Jeudi 25 octobre 4 25 /10 /Oct 07:36
 
         J'avais pas encore mis ce texte à la place k'il merite.
 
         Puiske tu me dis ke ca t'a excité de l'écrire, Pauline, j'espere ke ca te donnera un orgasme de plus de le relire. J'aime ton coté pantère patiente et ton amant raffiné, mais je dois reconnaître ke j'ai pas cette patience la. Il me faudrait une sacrée raison pour pas me jeter sur toi trois quart d'heure plus tot ke ton expert en montée de sensations et de ferormones. Alors j'ai proposé une petite variante à ton histoire, histoire de voir si ca debouche sur kelkechose. Bisous.
 


Pauline : Mon amant, je ne le vois que toutes les 2 semaines environ, mais depuis plusieurs années déjà. Même pendant le Ramadan, l’envie de me baiser le fait braver l’interdiction. La première année, il a craqué, depuis il n’essaie même plus de résister. Quand il vient me chercher à la gare, je ne dois pas le toucher jusqu’à ce qu’on soit chez lui. Il ne me touche pas non plus. Il dit que dès qu’il me frôle, ça le rend dingue et qu’il ne peut plus s’arrêter.
 

Dans la voiture, parfois, je désobéis et lui caresse la nuque pour le plaisir de le sentir tressaillir. Il exige que je sois en robe ou en jupe alors j’écarte un peu les jambes, il jette des coups d’œil anxieux vers moi. Je vérifie que son membre est déjà dur et merveilleusement moulé dans son pantalon.  
 

Arrivés dans son parking, je descend de la voiture et sens son regard qui détaille mes courbes et savoure déjà ce qui va suivre. Je monte l’escalier devant lui, lentement. Je sais qu’à cet instant, il a les yeux fixés sur mes fesses qui bougent en cadence et que l’envie de me pénétrer fait déjà monter une chaleur vibrionnante dans son ventre. Mais il aime prendre son temps. Avec lui, j’ai appris à savourer lentement les heures passées ensemble et à ne pas céder à l’envie impérieuse de le sentir bouger en moi.
 

Quand la porte de son appartement se referme, le rituel commence. Il installe des coussins sur le lit, le long du mur. Il nous sert un verre de vin, parfois du rhum et allume des bougies et de l’encens, pour couvrir l’odeur de la cigarette qu’il fumera lentement en me dévorant des yeux. Puis il s’installe de l’autre côté de la table basse, sur un pouf en cuir.
 

Moi je sais ce que je dois faire et je m’exécute, docile. Une tension délicieuse envahit mon bas-ventre et me tiraille les tripes.  J’enlève mes chaussures à talons et ma veste et je m’assois en face de lui, sur le lit. Parfois, je porte un décolleté plongeant, parfois une chemise en mousseline transparente. Il aime deviner mon corps. J’imagine sa bouche chaude et humide qui se referme sur l’aréole brune et dilatée de désir et je sens la pointe de mon sein se durcir instantanément à cette pensée. Assez vite d’ailleurs, il me demande de lui montrer mes seins. Je m’exécute, lentement, j’enlève les boutons un a un et mes seins blancs jaillissent de la dentelle, tout dressés d’excitation. Lui a libéré sa belle bite et commence à la caresser en me fixant. Je sens la salive envahir ma bouche au souvenir de sa douceur mais je contiens mon émotion.
 


Très vite, il me demande, d’un air suppliant : « Enlève ta jupe ». Je joue un peu les timorées, c’est un jeu entre nous. Quand je suis en string et en bas devant lui, je vois dans ses yeux que mon pouvoir augmente peu à peu. Son souffle devient court, il fixe mon entrejambe et dit « Montre-moi. S’il te plaît. » La première fois, j’ai été très gênée de sa demande. Je me suis exécutée, vaguement mal à l’aise, croyant que ça ne durerait pas longtemps et que, comme d’habitude, la pénétration viendrait très vite. Mais il a violé ma pudeur, sans concession ; il m’a admiré longuement, fixement. Il n’arrêtait pas de répéter que ma chatte était magnifique et charnue comme il aimait. Je ne m’étais jamais offerte comme ça au regard d’un homme. Avant de le rencontrer, je ne pensais pas être différente des autres femmes, et surtout, je ne trouvais le sexe féminin – donc le mien - ni beau ni laid. Peu à peu, devant son bonheur émerveillé, mon corps s’est relâché, mes jambes se sont ouvertes un peu plus pour le laisser me scruter et j’ai commencé à mouiller abondamment.
 

Aujourd’hui, je prends un plaisir inouï et totalement impudique à m’offrir à son regard. Je me sens belle devant lui. Magnifique, même. A chaque fois que j’ouvre les cuisses, la même émotion m’envahit. Il reste d’abord de l’autre côté de la table et fixe ma chatte en fumant une cigarette et en buvant un peu d’alcool. Il se caresse doucement en me souriant et plisse les yeux  en disant qu’il est ému de ma beauté.
 

Par moments, il vient déverser dans ma bouche le rhum qui a tiédi dans la sienne. Je bois le liquide de ses lèvres viriles, puis je prends possession de sa langue pour en sentir le goût de tabac. Il s’arrache à regret et retourne s’asseoir, en tirant sur sa cigarette de plus en plus nerveusement.
 

J’aime tout chez lui, sa peau d’une douceur incroyable, ses poignées d’amour attendrissantes, son odeur, sa bouche, sa voix chaude, sa bite fière et magnifique. Je pourrais l’embrasser, fouiller sa bouche et mordiller doucement ses lèvres pendant des heures.
 

