Branleur né - X

Mercredi 19 mars 3 19 /03 /Mars 17:08

 


undefined      Hier soir, sur le canapé :

 
Ma meuf : - Ouhla, ça sent la bite...
Moi : - Le sperme plutôt.
 
Ma meuf : - Comment ça s'fait ?
Moi : - J'me suis branlé dans l'train.
 
Ma meuf : - Ah ouais ?
Moi : - J'ai juté dans mon slip, comme kan j'étais ado. Et j'en suis fier en plus !

Ma meuf : - Ca m'étonne pas de toi...

 
       Elle me regarde dans les yeux et dépose des petits bisous autour des boutons de mon jean. Putain, j'la kiff !



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Samedi 23 février 6 23 /02 /Fév 09:42
      
       J'ai bien kiffé ce matin ce long moment où j'ai frolé ma meuf. Son réveil.
 
       Mes doigts, fébriles, ont contourné sa peau et ses dentelles. Assez de proximité pour sentir sa chaleur, trop de distance pour vraiment posséder.
 
       L'humide est venu assouplir l'air du lit. Le désert est devenu clairière. Ma conscience endormie s'est allumée en braise.
 
       J'ai de l'amour en moi ; je le sens. Il était là ce matin, entre nous, dans ma façon de déployer sa nuit.
 
       Je l'ai mise à oilp ; elle a frémi. Déjà elle savait k'elle serait mon fourreau.
 
       Mes doigts pinceaux l'écartaient, sans entrer. Cherchait-elle à m'éteindre par cette eau ?
 
       Mon souffle sur son dos, j'ai chopé sa nuque ; elle a tendu les jambes pour offrir son joyau.

       J'ai laissé espérer. Gemir. Attendre. S'ouvrir. Délicatement sauvage, j'ai mis fin au supplice, caressant son charme par l'ouverture en feu.
 
       Plus rien de retenu. Des cris, des muscles et de la peau. Mon odeur qui l'enlace. Ce parfum, c'est le sien. Sa chatte, je la tiens. Entre ma main et ma queue. Elle avale mon épée, se fend de plaisir. C'est mouillé jusqu'aux seins.

 
 

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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 15:53
 
 
 
 
 
 
           Je crois ke ça relevait plus du hasard ke du calcul.
 
 
          La semaine dernière, je me suis retrouvé seul dans les douches avec Jason. Depuis cet été, on s'était juste donné du gros matage sans ke j'avance plus ni k'il réclame koi ke ce soit. On avait bien en tête je pense, lui comme moi, ke son fion était pour moi et ke j'avais k'à le demander si l'envie me venait.
 
 
        J'ai pris le temps de l'éplucher du regard, comme pour le rendre encore plus nu k'il était. Il est bien assez splendide pour tolérer la petite poussée d'acné ki lui est venue avec le froid. Ca lui donnerait preske un charme en plus, une sorte de naïveté encore accentuée.
 
 
        Je l'ai comparé à l'image k'il m'en restait. Il me semblait plus épais k'à l'été, un chouia plus trankil à l'intérieur de lui-même. Kel chemin il a parcourru pendant ke je suivais le mien ?..
 
 
        Le froid dehors donnait pas trop envie de précipiter la sortie de douche. Comme il faisait trainer le savonnage et k'il avait l'air de s'endormir sous le contact de sa main, je lui ai lancé une frase autorisée dans ce contexte (voir bander sous les douches, c'est pas rédhibitoire) : "Tu vas pas tarder à triker à te caresser comme ca..." Et j'ai adoré lire son air semi géné, semi pudik, semi amusé, semi flaté...
 
 
         Je suis allé contre lui et j'ai passé mes doigts sur l'arrière de sa cuisse, puis entre ses fesses, vraiment engagé, au point de sentir le charnu de son fion sur la pulpe de mes doigts. Pour lui rappeler ce ke nous savions l'un et l'autre, avec la même trankilité ke si personne n'était susceptible de nous surprendre. Il a à peine sursauté. Comme un réflexe ki n'avait finalement pas lieu d'être. Puis, en me séchant la tête, je suis sorti pour me saper.
 
 
         Je croquerais bien Jason comme agneau pour l'Aïd.
 
 
 
Lire la suite                                  
 
Retomber sur la période chaude avec Jason

Relire le dernier post sur Jason.

Mater les photos de mecs dans les douches

                                          
 
       

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Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 11:00

 

      Apparemment, Xelias en pouvait plus d'attendre la suite. Il a pris en main notre bonne histoire de cul. En me filant un rôle ke j'aurais pas osé me donner mais ki me fait surement du bien, à en coire ma trik dans son texte.

