Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 10:48

 

            Jason : "Tu vois, mon rêve ce serait k'on aille a deux pendant trois jours dans une foret ou une montagne, en pleine nature, tu vois quoi ? avec juste un couteau de survie, et on devrait s'débrouiller, passer la nuit, trouver des lapins pour bouffer. On serait forcé d'être solidaires".

 

            Voila cke je sais en plus sur lui. J'lui ai pas dit ke la nuit dans une foret, ca me ferait trop flipper. J'ai peur des esprits ; j'suis trop urbain. Par contre, j'l'ai prevenu ke pour survivre dans une situation pareille, à se rouler dans la boue et tout, j'devais niker au moins trois fois par jour. J'crois ke ca a un peu cassé son reve.

 

            Lundi c'était la derniere fois k'il venait au club avant la rentrée. J'lui ai demandé si il voulait k'on se voit cet été, il a dit oui, et yavait de l'espoir en lui. C'est là k'il m'a raconté son reve. J'ai choppé son t shirt sur le banc et j'l'ai senti, comme pour voir à l'odeur et en lui demandant si il s'etait bien donné pendant l'entrainement. Puis j'lui ai collé sur sa face, k'il respire, en demandant s'il kiffait l'odeur. J'voulais me faire une idée comme ça si c'etait ça k'il charchait dans mes fringues. Il a rougi un peu, mais au total, j'sais toujours pas. J'crois ke j'réfléchis trop avec Jason. Ca fait un trop gros contraste à force.

 

 

              Hier, j'l'ai appelé et j'suis passé le chercher vite fait a la sortie de son taf. Il voulait k'on prenne sa caisse mais j'preferais conduire. Donc j'l'ai embarqué et j'l'ai emmené où ya personne. J'ai dit ke c'etait pour k'on passe du temps ensemble, mais en fait, j'en avais pas beaucoup. Là où on etait on voyait les avions atterrir. En silence. Mais pas plus pesant ke d'habitude. Comme si on fumait une clope mais on fumait pas. Puis il m'a dit k'il avait envie de me "faire plaisir".

 

               J'lui ai répondu k'il savait comment faire. Il a touché ma teub, sous le jean, c'etait bandant. J'me suis mis bien dans le siège et j'ai croisé mes mains derrière ma nuque, trankil. Il s'intéressait pas k'a ma teub. Il palpait mes cuisses, puis mon ventre. J'aimais bien sa caresse ; c'etait un contact franc, pas des caresses de meufs. Comme un geste ki masse en profondeur. Il a sorti ma teub deja mouillée, il a léché. Puis il a fait une bonne petite pompe. J'ai fermé les yeux et j'ai pensé à ma meuf. Trop kiffant.

 

               Kan j'ai craché, il a avalé. Comme la dernière fois, mais librement. J'l'ai regardé faire, j'étais content, et j'lui ai dit gentiment : "cool... tu te souvenais ke j'kiff kan ya pas de traces après..." Lui ossi il avait l'air bien, la joue appuyée sur ma cuisse. J'lui ai demandé s'il avait déjà fait la meuf pour un mek. Il a dit "non". J'lui ai demandé si il kifferait. -"Pour toi, ouais".

 

                Pas la peine de dire comment j'étais content. J'en voulais pas davantage. L'idée d'avoir une meuf en plus, ça suffisait à me remplir. Ma gazelle d'avant s'est convertie en petit puceau du fion ke j'me garde bien au chaud.

 

                J'avais pas spécialement envie de voir sa teub mais j'aimais regarder sa trik sous le jean. C'etait beau ce petit baton nettement apparent en travers de la couture. J'lui ai dit de se branler et j'ai pris la route du retour. J'avais juste le mouvement de son bras dans mon champ de vision. C'est moi ki lui a tendu un bout de sopalin ke j'ai trouvé roulé en boule dans le vide poche. J'ai aimé ce geste. Pour moi ca voulait dire : "on n'aura pas le même role toi et moi dans l'histoire, mais j'commence a comprendre cke tu cherches, et surtout j'te respecte".

 

 

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Publié dans : Branleur né - X
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