Mais j'crois qu'au fond, j'avais plus mal ke lui.

 

              J'ai été exclu une semaine. En revenant, j'ai dû m'excuser devant lui, dans le bureau du censeur. Et j'ai dû le remercier de pas avoir porté plainte. En fait j'aurais préféré k'ils le fassent, plutôt ke devoir m'excuser. Les gens, ils font ça pour t'aider ; ils se rendent pas compte k'ils t'enfoncent.

 

              J'ai fait l'exposé avec une autre brelle, comme moi. J'ai saboté le truk pour bien me retamé nivo note, mais pour garder la face devant la classe. J'ai fait le con, paske c'était le seul choix ke j'avais pour pas être ridicule.

 

              Tu te bastones mais tu choissis pas. Après tu t'en veux grave. Tu foires ton boulot, mais ça non plus tu le choisis pas. Tu fais ke subir. Après on te dit ke t'es con, et c'est vrai. Mais coincé là où t'es t'as pas d'otres solutions. J'crois ke j'arriverai jamais à vous expliker combien c'est cruel d'être le nul de la classe. Combien c'est suffisant ossi pour le rester.

 

 Suivre le fil des articles autorisés aux meufs... 

 

          

      

Voir les 6 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Blogothérapie

 

 

        Il était tant ke je parle de Cyprien... Je le connais depuis deja avant Yohan. C'est dire ke je suis fidèle en histoire de cul.

 

        A l'origine, c'etait un pote à mon plus petit reuf ; mais on peut dire k'ils etaient pas faits pour aller ensemble. Je le soupçonne d'avoir un peu tourné autour avec des intentions cochones. Paske Cyprien, autant ke moi, il aime grave, mais alors grave, le cul. Ca le rend super sensuel et c'est ça ke j'aime en lui. Il a presque cinq ans de moins ke moi. Mais j'pense k'il connait son corps complètement. On le voit toujours trainer avec des meufs. Mais il a son secret, comme moi. Avec moi.

 

         Au début, il venait courir avec moi. C'est lui ki avait voulu. Courir ensemble c'est vraiment trop facile pour provoquer. Tu te rapproches, tu t'éloignes, tu colles, tu bouscules, tu mords le talon de l'autre par derrière avec ta pointe et tu le regardes remettre sa shoes. Trois minutes après tu recommences, avec la précision d'un tireur d'escrime. Au bout d'un moment, ça gave. Mais Cyprien, ça le faisait rigoler à chaque fois. Je trotinnais autour comme un chat joue avec sa souris. Un Tigre ki isole sa gazelle.

 

          J'crois ke j'ai mis beaucoup plus de temps ke nécessaire pour le cueillir. Ca crevait les yeux k'il etait d'accord pour poursuivre. Une teub ki bande, ça se loupe pas sous un survet. Et il bandait souvent kan je le collais. Surtout kan je le matais sans sourire avec le desir de le posséder. Mais j'ai longtemps fait mon timide, peut être paske c'etait un pote à mon reuf et ke j'avais peur ke ce soit pas étanche. 

 

          Un jour j'lui ai dit qu'on finirait le parcours à un studio dont j'avais la clé. Pour prendre une douche. il a dit "cool !" Ca m'a chauffé pendant toute la course de savoir ke j'allais l'avoir à portée de patte. Arrivé dans les couloirs de l'imeuble, j'me suis tout le temps mis derrière lui. Même pour ouvrir les portes. Je sentais sa chaleur, il sentait la mienne. Sa sueur épicée. Sa nuque, chaude. Ses oreilles, tellement mignone par derrière. Des oreilles de mek, pas de doute, denses, pas très grandes. Je les ai croquées, obligé ! (comment j'accorde bien le participe passé avec le C.O.D. ! j'ai toujours été fort pour ça).

 

          Kan on est entré dans le studio, j'l'ai direct serré. J'me suis collé à son dos, tout habillé. Encore chauds, le souffle ample et relâché de l'endurance. Kel kiff, le sentir là contre moi. Le tenir. J'ai appuyé la forme de ma teub contre son tshirt. Mon bassin au nivo de son dos. Il a commencé à eskivé. Putain là j'ai compris ke j'allais trop kiffer. Il a joué la résistance.