Voir le début de la série de Pauline

Et la deuxième partie

 

Te voilà donc dans cet appartement inconnu, en train de mater ce mec et cette nana que tu ne connais pas. Ca te fait bander comme jamais, en plus ils se déshabillent maintenant, tu mouilles mais tu ne sais pas quoi faire. Le mec est pas trop mal dans son genre : grand, barraqué, plus musclé que tu ne l'avais cru. Lui aussi il bande déjà, quand il enlève son calebut sa queue se redresse comme un ressort, de taille raisonnable et très épaisse. La fille, elle, dépasse toutes tes espérances : brune sportive, cambrée, les seins magnifique, un ventre musclé tout en lignes qui descendent jusqu'à sa touffe. Tu rêves d'y mettre la tête.



Ils sont à poil mais ils continuent leurs jeux érotiques, en se caressant, en se frôlant, en se défiant du regard. Tu hésites à intervenir même si les regards de la fille t'y invitent. C'est alors que tu fais tout merder : tu veux changer de position à cause des fourmis dans les jambes mais tu perds l'équilibre et tu tombes en arrière sur un meuble qui se renverse dans un bruit qui te semble énorme. Le mec se retourne et saute sur toi avec une rapidité surprenante : n'importe qui aurai d'abord eu peur et se serait rapproché avec prudence. Sans que tu aies le temps de réagir, te voilà collé au sol par le mec qui te tord le bras, tu ne peux pas bouger.

L'homme : "C'est quoi ça ! Qu'est-ce que tu fais là, toi ?Tu nous mattait ? Ou t'es un voleur ? Pénétration dans un domicile avec préméditation de vol, tu sais ce que ça veut dire ? En plus avec ta tête de rebeu, t'as déjà dû te faire prendre non ? T'aura droit à une peine plancher de récidive !"

L'homme aussi est rebeu, mais il est surtout flic. Pas de chance Wajdi, t'es dans la merde.

L'homme se tourne vers la fille : "Qu'est-ce que je fais, je l'emmène au poste tout de suite ?" Mais la fille ne veut pas, elle veut baiser, c'est maintenant qu'elle est chaude, qu'il te laisse partir et c'est bon. Mais l'homme ne veut pas te laisser partir. "Ouvre mon sac, là, oui, c'est ça, regarde sur le côté, tu devrais y trouver des menottes, c'est bon, tu les as ? Amène-les".

Toi tu ne dis rien. Tu détestes tellement les flics que tu ne veux pas leur donner ce plaisir, tu restes calme, tu analyse la situation, tu calcules tes chances, tes possibilités, mais pour l'instant l'homme te tient fermement. Il a deux paires de menottes : avec la première il te menottes les deux mains dans le dos, puis il te traîne un peu plus loin pour t'attacher avec la deuxième au chauffage. Il doit un peu te relâcher pour faire ça alors tu essaies d'en profiter pour lui filer un coup de boule et t'enfuir mais il réagit très vite et t'éclates l'arcade sourcilière contre le chauffage puis se redresse et te bourre le ventre de coups de pieds. La fille se précipite sur lui pour le retenir. Ils sont toujours à poil et toi t'es toujours habillé. T'as mal, ton sang glisse sur ta joue jusqu'à tes lèvres et pourtant à aucun moment tu n'as arrêté de bander. En se baissant pour t'attacher au chauffage le mec le remarque. Il éclate de rire.



"Mais c'est qu'il bande ce petit con ! Ca t'excite de te faire menotter par un flic ? T'aimes ça hein, petit pédé ? C'est pas la fille que t'es venu mater en fait. Regarde-moi ça ! T'as vu ?" La fille se penche et regarde la bosse de ton pantalon. "Oh, il y a même un peu de jus qui traverse le jeans" fait-elle avec un air coquin. L'homme change alors d'attitude : "Ecoute mon gars je suis dans un bon jour. Après tout, je vais baiser cette super fille devant toi, c'est normal que t'en profites un peu !"

Il s'agenouille devant toi, tu as peur mais il ne te frappe pas. Il s'approche pour te déboutonner le jeans. Tu sens la chaleur de son corps nu près de toi. Lui ne bande plus mais ça t'excite quand même, même si tu gardes bien de le montrer. de toute façon ta bite parle pour toi. Il ouvre ton jeans avec délicatesse et baisse ton pantalon en prenant ton boxer avec. Cette fois tu te laisse faire et tu l'aides du mieux que tu peux. Ta queue pleine de bave sort de ton boxer juste devant sa tête, ça le fait marrer. Te voilà maintenant les jambes nues et la bite à l'air mais toujours en chemise. "Et pour que tu puisses te branler, je vais aussi te relacher une main, mais t'as intérêt à jouer le jeu." Il te libère une main puis se recule et se tourne vers la fille. "Bon on peut continuer maintenant. Tu vois, je n'ai pas été trop sévère."

La fille te regarde avec un petit sourire encourageant puis suit le mec dans sa chambre. Ils laissent la porte ouverte pour que tu puisses tout voir.

(à suivre...)"

 

 

Voir le début de la série de Pauline

Et la deuxième partie

 

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Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 16:23
 
                Olala k'elle a l'air chaude celle là...
 
                Elle arrive sans k'on l'attende, discrétos elle laisse un com sur un article oublié, l'air de presque pas y toucher. J'laisse prendre, puis j'lui fait une ouverture, direct elle s'engouffre. Mais c'est une maline, elle a pris le temps d'étudier le terrain. Et ça se sent d'entrée ke c'est pas un p'tit gibier. Style de meuf k'on arrive a attraper ke si elle le veut bien. En tout cas, elle est là, vive à réagir.
 
                 Yaura donc une suite a notre petit délire érotik. Et j'sens d'emblée ke ca va me tenir en éveil pendant les longs mois d'hivers. Désolé si ça vous fait moins bander ke moi, mais un blog c'est ossi fait pour s'amuser. J'dois reconnaître ke l'ambiance k'elle a lancée me plait. Donc je suis la trace. Et deja j'me rends compte k'écrire de la fiction, c'est pas comme écrire cke j'ai écrit jusqu'à présent. Sans pouvoir dire cki change.
 
 
 
                 Voila donc la p'tite réponse de celle ke j'appelle deja "ma biche" : (suite de ma p'tite variante)
 


Pauline : Un frisson m’a traversé le corps. J’ai senti comme un mouvement dans l’air, une caresse à peine perceptible sur ma peau nue juste couverte de soie.
 

Il semblait n’avoir rien remarqué et continuait à me parler, d’une voix nouée par la nervosité. Emu comme moi, de se retrouver là, juste séparés par la table basse. L’air s’était réchauffé mais mon cœur s’est mis à battre à toute vitesse. Je sentais une présence inconnue et inquiétante, une intensité magnétique qui électrisait mon corps. Ce n’était pas ses yeux pleins de douceur sur mon corps familier. C’était le poids d’un regard qui détaille et dévore,  la tension d’un corps à l’affût de tous mes gestes pour cacher sa présence. Un inquisiteur qui guette le mouvement de mes épaules pour caler sa respiration sur la mienne, se nourrit de l’énergie de mon corps tout proche, laisse ma voix résonner en lui pour reprendre des forces, entre chaque silence. Un prédateur qui, en se coulant à l’intérieur de moi, à mon insu, me fait déjà sienne.


Affolée, j’ai dit à M. : « Attends, tais-toi une seconde, laisse-moi me retrouver ». Un silence troublant s’est installé, juste interrompu par la fumée de cigarette exhalée entre ses lèvres. D’une main mal assurée, j’ai pris le verre et bu une gorgée lentement, comme la biche, prête à bondir, qui boit paisiblement pour relâcher l’attention du chasseur.L’alcool m’a brûlé la gorge. J’ai retenu mon souffle et tendu l’oreille. Mes yeux se sont lentement déplacés vers la porte, sans que ma tête bouge, attentifs à identifier dans la pénombre la raison de mon trouble. C’est alors que j’ai saisi ton souffle suspendu et t’ai entendu déglutir. Tu étais accroupi dans le coin du meuble, près de la porte, en diagonale à 2 mètres de moi. Le haut de ton corps était caché dans l’obscurité. Je ne voyais que tes mains aux articulations saillantes et tes cuisses moulées dans un jean sombre. Il ne pouvait pas te voir. A mes yeux fixes et mon souffle devenu court, tu as compris que je t’avais démasqué. Trouble du prédateur devenu proie. Eternité d’un instant où chacun jauge l’autre et tente de retrouver son appui. Tu t’es plaqué au mur, comme si tu voulais fuir.


   


J’ai senti de l’électricité me parcourir l’échine. Etait-il ton complice ? Tu étais trop jeune pour être un de ses amis. Et l’épisode du club libertin m’avait montré qu’il n’aimait pas me partager. Ta peur palpable me fit penser que tu étais un intrus. Voyeur ou dangereux ? En tout cas sacrément  téméraire ou rendu inconscient par l’excitation.


Il fallait que je trouve un moyen de te faire bouger, que tu te dévoiles un peu plus pour que je sache si le jeu en valait la chandelle. Et si tu étais là malgré lui, et que je décidai que tu devais rester, je devais m’assurer que tu avais assez de maîtrise pour ne pas nous griller tous les 2.