Au bout de quelques minutes, il bondit vers moi, fébrile, et s’agenouille devant mes cuisses ouvertes en gémissant. Son souffle tiède et haletant fait frémir ma chatte et y met le feu. Il passe d’abord la pulpe de son doigt sur le contour de ma vulve soyeuse, tout doucement, comme sur une petite chose fragile et délicate. La première fois, il m’a demandé de m’épiler intégralement et depuis, j’y ai pris goût. Pour qu’il puisse me lécher partout où il le veut et que je sente sa langue dans les moindres de mes replis. Son regard émerveillé me bouleverse. Il parle d’une voix étranglée par le désir, me demande si je sais à quelle point je suis belle, et comme mes seins sont magnifiques. J’adore sa voix, elle m’excite déjà terriblement au téléphone. On ne se voit que toutes les 2 semaines environ et je me suis branlée souvent en l’écoutant me décrire tout ce qu’il me ferait à notre prochaine rencontre.   
 

Après m’avoir caressé avec dévotion, il pose délicatement sa bouche au creux de mon aine. Puis il passe son index sur la crête violacée de mes lèvres qui s’entrouvrent comme les pétales d’une fleur sous la chaleur du soleil. A cet instant, je sais que je mouille abondamment. Une fontaine de désir. Lui est heureux, comme hypnotisé. Il fait glisser son doigt de haut en bas de ma vulve mouillée et lèche son doigt en gémissant de bonheur et en me disant à quel point il aime mon goût et mon odeur.
 

Le moment où il referme ses lèvres sur les miennes me fait presque défaillir. Il tire doucement sur mes lèvres et les suce en me regardant dans les yeux. Il me demande de regarder ce qu’il me fait et comme il y prend du plaisir. J’ai du mal à le fixer à ce moment là. Je préfère me renverser en arrière sur les coussins et me cambrer sous ses coups de langue de plus en plus rapides et autoritaires. Il me lèche très longtemps, s’arrête régulièrement pour me regarder et jouer avec ses doigts partout à l’intérieur de moi. A ce moment-là, j’ai une envie folle qu’il me prenne, tout de suite. Je le lui dis « Prends-moi » mais il refuse, presque suppliant de le laisser me donner encore plus de plaisir. Nue devant lui, je me sens puissante. Je le tiens dans ma main, il est à ma merci, dévoué à satisfaire tous mes désirs. Il me demande souvent ce que je veux qu’il fasse, de quoi j’ai envie ; il dit qu’il fera tout ce que je veux. Alors je lui dis ce qu’il doit faire. Il effleure la pointe de mes seins de sa main puis sa bouche chaude les lèche et les mordille. Moi je mords ses épaules et son cou. Il se met debout et me présente sa bite, comme un trophée offert à ma sensualité. Je recueille d’abord du bout de la langue la goutte de semence qui perle sur son gland soyeux et vulnérable, débarrassé du prépuce. Il est entièrement épilé aussi pour que je le lèche partout. Je dépose des baisers légers sur son gland et son frein d’une douceur irréelle avant de les lécher puis sur toute la longueur de sa verge, longtemps,  en le regardant dans les yeux. Je sais qu’il aime me regarder le sucer comme une chienne lubrique. Quand j’ai le goût de sa queue partout sur ma langue, je l’enfourne dans ma bouche, d’un coup, en lui arrachant un cri de surprise. Il s’allonge sur le lit et je me mets à quatre pattes pour qu’il me caresse pendant que je le suce, j’adore ça. Ses doigts fins pénètrent, seuls ou à plusieurs, dans ma chatte dilatée de plaisir et sa main est toute mouillée. Je le suce longtemps, j’adore sentir sa bite au fond de ma gorge et l’avaler tout entière. Elle est longue et belle, on dirait qu’elle a été faite sur mesure pour ma bouche. Au bout d’un long moment de va et vient entre ma chatte, mes seins et sa queue, et plusieurs orgasmes pour moi – ça peut durer jusqu’à 1 heure – il donne enfin le signal « J’ai envie de te prendre maintenant ». La plupart du temps, je lui offre mes fesses, bien cambrée et écartée devant lui dans une des positions que je préfère. Je sens derrière moi son membre dur et chaud qui s’enfonce et me lamine. Il jouit très vite et lance un cri qui m’impressionne à chaque fois. J’aime ce mélange de virilité et de joie enfantine en lui. Sous ses mains et sa langue, j’ai pris conscience de ma puissance et de mon animalité. Il a fait de moi une femme.
 
 
 
 
           J'imagine bien ke j'aurais pu vous croiser de front dans le parking. J'aurais pas baissé les yeux c'est sur. L'odeur de votre sillage en disait long sur vos projets. Je vous aurez suivi par l'escalier, quatre à quatre, et j'étais deja là dans l'ombre de la porte. Vous êtes passés sans me voir, grisés par l'épreuve à venir. La pointe de ma shoes a empêché le battant de se claquer complètement.
 

            J'ai entendu le ton de vos voix sans comprendre. Tu étais belle dans la robe k'il t'a demandé de porter. Tes griffes ne l'avaient pas déchirée.
 
 
            L'encens m'a enervé. Comme la fumée de l'incendie arrache et brouille les naseaux du fauve ki suit ses proies à l'odeur. J'ai du m'approcher plus vite ke je l'avais imaginé. Guidé par les vollutes bleu-brouillard, j'ai instinctivement trouvé la braise au bout du baton. Je l'ai écrasée avec mon pouce. Puis j'ai regardé de votre coté, fébrile.  
 


 

Publié dans : Branleur né - X
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