 

 

           Voila Cyprien ki fait la vierge farouche alors k'il m'allume depuis des semaines avec son air langoureux et son petit corps mobile de kebla ki transpire trop la sexualité par tous ses pores. Ca me déchaine et je le choppe pour lui lécher la nuque. En même temps, je me nourris de son odeur : la sueur saine d'un mek ki s'est douché sans se parfumer et ki a courru trois quarts d'heure. Je colle mon front entre ses omoplates. Mes mains enserrent ses poignets de chaque coté et je le plaque au sol. Il tourne vivement sa tête d'un côté pour se dégager ; sa joue frotte et se brûle sur la moquette synthétique. Je peux voir son regard par le côté ; il regarde le vide, immobile, comme un lapin perdu. Mais son odeur n'est pas celle du stress. Plutôt l'acceptation trankil d'y passer bientôt.

 

            J'ai gagné déjà, alors je le relâche. Je sais ke je gagnerai toujours avec Cyprien. Il se retourne en s'assayant pour me faire face, regroupe ses jambes devant lui. Je le mate. Entre ses genoux écartés de 30cm, sa teub bien dure ki pointe un moceau de son survet. J'estime. 30cm d'écartement, c'est la position trankile. Plus serré, c'est la peur, la dissimulation. Plus écarté, c'est la salope déjà d'accord pour se faire mettre. Cyprien, c'est la catégorie hétéro, mais conscient de son corps et du kiff ke ça peut être d'en jouir. En écartement des genoux, kan t'es assis par terre, ça fait trente centimètres. Ya pas de doute possible. 

 

             Je replonge une nouvelle fois. De face, ça me permet de lire son regard, franc, fuyant par pudeur mais pas par lâcheté. On est a nouveau très près. Nos abdos se touchent, en partie découverts. Nos tétons se frollent, encore sous le tshirt. Nos lèvres sont proches. Mais j'embrasse pas les keums. C'est comme ça.

 

             Assez vite, je le bloque. On diait du judo. Il prend son souffle et met toute sa force à se dégager. Mais sans technique, il est pris. Je le lâche kan même un peu pour avoir le plaisir de le reprendre.

 

              J'appuie ma teub, dure et mouillée dans mon survet, contre sa cuisse tendue, armée, ki cherche à se dégager. Dans ses mouvements, mon cyprien libère en partie sa teub qui fait une barre. Sur le côté, son survet s'est baissé, on voit un bout de slip rouge pas trop assortie comme couleur. 

 

              On ne se dit rien. On profite l'un comme l'autre. Il aurait pu me reparler de la douche s'il voulait pas k'on prolonge. Il préfère jouer à se débattre vraiment. Et moi je le choppe, je le bloque, je le tiens, il se faufile... Je m'impose.

 

              Je tiens sa tête maintenant. Et je le conduis fermement vers ma trik. En utilisant mon thorax puis mon abdomène comme rail. Il gémit d'une drôle de façon entre le plaisir et la supplication. Son timbre est plus rapide, plus aigu. Il avance vers ma teub tendue, toujours emballée. Elle mouille comme une fontaine. Elle dégage cette odeur ke je kiffe tellement. Ce plaisir intense de se sentir mâles. 

  

            

 Suivre le fil des articles autorisés aux meufs... 

 

 

Voir les 10 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Branleur né - X

La France est envahie par les pompiers !

 

 

    

 

   

        On les a fait venir pour k'ils nous aident, mais maintenant ils restent ! et ils font des enfants. Ya plus trop d'incendies a cause des nouvelles normes électriques, et les accidents de voitures sont plus ce k'ils etaient. Résultat : ils sont désoeuvrés. Et comme ils ont une culture un peu bizarre : le casernement avec des salaires de misère, ils n'arrivent pas à s'intégrer en France sarkosienne.

 

        On savait ke le pays avait déjà d'énormes problèmes pour intégrer ses agriculteurs et ses pécheurs, des habitués de la casse de mobilier urbain. Mais les habitants découvrent, effarés, que les sapeurs pompiers aussi sacagent tout quand ils sont mécontents, au lieu de fermer leur gueule et de dire "oui missieu, bien missieu" comme il faut faire quand on est bien intégré.

 

        Le sociologue Jsétou Méonmécoutejamé analyse ainsi les événements ki secouent notre triste pays : "les pompiers ne veulent pas abandonner une culture ancestrale qui leur vient de leurs ancêtres les irréductibles Gaulois du village d'Astérix, ki paraît-il faisaient déjà comme ça. De plus, ils font mines de pas comprendre la culture en vigueur en France en disant : "j'comprends pas pourquoi les CRS nous frappent" et en se croyant injustement victimes de racisme et de rejet".