Il commençait à s’impatienter de mon silence, tandis que les questions se pressaient dans ma tête. Je devais prendre une décision, et vite. C’est lui qui a décidé pour nous. Il m’a demandé d’enlever les vêtements qui lui cachaient mon corps. J’ai exigé plus d’obscurité. Comme je l’espérais, tu as profité qu’il tourne le dos pour te rapprocher de moi. En un bond souple, tu t’es caché derrière le fauteuil, presque à mes pieds. J’ai contrôlé ma frayeur et cherché ton regard. Tu semblais avoir aussi peur que moi. Tes yeux noirs se sont accrochés aux miens et j’y ai lu comme une supplique. Quand tes lèvres pleines ont esquissé un sourire, comme pour me rassurer, j’ai eu l’impression de te reconnaître. Je t’ai trouvé beau et fragile, comme submergé par une émotion incontrôlée, à genoux devant moi, . Est-ce ton sourire un peu triste ou le fait de te dominer qui m’a rassurée ?


Je n’ai pas eu envie de décevoir tes yeux brillants de gourmandise.


J’ai posé mes mains sur le premier bouton, au creux de mes seins ; contre mes doigts tremblants, mon cœur battait à tout rompre.


 
 
 
             Ca cognait dans mon thorax, comme les prémisces d'un combat. L'impératif d'immobilité m'empêche de chasser mon stress. Maintenant si près de toi sans avoir eu le temps de m'y préparer, je mankais d'air dans un piège ke je me suis curieusement tendu. Tout chez moi est en alerte, prêt a bondir s'il le fallait. Tout, sauf la zone de mon bassin ki semble s'écarter. Comme si ma teub et mon corps ne suivaient plus la même logik depuis ke j'ai croisé votre sillage.
 
              Mon corps est sur la vigilance, sa raison tente encore de me kestionner sur ce ke je fais ici, à terre, entre les pieds du fauteuil et les tiens, à l'abri inkiétant de ton amant. Tandis ke mon sexe, retenu par le jean, pousse vers toi comme attiré par un aimant ki me dépasse. A travers les tissus, son parfum arrive à mes narines et se mêle au tien. Je reconnais ma drogue. L'ensemble me grise au point de perdre la raison ki me dicte pourtant de fuir. Je suis comme prisonnier de ma sensation. Et voir tes doigts dégrapher les boutons près de tes seins me rend encore plus humide. Assister sans pouvoir toucher ni dévorer, voila le supplice dans lekel je me débats sans mouvement. Comme pour me mettre à l'épreuve d'une tentation interdite. Cette folie de ma contradiction ki se matérialise dans la scène. Mon agileté immobile. Ma force tenue et rendue fragile par excès de témérité. La raideur de ma teub brisée par la position et l'entrave du jean. Je me sens pris dans une cage invisible.
 


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Jeudi 25 octobre 4 25 /10 /Oct 07:36
 
         J'avais pas encore mis ce texte à la place k'il merite.
 
         Puiske tu me dis ke ca t'a excité de l'écrire, Pauline, j'espere ke ca te donnera un orgasme de plus de le relire. J'aime ton coté pantère patiente et ton amant raffiné, mais je dois reconnaître ke j'ai pas cette patience la. Il me faudrait une sacrée raison pour pas me jeter sur toi trois quart d'heure plus tot ke ton expert en montée de sensations et de ferormones. Alors j'ai proposé une petite variante à ton histoire, histoire de voir si ca debouche sur kelkechose. Bisous.
 


Pauline : Mon amant, je ne le vois que toutes les 2 semaines environ, mais depuis plusieurs années déjà. Même pendant le Ramadan, l’envie de me baiser le fait braver l’interdiction. La première année, il a craqué, depuis il n’essaie même plus de résister. Quand il vient me chercher à la gare, je ne dois pas le toucher jusqu’à ce qu’on soit chez lui. Il ne me touche pas non plus. Il dit que dès qu’il me frôle, ça le rend dingue et qu’il ne peut plus s’arrêter.
 

Dans la voiture, parfois, je désobéis et lui caresse la nuque pour le plaisir de le sentir tressaillir. Il exige que je sois en robe ou en jupe alors j’écarte un peu les jambes, il jette des coups d’œil anxieux vers moi. Je vérifie que son membre est déjà dur et merveilleusement moulé dans son pantalon.  
 

Arrivés dans son parking, je descend de la voiture et sens son regard qui détaille mes courbes et savoure déjà ce qui va suivre. Je monte l’escalier devant lui, lentement. Je sais qu’à cet instant, il a les yeux fixés sur mes fesses qui bougent en cadence et que l’envie de me pénétrer fait déjà monter une chaleur vibrionnante dans son ventre. Mais il aime prendre son temps. Avec lui, j’ai appris à savourer lentement les heures passées ensemble et à ne pas céder à l’envie impérieuse de le sentir bouger en moi.
 

Quand la porte de son appartement se referme, le rituel commence. Il installe des coussins sur le lit, le long du mur. Il nous sert un verre de vin, parfois du rhum et allume des bougies et de l’encens, pour couvrir l’odeur de la cigarette qu’il fumera lentement en me dévorant des yeux. Puis il s’installe de l’autre côté de la table basse, sur un pouf en cuir.
 

Moi je sais ce que je dois faire et je m’exécute, docile. Une tension délicieuse envahit mon bas-ventre et me tiraille les tripes.  J’enlève mes chaussures à talons et ma veste et je m’assois en face de lui, sur le lit. Parfois, je porte un décolleté plongeant, parfois une chemise en mousseline transparente. Il aime deviner mon corps. J’imagine sa bouche chaude et humide qui se referme sur l’aréole brune et dilatée de désir et je sens la pointe de mon sein se durcir instantanément à cette pensée. Assez vite d’ailleurs, il me demande de lui montrer mes seins. Je m’exécute, lentement, j’enlève les boutons un a un et mes seins blancs jaillissent de la dentelle, tout dressés d’excitation. Lui a libéré sa belle bite et commence à la caresser en me fixant. Je sens la salive envahir ma bouche au souvenir de sa douceur mais je contiens mon émotion.
 


Très vite, il me demande, d’un air suppliant : « Enlève ta jupe ». Je joue un peu les timorées, c’est un jeu entre nous. Quand je suis en string et en bas devant lui, je vois dans ses yeux que mon pouvoir augmente peu à peu. Son souffle devient court, il fixe mon entrejambe et dit « Montre-moi. S’il te plaît. » La première fois, j’ai été très gênée de sa demande. Je me suis exécutée, vaguement mal à l’aise, croyant que ça ne durerait pas longtemps et que, comme d’habitude, la pénétration viendrait très vite. Mais il a violé ma pudeur, sans concession ; il m’a admiré longuement, fixement. Il n’arrêtait pas de répéter que ma chatte était magnifique et charnue comme il aimait. Je ne m’étais jamais offerte comme ça au regard d’un homme. Avant de le rencontrer, je ne pensais pas être différente des autres femmes, et surtout, je ne trouvais le sexe féminin – donc le mien - ni beau ni laid. Peu à peu, devant son bonheur émerveillé, mon corps s’est relâché, mes jambes se sont ouvertes un peu plus pour le laisser me scruter et j’ai commencé à mouiller abondamment.
 

Aujourd’hui, je prends un plaisir inouï et totalement impudique à m’offrir à son regard. Je me sens belle devant lui. Magnifique, même. A chaque fois que j’ouvre les cuisses, la même émotion m’envahit. Il reste d’abord de l’autre côté de la table et fixe ma chatte en fumant une cigarette et en buvant un peu d’alcool. Il se caresse doucement en me souriant et plisse les yeux  en disant qu’il est ému de ma beauté.
 

Par moments, il vient déverser dans ma bouche le rhum qui a tiédi dans la sienne. Je bois le liquide de ses lèvres viriles, puis je prends possession de sa langue pour en sentir le goût de tabac. Il s’arrache à regret et retourne s’asseoir, en tirant sur sa cigarette de plus en plus nerveusement.
 

J’aime tout chez lui, sa peau d’une douceur incroyable, ses poignées d’amour attendrissantes, son odeur, sa bouche, sa voix chaude, sa bite fière et magnifique. Je pourrais l’embrasser, fouiller sa bouche et mordiller doucement ses lèvres pendant des heures.
 

Au bout de quelques minutes, il bondit vers moi, fébrile, et s’agenouille devant mes cuisses ouvertes en gémissant. Son souffle tiède et haletant fait frémir ma chatte et y met le feu. Il passe d’abord la pulpe de son doigt sur le contour de ma vulve soyeuse, tout doucement, comme sur une petite chose fragile et délicate. La première fois, il m’a demandé de m’épiler intégralement et depuis, j’y ai pris goût. Pour qu’il puisse me lécher partout où il le veut et que je sente sa langue dans les moindres de mes replis. Son regard émerveillé me bouleverse. Il parle d’une voix étranglée par le désir, me demande si je sais à quelle point je suis belle, et comme mes seins sont magnifiques. J’adore sa voix, elle m’excite déjà terriblement au téléphone. On ne se voit que toutes les 2 semaines environ et je me suis branlée souvent en l’écoutant me décrire tout ce qu’il me ferait à notre prochaine rencontre.   
 

Après m’avoir caressé avec dévotion, il pose délicatement sa bouche au creux de mon aine. Puis il passe son index sur la crête violacée de mes lèvres qui s’entrouvrent comme les pétales d’une fleur sous la chaleur du soleil. A cet instant, je sais que je mouille abondamment. Une fontaine de désir. Lui est heureux, comme hypnotisé. Il fait glisser son doigt de haut en bas de ma vulve mouillée et lèche son doigt en gémissant de bonheur et en me disant à quel point il aime mon goût et mon odeur.
 

Le moment où il referme ses lèvres sur les miennes me fait presque défaillir. Il tire doucement sur mes lèvres et les suce en me regardant dans les yeux. Il me demande de regarder ce qu’il me fait et comme il y prend du plaisir. J’ai du mal à le fixer à ce moment là. Je préfère me renverser en arrière sur les coussins et me cambrer sous ses coups de langue de plus en plus rapides et autoritaires. Il me lèche très longtemps, s’arrête régulièrement pour me regarder et jouer avec ses doigts partout à l’intérieur de moi. A ce moment-là, j’ai une envie folle qu’il me prenne, tout de suite. Je le lui dis « Prends-moi » mais il refuse, presque suppliant de le laisser me donner encore plus de plaisir. Nue devant lui, je me sens puissante. Je le tiens dans ma main, il est à ma merci, dévoué à satisfaire tous mes désirs. Il me demande souvent ce que je veux qu’il fasse, de quoi j’ai envie ; il dit qu’il fera tout ce que je veux. Alors je lui dis ce qu’il doit faire. Il effleure la pointe de mes seins de sa main puis sa bouche chaude les lèche et les mordille. Moi je mords ses épaules et son cou. Il se met debout et me présente sa bite, comme un trophée offert à ma sensualité. Je recueille d’abord du bout de la langue la goutte de semence qui perle sur son gland soyeux et vulnérable, débarrassé du prépuce. Il est entièrement épilé aussi pour que je le lèche partout. Je dépose des baisers légers sur son gland et son frein d’une douceur irréelle avant de les lécher puis sur toute la longueur de sa verge, longtemps,  en le regardant dans les yeux. Je sais qu’il aime me regarder le sucer comme une chienne lubrique. Quand j’ai le goût de sa queue partout sur ma langue, je l’enfourne dans ma bouche, d’un coup, en lui arrachant un cri de surprise. Il s’allonge sur le lit et je me mets à quatre pattes pour qu’il me caresse pendant que je le suce, j’adore ça. Ses doigts fins pénètrent, seuls ou à plusieurs, dans ma chatte dilatée de plaisir et sa main est toute mouillée. Je le suce longtemps, j’adore sentir sa bite au fond de ma gorge et l’avaler tout entière. Elle est longue et belle, on dirait qu’elle a été faite sur mesure pour ma bouche. Au bout d’un long moment de va et vient entre ma chatte, mes seins et sa queue, et plusieurs orgasmes pour moi – ça peut durer jusqu’à 1 heure – il donne enfin le signal « J’ai envie de te prendre maintenant ». La plupart du temps, je lui offre mes fesses, bien cambrée et écartée devant lui dans une des positions que je préfère. Je sens derrière moi son membre dur et chaud qui s’enfonce et me lamine. Il jouit très vite et lance un cri qui m’impressionne à chaque fois. J’aime ce mélange de virilité et de joie enfantine en lui. Sous ses mains et sa langue, j’ai pris conscience de ma puissance et de mon animalité. Il a fait de moi une femme.
 
 
 
 
           J'imagine bien ke j'aurais pu vous croiser de front dans le parking. J'aurais pas baissé les yeux c'est sur. L'odeur de votre sillage en disait long sur vos projets. Je vous aurez suivi par l'escalier, quatre à quatre, et j'étais deja là dans l'ombre de la porte. Vous êtes passés sans me voir, grisés par l'épreuve à venir. La pointe de ma shoes a empêché le battant de se claquer complètement.
 

            J'ai entendu le ton de vos voix sans comprendre. Tu étais belle dans la robe k'il t'a demandé de porter. Tes griffes ne l'avaient pas déchirée.
 
 
            L'encens m'a enervé. Comme la fumée de l'incendie arrache et brouille les naseaux du fauve ki suit ses proies à l'odeur. J'ai du m'approcher plus vite ke je l'avais imaginé. Guidé par les vollutes bleu-brouillard, j'ai instinctivement trouvé la braise au bout du baton. Je l'ai écrasée avec mon pouce. Puis j'ai regardé de votre coté, fébrile.  
 


 

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Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 21:13

 

       Ce soir, ya Jason ki s'est pointé à la salle, très à l'heure pour se ré-inscrire. J'étais content de le voir. J'l'avais pas appelé en rentrant de vacances paske j'me suis dit k'il avait dû me zapper de sa mémoire, vu k'il a pas l'air specialement fiable de ce coté là. Et puis j'etais motivé moyen pour consommer son fion k'il m'a casi offert comme un kado la derniere fois. Mais en le revoyant, j'ai direct eu envie de le ken.

 

        Lui, en fait, il m'avait pas oublié. Il avait la joie en me revoyant. Il a cherché à taper un peu la discute. Il m'a maté gentiment. Il m'a rappelé par son regard ke j'avais raison d'être fier de mon corps. C'était bon, ça m'a remis dedans. J'ai aimé sa proximité, son insistance, sa timidité et son odace. Il a l'air d'avoir grandi.

   

        

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Lundi 16 juillet 1 16 /07 /Juil 20:48

 

      J'devrais avoir du temps ces 15 prochains jours. Comme j'sais ke certains ont des questions, c'est le moment de les poser en comment. J'y répondrai au mieux, a condition k'elles permettent pas aux gens ki me connaissent de m'identifier.

       Une seule kestion par comment, ou en tout cas un seul thème. (OK Dan ?)

       Comme dans tout jeu dangereux, j'au droit à deux jokers.

 

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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 08:16

 

       Dans les douches collectives, on pourrait croire ke s'faire choper avec la trik, ca te grille à jamais. En fait, c'est beaucoup plus compliké ke ca. Aujourd'hui j'suis plus trankil mais ya pas si longtemps j'bandais, c'etait systématik. Dans ces conditions, ya des pieges dans leskels faut pas tomber. Moyennant koi tu peux bander trankil sans te griller. Mais fo savoir bleuffer, toujours tenir la ligne et jamais douter. En fait, c'est une vraie épreuve d'où tu sors soit gagnant, soit perdant. Voila mes petits conseils à l'attention des sportifs gays, ou hétéros bien dans leur corps, ki sont parfois génés avec leur trique :

 

        1, T'oublie toi-même ke tu kiffs les keums, si c'est le cas, sinon t'as aucune chance de passer. Toutes les façons, au fond les autres sont comme toi sauf k'ils sont moins à l'aise avec ça.

 

        2, Tu te mets pas a draguer dans ton propre club. C'est pas du tout le lieu et t'es pas venu pour ça. En plus, t'es pas en position de le faire à ce moment là. Donc pas d'ambiguïtés dans le regard. Si ton oeil est gourmand, tu te feras vite lincher.

 

        3, Tu regardes continuellement devant toi sans etre figé, plutot à hauteur des épaules. T'évites la confrontation de regard, c'est pas à toi d'attaquer, mais si elle arrive surtout tu la fuis pas. Si tu baisses les yeux au sol, t'es mort. Si tu les baisses vers la teub d'un autre, t'es grillé. Donc t'accroches le keum dans ses yeux, éventuellement tu le fixes sur sa croupe. Mais t'oublies k'il a une bite.

 

         4, T'en parles assez vite. Et surtout, si un gars fait une allusion au groupe. Si tu te tais, t'es mort à brève échéance. Faut occuper l'espace de toutes les façons, donc aussi par la parole. Pas une voix ki tremble. De l'assurance. Rien ke de l'assurance. C'est pour ça ke tu dois croire toi-même à ta supériorité sur les autres. Pour imposer ta logik : "bander sous l'eau chaude, c'est naturel pour un keum. Ne pas bander est louche !" Tu peux très facilement inverser la pression et la mettre sur les autres, en insinuant ke s'ils bandent jamais, c'est peut-être k'ils en sont pas capables. Mais là encore, t'attaques pas le groupe de front. T'en choisis un, de préférence le plus frimeur, paske c'est celui ki est le plus susceptible de t'enfoncer et c'est aussi le plus fragile... Une fois ke t'auras pris son terrain, les autres seront derrière toi. Ils approuveront ta logik pour ne pas être attaqués à leur tour. Personne n'a envie de passer pour un impuissant.

 

          5, T'occupes l'espace. Si tu cherches à te cacher, t'es mort. C'est l'inverse k'il faut faire : apparaitre sans t'exhiber ; montrer ke t'es super à l'aise avec ça. C'est pour ça ke tu dois etre persuadé à l'interieur de toi ke c'est une force et pas une faiblesse.

 

           Petits éléments facilitants :

           - si t'occupes déjà une position de leader par ailleurs, t'auras aucune difficulté. Veille juste à pas trop t'y croire, genre droit de cuissage, ça passerait pas du tout. Tout le monde préfère les leaders justes.

           - une fois ke t'as fait passer l'idée, et ke les autres se sont habitués (quelques semaines kan même, par sécurité). Tu peux trankil fermer les yeux, pour te retrouver avec toi-même. Tes sensations, tes rêves, ton plaisir de l'eau chaude ki masse ton corps après la dépense physique. Les autres vont respecter ton espace si tu l'as bien établi auparavent. Evite kan même de te branler... Ca se fait pas ça.

 

           Voila essaye ça, si ça marche pas tu pourras toujours te plaindre en comment. Mais prépare toi bien mentalement, paske t'as k'une seule chance. Tu verras si tu tiens la pression. Si t'as la force de t'imposer comme t'es.

 

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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 10:48

 

            Jason : "Tu vois, mon rêve ce serait k'on aille a deux pendant trois jours dans une foret ou une montagne, en pleine nature, tu vois quoi ? avec juste un couteau de survie, et on devrait s'débrouiller, passer la nuit, trouver des lapins pour bouffer. On serait forcé d'être solidaires".

 

            Voila cke je sais en plus sur lui. J'lui ai pas dit ke la nuit dans une foret, ca me ferait trop flipper. J'ai peur des esprits ; j'suis trop urbain. Par contre, j'l'ai prevenu ke pour survivre dans une situation pareille, à se rouler dans la boue et tout, j'devais niker au moins trois fois par jour. J'crois ke ca a un peu cassé son reve.

 

            Lundi c'était la derniere fois k'il venait au club avant la rentrée. J'lui ai demandé si il voulait k'on se voit cet été, il a dit oui, et yavait de l'espoir en lui. C'est là k'il m'a raconté son reve. J'ai choppé son t shirt sur le banc et j'l'ai senti, comme pour voir à l'odeur et en lui demandant si il s'etait bien donné pendant l'entrainement. Puis j'lui ai collé sur sa face, k'il respire, en demandant s'il kiffait l'odeur. J'voulais me faire une idée comme ça si c'etait ça k'il charchait dans mes fringues. Il a rougi un peu, mais au total, j'sais toujours pas. J'crois ke j'réfléchis trop avec Jason. Ca fait un trop gros contraste à force.

 

 

              Hier, j'l'ai appelé et j'suis passé le chercher vite fait a la sortie de son taf. Il voulait k'on prenne sa caisse mais j'preferais conduire. Donc j'l'ai embarqué et j'l'ai emmené où ya personne. J'ai dit ke c'etait pour k'on passe du temps ensemble, mais en fait, j'en avais pas beaucoup. Là où on etait on voyait les avions atterrir. En silence. Mais pas plus pesant ke d'habitude. Comme si on fumait une clope mais on fumait pas. Puis il m'a dit k'il avait envie de me "faire plaisir".

 

               J'lui ai répondu k'il savait comment faire. Il a touché ma teub, sous le jean, c'etait bandant. J'me suis mis bien dans le siège et j'ai croisé mes mains derrière ma nuque, trankil. Il s'intéressait pas k'a ma teub. Il palpait mes cuisses, puis mon ventre. J'aimais bien sa caresse ; c'etait un contact franc, pas des caresses de meufs. Comme un geste ki masse en profondeur. Il a sorti ma teub deja mouillée, il a léché. Puis il a fait une bonne petite pompe. J'ai fermé les yeux et j'ai pensé à ma meuf. Trop kiffant.

 

               Kan j'ai craché, il a avalé. Comme la dernière fois, mais librement. J'l'ai regardé faire, j'étais content, et j'lui ai dit gentiment : "cool... tu te souvenais ke j'kiff kan ya pas de traces après..." Lui ossi il avait l'air bien, la joue appuyée sur ma cuisse. J'lui ai demandé s'il avait déjà fait la meuf pour un mek. Il a dit "non". J'lui ai demandé si il kifferait. -"Pour toi, ouais".

 

                Pas la peine de dire comment j'étais content. J'en voulais pas davantage. L'idée d'avoir une meuf en plus, ça suffisait à me remplir. Ma gazelle d'avant s'est convertie en petit puceau du fion ke j'me garde bien au chaud.

 

                J'avais pas spécialement envie de voir sa teub mais j'aimais regarder sa trik sous le jean. C'etait beau ce petit baton nettement apparent en travers de la couture. J'lui ai dit de se branler et j'ai pris la route du retour. J'avais juste le mouvement de son bras dans mon champ de vision. C'est moi ki lui a tendu un bout de sopalin ke j'ai trouvé roulé en boule dans le vide poche. J'ai aimé ce geste. Pour moi ca voulait dire : "on n'aura pas le même role toi et moi dans l'histoire, mais j'commence a comprendre cke tu cherches, et surtout j'te respecte".

 

 

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