Sérieux, j'ai l'impression d'les connaître tous.

 


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      Ca me fait trop plaisir de pouvoir vous montrer avec "en attendant demain" comment c'est dans mon ancien quartier. Moussa, il me fait trop penser à mon reuf, déjà dans la premiere video. Et puis ca montre trop k'on a moyen de bien s'amuser dans les quartiers, kan on a décidé de profité de la vie.
 
 
 

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 Pour illustrer Le flouz, en attendant ke mon reuf rentre des vendanges (Il va la cracher ma tune !) :

 


 
 
 
          K'est-ce k'on aime se torturer la vie, kan même. Heureusement ke ya pas de TVA sur chacune des transactions, sinon on pourait vraiment dire k'ils se font niker.
 
 
 
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"Tout le monde te tire vers le bas", mais putain kesk'on rigole.

 


 

 

              Le gros blème en banlieue, c'est ke dès ke tu fais la fête, tu déranges tes voisins. Kan j'le vois mis en scene comme ça, j'regrette preske de plus y habiter. Mais kan on se souvient de tout, j'te promets c'était kan même galère. Ya pas, l'esprit communautaire, c'est kan même la promiscuité.

 

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          L'actualité de la semaine n'est pas réjouissante pour les amoureux des Droits de l'homme et les partisans d'une République ki protège au lieu d'inciter à la haine.

 

          Georges frêche est relaxé en appel pour les propos k'il avait tenu sur les harkis. Il a été condamné par contre pour ceux k'il a tenu sur la police. Lire la dépêche.

 

    

 

      Les tests ADN risquent de pouvoir être pratikés sur les postulants au regroupement familial. Lire la dépêche.

 

 

 

 

           Vive le populisme et les réponses simples ! Ca repose tellement. C'est vrai, réfléchir c'est dur.

 

           Vous savez bien ke j'milite plutôt pour k'on ai le droit de faire vivre notre part animal, mais j'pensais pas particulièrement aux boeufs en disant ça.

 

 

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     Une vision fidèle de cki se passait chez moi en période de ramadan, en attendant la harira kan on a grave la dalle.

 

     Chambre numéro 1 :

  


Autorisé ! si tu t'y crois pas trop et ke tu mouilles pas. 
 
 
 

 Chambre numero 2 :

 


 Autorisé ! si t'es pas en colère contre le sac.
 
 
 
Chambre numéro 3 :
 
 

Péché !!!!!!!
 
 
 
 
Chambre des parents :
 

Autorisé ! Ya pas de mal a s'faire du bien aux mains.
 
 
Au salon (lol) :
 
 


 
 
Sur le balcoune :
  
 

 
 
 
 
 
 
      Bon Ramadan à ceux ki le font ! Dans la joie, la bonne humeur et le recueillement. Moi pour ma part j'ferai ke l'Aïd. Et la zakat, en tant que receveur : ca fait, j'vais racketter mon reuf pour payer mes dettes. Bon ya pas, j'y crois de moins en moins.
 
 
 
 
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       Ce soir, ya Jason ki s'est pointé à la salle, très à l'heure pour se ré-inscrire. J'étais content de le voir. J'l'avais pas appelé en rentrant de vacances paske j'me suis dit k'il avait dû me zapper de sa mémoire, vu k'il a pas l'air specialement fiable de ce coté là. Et puis j'etais motivé moyen pour consommer son fion k'il m'a casi offert comme un kado la derniere fois. Mais en le revoyant, j'ai direct eu envie de le ken.

 

        Lui, en fait, il m'avait pas oublié. Il avait la joie en me revoyant. Il a cherché à taper un peu la discute. Il m'a maté gentiment. Il m'a rappelé par son regard ke j'avais raison d'être fier de mon corps. C'était bon, ça m'a remis dedans. J'ai aimé sa proximité, son insistance, sa timidité et son odace. Il a l'air d'avoir grandi.

   

        

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      Mort de rire, kan on sait pas s'battre on se donne pas en spectacle.

 

 


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          L'amitié entre keums, elle se dit pas. Elle est immense et pudik. Il faut la mort pour k'elle s'exprime : elle n'est donc jamais entendue. Seulement on sait. On sait tout l'amour ke les autres nous portent. On sait combien ils nous aiment parce k'on sait combien il est impossible k'ils nous le disent avec des mots.

 

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          Ya des trucs qui nous sépare autant ke deux freres Oh!91 et moi : c'est k'il se tenait la bite pendant ke moi je jouissais sans restrictions. Je me suis pas empêché de coucher avec des keums pendant k'il serrait les dents comme un malade.

 

           Moi Oh! j'ai commencé ma sexualité avec des gars. C'était beaucoup plus accessibles pour moi. Je me tapais des p'tits keums paske les filles je voyais pas comment j'y arriverai, et j'avais pas la patience d'attendre. Mais mon manque, c'était d'elles. Toi, tu t'en tapais une alors ke tu rêvais aux gars sans même te l'avouer. Comment t'as pu resté tant d'années sans t'offrir ça, alors ke c'est tellement simple.

 

           Bref, on n'a pas manqué du même sexe au début. Et j'crois ke ça m'a fait relativiser. Un garçon est un garçon. C'est marrant, c'est cool, c'est bandant, ça fait juter. Mais au fond, pour moi, ça n'allait pas bien loin. Bien sur j'aimais et j'aime encore la complicité secrète qui nous lie dans un regard appuyé, ou dans un partage d'intimité. Et le secret renforce encore cette complicité. Mais je relativise. Alors ke toi t'idéalises. T'en as tellement manqué, ke c'est devenu comme du kaviar pour toi, alors ke c'est juste des oeufs de poiskaille. Et j'parie ke pendant ce temps là t'es passé à côté de la moitié de cki se passait avec ta meuf.

 

 

Oh!91 : Voilá, j'en reviens á mon hypothese : Wajdi se percoit comme un usurpateur. Sa vérité, son attirance pour les hommes, son gout pour des jeux sexuels avec eux étant cachés de toutes les spheres qu'il fréquente, il redoute que la vérité, si elle venait á etre connue, provoque des ruptures, qu'il ne souhaite pas. Yohan nous a dit qu'il partageait ce sentiment que chez Wajdi, la crainte des ruptures était forte. Et lá surgit Fiso. Pas de nulle part, ou de rien. Wajdi a écrit, écrit encore, et ré-écrit qu'il souhaitait voir des filles, des femmes, participer á ce dialogue sur le net, qu'il avait besoin de ce retour-lá. Et Fiso, pleine de vie et d'intelligence, entourée d'amis á l'esprit vif, sensible, l'oeil ouvert sur le monde, cette Fiso inattendue déboule et se laisse arracher le coeur par les tourments de Wajdi, mais aussi par sa démarche de partage, se laisse séduir par ce garcon si attachant, si violemment sincere et juste.


Et lá, d'un coup, un possible nait. Celui qu'une femme dotée de capacités d'aimer l'aimat lui malgré sa vérité. Pourquoi ce besoin des femmes ? C'est l'affaire de Wajdi. Que ce soit sexuel, que ce soit parce l'univers féminin est apaisant et rassurant, parce qu'un tabou trop fort ne peut tomber si vite, peu importe (attention je vais encore me faire engueuler) : Wajdi a besoin de femmes dans sa vie. Et d'une femme en particulier. Avec la sienne, il est dans le secret. Hors du secret, il est dans la perspective de la rupture. Et Fiso dit : il y a un horizon. Ce que tu lui apportes, Fiso, est énorme, parce qu'on ne peut pas avancer quand on ne peut percevoir un au-delá.

 

Fiso : Tu mets le doigt là où ça fait mal. Si j’osais je pousserais l’analyse plus loin, en ce qui concerne les femmes, mais je préfère en discuter, si Wajdi le souhaite, à son retour. Je dirai juste que sans doute, j’apporte surtout de l’espoir à Wajdi. L’espoir d’être accepté et aimé pour ce qu’il est, par une femme, comme celle qui partage sa vie, certes. Mais plus que tout, je pense, l’espoir d’être toujours le même dans le cœur des premières femmes qu’il ait aimées : sa mère et ses sœurs. Wajdi m’a déjà comparée à une sœur qui le prendrait dans ses bras et le défendrait aux yeux de tous. Il s’avère que j’ai justement un petit frère et que j’ai déjà évoqué l’amour inconditionnel que j’ai pour lui. La famille est primordiale pour Wajdi ; c’est quelque chose que lui et moi partageons, aussi.  

 

          Ton hypothèse est fausse Oh!. J'ai beau te le dire et te le répéter, tu ne veux pas l'entendre. Je ne suis pas l'usurpateur ke tu dis avoir été.

 

           Vendredi dernier, j'ai fait un plan avec Cyprien. J'me suis fait chier. J'ai dû me forcer sur la fin. J'suis dans une période très hétéro depuis 2 mois, j'continue avec les keums paske ça me rattache à mon adolescence et à tout cke j'ai partagé de fort à ce moment. Et j'ai besoin de resté connecté à ça, à ce passé, plus k'aux keums eux-mêmes.
 

          Fiso m'accepte comme je suis et, oui c'est vrai, j'en avais énormément besoin. Mais il se passe un truc zarbi, que je constate avec elle mais ke j'avais dejà remarqué. Plus on accepte ke je puisse kiffer les meks, moins j'ai envie d'eux. C'est comme si l'homosexualité, c'était pour moi une perche, une main d'homme tendue vers moi ki a tellement peur de me noyer dans la piscine. La piscine, c'est les femmes. Elles me font peurs, j'ai besoin de pas être seul dans cette immensité là. Mais dès lors k'elle me semble moins tumultueuse, putain keske j'aime l'eau !

 

          Voila Oh! Les keums, c'est ma béquille rassurante. J'ai besoin d'eux car je les ai expérimenté comme loyaux, francs et solides. Ils me portent vers le monde et vers la vie. Merci à eux d'être ce k'ils sont.

 

 

 

           J'ai trouvé un court métrage ki illustre bien ce texte, pask'il montre ke le sexe, ça peut aussi être du délire, de l'amitié, des surprises.

 

 

 


       

 

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                  Avant l'arrivée de l'automne, ca vaut la peine de passer du temps avec soi-même. Goûter qu'après l'été, on a transfulguré les sensations k'on a avec son corps. Alors il est l'heure de le redécouvrir. Sentir comme il a changé.

 

 

 

 

 

 

 

 

            Revivre le soleil, la sensualité de la pierre et de la mer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

           Se souvenir des lèvres, de la caresse des cheveux et du vent.

 

 

 

 

 

 

    

 

 

 

 

        L'intimité k'on partage en silence, les frolements, les appuis délicats, des frissons des tremblements.

 

  

 

 

       

 

 

 

 

           Choisir une position k'on aime, pour sentir de l'intérieur sa puissance.

 

 

 

      

 

 

 

 

                  Aller au delà de l'ordinaire.

 

 

 

 

    

 

 

 

 

                   Et jusqu'au plus profond de sa jouissance.

 

 

 

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        J'ai reçu ma feuille de non-imposition. C'est pas encore cette année que j'pourrai contribuer à l'effort collectif de "redressement de la France". C'est pas non plus cette année que j'bénéficierai des baisses d'impot du coup... La rentrée est dure. Les trois comptes sont à découvert. Ma meuf angoisse kan on n'a plus de sous, ça craint.

 

        Ya le frère de ma reum ki vient nous faire une visite du bled. Ca fait des années k'il file du flouz à ma mère pour k'elle le lui mette sur son compte en euros. Le problème c'est k'elle a tout dépensé au fur à mesure. Il devrait yavoir 12 000 euros. Ya rien. Il va vouloir acheter une voiture avec, elle va lui dire "ohff c'est pas trop le moment d'acheter la voiture, vaut mieux attendre" pour ki reparte sans rien, jusk'a la prochaine fois. Le mensonge et le flouz, ça va ensemble dans ma famille. Elle compte lui rendre kan son autre frère lui aura rendu ck'il nous doit. Ca arrivera jamais et tout le monde le sait. Si son plan de dissuasion marche pas, c'est nous (les frères solvables et non bannis, donc deux de mes reufs et moi) ki allons être sollicités. Heureusement ke j'ai Boby pour me convaincre ke j'ai la baraka.

 

Boby : Oui, WajDi, tu appartiens à un groupe. C’est lourd. Oui. Mais quelle chance !

Oui, tu as un passé, des ancêtres. C’est lourd et contraignant, surtout quand on en est éloigné. Mais quelle chance !

Oui, tu as autour de toi une famille, assez tribale, assez prenante. C’est parfois étouffant. Mais quelle chance !


 

 

            Lourd, c'est rien de le dire. Et j'parle pas des "cadeaux" ki sont jamais des cadeaux.

 

            Résultat, kan mon reuf va revenir des vendanges, j'vais devoir le racketter. C'est ça la famille.

 

 

 

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    Un débat lancé sans suite par lenmijuré : pourkoi je déteste les profs. Débat lancinant dans ma tête, paske j'ai été incapable de lire un roman pendant mes vacances alors ke j'avais juré de le faire. Et ke je m'en veux.

   

    En rentrant, j'suis tombé sur une chanson d'un chanteur ke ce ringard de Yohan m'a conseillé d'écouter ya dejà deux ans au moins : George Brassens. Ca m'a fait tilt.

 

    Les paroles, ça m'a fait penser à mon attitude par rapport aux potes du quatier, mes supers srabs à moi ke j'aime mais ke je traine des fois comme un gros boulet. Ceux ki considéraient k'avoir mon bac, même à 20 ans, c'etait comme les trahir. Et moi, ils comptaient beaucoup pour moi.

 

    J'vous mets la chanson, fodrait etre dans ma tête pour comprendre le lien. Mais j'sais ke vous êtes très forts à ce jeu-là. Toutes façons, ce post est un brouillon ki sera suivi d'otres pour comprendre mon latage à l'école. Distinguer ce ki vient de moi, de l'ambiance, du quartier ou des profs. 

 

 

Le petit joueur de fluteau ("Trop nul la musik" (mon reuf)).

Le petit joueur de flûteau
Menait la musique au château
Pour la grâce de ses chansons
Le roi lui offrit un blason
Je ne veux pas être noble
Répondit le croque-note
Avec un blason à la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Et mon pauvre petit clocher
Me semblerait trop bas perché
Je ne plierais plus les genoux
Devant le bon Dieu de chez nous
Il faudrait à ma grande âme
Tous les saints de Notre-Dame
Avec un évêque à la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Et la chambre où j'ai vu la jour
Me serait un triste séjour
Je quitterai mon lit mesquin
Pour une couche à baldaquin
Je changerais ma chaumière
Pour une gentilhommière
Avec un manoir à la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Je serai honteux de mon sang
Des aïeux de qui je descends
On me verrait bouder dessus
La branche dont je suis issu
Je voudrais un magnifique
Arbre généalogique
Avec du sang bleu a la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Je ne voudrais plus épouser
Ma promise, ma fiancée
Je ne donnerais pas mon nom
A une quelconque Ninon
Il me faudrait pour compagne
La fille d'un grand d'Espagne
Avec un' princesse à la clé
Mon la se mettrait à gonfler
On dirait par tout le pays
Le joueur de flûte a trahi

Le petit joueur de flûteau
Fit la révérence au château
Sans armoiries, sans parchemin
Sans gloire il se mit en chemin
Vers son clocher, sa chaumine
Ses parents et sa promise
Nul ne dise dans le pays
Le joueur de flûte a trahi
Et Dieu reconnaisse pour sien
Le brave petit musicien

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Trop fort !



Pateauger dans l'eau kel kiff !






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