 

        Les dégâts occasionés par les pompiers s'élèvent déjà à l'équivalent de trois mois de TVA des Kebabs de Paris (5,5% pas 19,6% faut quand même pas déconner), ou 6 mois d'amende de la RATP, ou encore un an d'impôt sur le revenu d'Harry Roselmack plus l'ISF de Florent Malouda !

 

        Heureusement, le ministre de l'intérieur (qui tient à rester anonyme car il a changé et maintenant il aime les gens) a déclaré avec la fermeté ki le caractérise : "Vous en avez marre de cette racaille, hein ?!... J'vais vous les dégommer à coup de lance à incendie". Voir notre autre reportage sur le ministre de l'intérieur.

 

En direct des quartiers qui brûlent :

 Mohammed Payossissézimpo et Jean Fépatoutunpla. 

 

 

Voir les 6 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Divers

Homage au p'tit prince des (st)rings.

 

 

 

      Yen a un ki nous surpasse en intelligence. C'est notre petit Brahim. En boxe, il est pas lourd (mouche (moins de 51kg) voir mi-mouche en periode de ramadan mdr) mais nivo médiatique, c'est vraiment le champion du monde.

 

 

  

            MDR !

     J'te dois le respect paske t'as un reuf de plus ke moi. Et p't'etre une plus grosse teub va savoir... Surtout paske t'es courageux et travailleur, et paske t'as la foi dans la boxe. Moi j'l'ai plus assez pour sacrifier ma santé. Ca rend malade mon entraîneur, il me l'a encore dit le week-end dernier. Mais ça m'gave de pas gagner autant ke toi nivo flouz. C'est kan même pas juste, sous pretexte k'on utilise les jambes...

 

     On a beaucoup de trucs en commun finalement. Un an de différence. 11 cm (j'parle en taille). Mais t'es le boxeur de la lumière, moi j'étais au mieux celui de l'ombre. Kes tu veux, ma boxe a moi, elle est même pas discipline olympique.

 

 

 

      Et puis p't'etre ke toi ossi t'as des fantasmes un peu marrants. Style comme les miens ou pires. Regarde, t'es gracieux, comme moi ; t'es souple, comme moi ; t'es malin, comme moi ; t'es technique, comme moi. Pourquoi tu s'rais pas bi, comme moi ? Tu devrais en parler ossi sur ton site. C'est sûr ke ca ferait fureur. Le site de brahim. Koike, t'as p't"etre raison. Ca va décevoir tes fans. Ben fais comme moi, prends un pseudo. Tu vas voir ça libère.

 

       Allez j't'aime Brahim. J'serai là le 10 mars au Cannet. Mais j'te previens, j'viens pour te voir en champion du monde WBO ! En attendant la WBA...

 

                   

Voir les 2 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Des corps ki bougent

 

 

Just'un p'tit kado pour bien passer le Week-end. J'les aime ces deux là. Ils nous apprennent a pas avoir un balaie dans le cul.

 

 

 
 
 
 
 
Sinon, ya les Ulis en force. Pour faire flipper les p'tits peureux avant les élections. Mais ça fait moins peur ke ma darone ki chante ! :
 
 
 
 
  
 
 
 
 
 J'vous prends 2 par 2, i'm fodra pas l'apres-midi pour vous mettre tous KO. Vous faites pas peur avec vot'gonflette de tafiole. C pas tout de s'faire des muscles a tenir les murs, apres fo savoir s'en servir. Chantez otre chose les batards des Ulis, sinon j'vous fait sucer mon pistolet a eau. Et vous verrez k'ca fait plus peur ke vous croyez.
 
 On est pas la pour se flinguer. Le jour où vous comprennez k'on est plus forts ensemble, on sortira de notre merde. On se battra contre un vrai ennemi : celui k'a du fric et ki le garde pour lui sans partager. Pas le quartier d'a coté.
 
 Allez, bon week-end les Ulis, faites-vous un bar tabac, et 10 ans de zonzon. On en reparle a vot'sortie.
 
Voir les 4 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Divers

Trop fort !



Pateauger dans l'eau kel kiff !






Pros du net

  • Flux RSS des articles
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés