Branleur né - X

Lundi 22 janvier 1 22 /01 /Jan 09:12

 

       Vers 11 heures du mat, ya toujours un moment où j'métire et ça me file la trique. C'est comme un deuxième réveil, c'est trop bon.

       Comme la plupart du temps, à cette heure-là, t'es en compagnie, ça pose souvent des petits problèmes.

       J'suis content de voir ke je suis pas le seul à ki ça arrive :

 

 1, T'es bien.

 

2, Tu sais bien ke tu bandes, mais tu jettes quand même un oeil pour te faire une idée, si ça se voit ou pas. Bien sûr ke ça s'voit...

 

3, Et même bien.

 

4, Tu la remets droite paske, pliée, ca commence a faire mal. En essayant d'etre un minimum scred.

 

5, Putain, ça craint ! Tu tentes de moins te faire capter. C'est pas ke t'as honte mais bon...

 

6, "Ca va bien finir par passer..."

 

7, Ca passe pas.

 

 8, Va falloir se branler discrètos, par la poche...

 

9, ...et supporter d'avoir le slip un peu mouillé (jusque vers 15 heures).

 

Bravo au fotographe ki a capté ce moment d'intimité, délicieux ! 

Lire ma technik perso dans ces cas là : Un de mes p'tits vices constant

 

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Vendredi 22 décembre 5 22 /12 /Déc 08:01

   

     Y'a des fois, on préfèrerait pas être né.

     Comme le jour où ma reum et ma soeur sont rentrées dans ma chambre, alors ke j'me croyais seul dans l'appart. J'etais dans une sale position : de profil à la porte, torse nu, le survet à mes chevilles, le boxer aussi. La teub bien dressée. J'faisais face à un sac de frappe qu'était pendu au plafond et j'me frottais le gland dessus, sans les mains.  

     J'me branlais trankil en respirant un calecon à mon frere que j'avais trouvé par terre. J'devais être en extase, un peu shooté par l'odeur.

     C'est à ce moment là que ma mère, et ma soeur derrière elle, sont entrées dans la piaule d'un coup pour rapporter du linge.

     J'ai eu le temps de rien faire. J'crois que j'suis resté pétrifié. J'ai même pas essayé de me rhabiller.

     La Heche !!!!! Putain !!! Kan t'as pas vécu ça dans ta life, tu sais pas cke c'est la honte. Ta reum a moins de deux metres de ta bite en érection !

     Elle a hurlé et elles sont reparties. Moi je voyais qu'une seule solution : disparaître...

     Là c'est comme une sueur qui ferait pas de bruit. Une peur qui sert plus a rien mais ki est là. J'ai remonté mon fute et j'me suis mis dans mon placard, par terre, au milieu des vieilles skets. J'ai plus voulu en sortir de la soirée et j'ai dormi là.

     J'entendais mes soeurs le soir qui se tapaient des barres, nerveusement comme des hystériques dans leur chambre. J'étais sûr kelles parlaient de ça. Et mes reufs qui savaient rien mais ki venaient me faire chier dans mon placard. Ils étaient mort de rire. J'ai dû les frapper pour kils me fouttent la paix.

     J'croyais pas ke j'pourrais un jour réapparaitre devant ma reum. J'imaginais ke j'allais partir de la maison définitivement, ke j'laisserais jamais d'adresses.

     Le lendemain, c'est mon père ki est venu me sortir de mon placard. Sans rien dire comme d'habitude.

     Ca fait 8 ans mais putain quand j'y repense... La heche !.... 

 

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Mardi 19 décembre 2 19 /12 /Déc 10:37

      

     Qu'est-ce qui faisait ke ca marchait ce genre de plan (suite du 10 decembre) ?

     J'crois ke c'est un melange entre l'ennui, le desespoir, la curiosité et la testostérone. C'est détonnant comme melange a 16 ou 17 ans. 

     Samuel, j'le regardais avec dans les yeux une envie de le posséder. C'est sûr. Et pas de mots, mais un regard ki change dès kon se retrouve seuls. En plus il avait une meuf, et pas moi. Ca me motivait encore plus. J'ai senti ke j'l'avais accroché dans mon filet kan au lieu de reagir il se taisait, troublé, kan j'provoquais.

     La premiere fois c'est kan on etait a trois dans la court, avec mon reuf et que mon reuf il dit comme ca : "putain, j'me f'rais bien sucer". Là-dessus, Samuel il repond : "putain moi ossi ce serait bon". Et moi j'lui fais : "Non ! Toi t'as envie de Nous sucer !". Et là, au lieu du "va t'gratter fils de pute" qu'on attend, ya un silence. Moi j'ai su que ca avait mordu.

     Yavait plus qu'a ecarter mon frere, trouver des moments a deux, et travailler au corps. Ca a du prendre au moins un trimestre avant ke j'ai cke je veux. Mais j'me decourrage jamais pour ca. J'ai trop de patience.

     A chaque fois ke on s'retrouvait a deux pour pisser, et j'm'arrangeais pour ke ca arrive, j'faisais des allusions genre j'montrais la cabine de chiotte la plus au fond et j'disais : "t'as vu c'est la que tu me suceras un de ces jours". Là, il pouvait me traiter de PD autant kil voulait. J'lui repondais : "ben si vraiment t'as pas envie, arrange toi pour pas y aller par inadvertance, paske j'te promets ke si tu rentre là c'est pour me sucer".

     Avec le printemps, on etait tout fous. Ca avait sonné depuis longtemps et on etait encore au chiottes. J'ai jeté mon sac et j'lui ai barre la route pour sortir. Il s'est pas imposé pour passer. J'ai commencé a faire des fouettés réglés a deux centimetres de son visage. Il etait obligé d'reculer kan ma shoes lui frolait les levres. Ca l'amusait. Moi ca m'a vite fait bander. J'faisais un fouetté en faisant tout un tour sur moi meme, en le repoussant inexorablement vers la cabine.

     J'me souviens kil avait un pull noir a meme la peau. J'adorais l'odeur de sa sueur. J'l'ai amené comme ca jusque dans la cabine. Il fallait le pousser, mais il m'a clairement pas empeché. A la fin, j'l'ai bloqué dedans et j'ai fermé la porte. C'est la ke j'ai commencé a avoir un putain de trac. Mais j'pouvais plus reculer.

     J'me suis collé a lui, debout. On a pas parlé. On s'est juste senti respirer. Ca là kil faut accepter de prendre le risque. Celui ki implique. Celui ki montre tes intentions, sans plus d'ambiguité, le geste ultime après lequel tu pourras plus dire : "vas-y c'etait pour deconner, pour ki tu m'prends?!".

     Contre lui, trop près pour kil la voit, j'ai sorti ma teub, super tendue à blok. Je le tenais contre moi mais c'etait pour me cacher. Elle est passée sous son pull et s'est plaqué sur ses abdos qu'elle marquait de son humidité et de son parfum. J'étais troublé a mort. j'pouvais que regarder son cou en le bloquant avec ma tete contre le mur. En pensant a mon sac qu'etait resté a la porte.

     J'ai choppé ses cheveux et j'l'ai fait descendre. J'avais peur et ma seule issue c'etait d'aller jusqu'au bout. Pour le compromettre. J'ai tenu ma teub devant sa bouche. Il la prise en bouche un court instant. J'crois kil a été surpris par la sensation. Il l'a recraché. J'lui ai fait : "vas-y, fais le bien, tu vas voir tu vas kiffer". En le bloquant plus ossi. Il l'a reprise en bouche et cette fois il m'a fait une vraie pipe. C'était bon putain.

     J'voulais pas kil voit mon sperme. Ca aurait été comme de perdre la face pour moi. Ca fait ke j'l'ai tenu fermemant kan j'ai craché. J'l'ai vraiment forcé à avaler. Il en a recraché après, mais ca j'm'en foutais. C'etait plus mon probleme.

     J'lui ai dit : "tu le fais bien", surement avec mon air le plus macho. Et j'lui ai dit ke s'il me le refaisait, j'l'obligerais pas à avaler la prochaine fois. J'crois kon dit "magnanime" pour ca.

     On est allé en cours, j'me rappelle ke c'etait les maths. Il était un peu derriere moi sur la gauche ce jour la. J'etais fier. J'ai dû m'étirer. J'le regardais pas mais j'sentais que ca travaillait dans sa tete. J'pense kon a raison de faire nos expériences kan on est gamin.

     Il me l'a fait regulierement après. C'etait devenu une façon d'etre en relation. Mais je souriais plus kan je le regardais. J'pense ke j'me prenais vachement au serieux. Aujourd'hui, j'aimerais bien savoir ce kil a retiré de cette experience. Pourkoi il l'a fait. On etait incapables de parler de ca a l'époque. Fallait simplement faire et la fermer.

 

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Dimanche 10 décembre 7 10 /12 /Déc 18:12

 

     Qu'est-ce ke je fais avec mon cul ? Keski fait ke je kiff ossi les keums ? Keske je prefere dans tout ca ? Suis-je homosexuel ? Bi ou hétéro ? Je vois pas bien a koi ca sert de se situer kan on aime tout. J'aime pas les cases, les etiquettes. J'aime pas non plus devoir dire si je suis Français ou Arabe, attaquant ou defenseur, dominateur ou soumi. J'aime tout. J'aime la diversite. J'apprends dans chaque chose en fait. Et tout est bon quand c'est fait dans le respect.

     Branleur né, c'était vraiment la base de mon développement. Kan j'arrivais pas a interesser les meufs, c'etait matin, midi et soir. Et c'etait plutôt à ELLEs que je pensais kan j'me tapais une branle.

     J'me branlais pas honteusement. J'adorais deja trop ca. J'avais deux freres en age de faire pareil dans ma chambre, et ils faisaient pareil. C'est important à noter pask'on peut vraiment dire que j'ai découvert ma sexualité dans cette ambiance collective. On se connaissait par coeur mes reufs et moi ; on ne se cachait pas grand chose. On n'avait pas la place pour avoir de l'intimité. Se cacher c'était trop compliqué. Donc on a vite laché l'idée. Par contre, ca restait vraiment entre nous. L'histoire de notre chambre, celle des bêtes sauvages. C'était un peu l'histoire d'un clan dans une famille nombreuse.

     Heureusement ke ma vie d'apres a été intense paske sinon je serais resté scotché aux souvenirs de notrre adolescence, paske c'était vraiment des bons souvenir. On était super différents mais on avait sans se le dire la meme culture de chambre : la meme facon, insupportable et complice en meme temps, de subir la promiscuité. La même succession de bastons et de calins entre frangins. C'étais la force des sentiments de l'adolescence appliquée à une partie de fratrie. Ca m'a marqué pour la vie. Mes frères aussi.

     J'aurais l'occasion de reparler de mes reufs. Mais ma sexualité, même a 16 ans, se limitait pas a la branlette. Seulement les meufs, c'etait sans espoir. J'devais etre une caricature a l'epoque. J'avais rien compris de ce qu'attend une meuf. J'voyais pas pourkoi elle kiffaient pas autant ma teub ke moi. J'avais aucun savoir faire ; je vois pas d'ailleurs aupres de ki j'aurais pu apprendre. Par contre, les keums, ca me semblait facile. Alors j'en croquais kan je pouvais... en attendant. J'aurais aimé attirer les meufs autant ke j'attirais les pelos ki s'ennuyaient.

 

     Au lycée, les rares moments où j'arrivais a me decoller de mon frere j'etais assez entreprenant. J'avais un vrai don pour repérer les keums qui n'etaient pas degoutés par le sexe d'un garcon. Y'en a kan meme pas mal à l'age qu'on avait. J'avais un don ossi pour les approcher sans me griller, pour les regards insistants ki font comprendre ke t'attents quelque chose sans laisser franchement deviner koi.

     En fait, j'ai l'impression ke la plupart des meks pas trop coincés dans leur corps sont prêts a essayer, pour le fun. Surtout si c'est donnant-donnant. Cki complikait pour moi, c'est kil etait pas question ke je donne. Dans ma tete, j''etais fait juste pour prendre cke je voulais. Donc y'avait toujours à un moment un risque à prendre. J'le prenais, kan le terrain avait ete bien preparé à force d'allusions et de provocations. Au dernier moment, fallait ke je m'impose à l'otre, juste pour forcer un peu le destin. C'est comme ça ke je me faisais régilièrement sucer dans les chiottes du lycée par un keum ki commençait à y prendre gout. La réciproque était inenvisageable.

     Il s'appelait Samuel, il était bogoss. Un rouquin, mais d'un roux foncé, sans taches de rousseur sur la peau. Bien ballancé, il faisait du hocket sur gazon. J'adorais son odeur. On n'a pas dû s'échanger plus de trente frases dans notre vie. Mais on s'est dit des tonnes de choses par nos regards. Une façon de découvrir à deux, c'est quoi d'etre un garçon.

 suite : voir le 19 decembre.

   

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Samedi 2 décembre 6 02 /12 /Déc 01:48

  

  Quand j'étais en cours, j'avais une salle manie c'était de me taper une branle regulierement, surtout le matin vu kelle etait dure et ke ca s'passait pas tout seul. Scred biensur.

  J'étais au fond, trankil assi sur le bord avant de ma chaise, les epaules en arrière. J'pense ke la position devait enerver les gens paskelle etait nonchalante.

   J'laissais sortir ma teub par le haut de mon survet, sous l'elastique du boxer et mon tshirt recouvrait le tout pour cacher. Je jouais juste a sentir mon gland contre mes abdos. Ca pouvait durer super longtemps, juste a me mouiller le nombril avec ma mouille ki a toujours ete abondante. J'matais les meufs de la classe, en general une a une, surement avec un sourire imperceptible mais ironique. J'previens d'avance ke j'etais moins malin a ct epok ke maintenant.

   Cki faut pas faire kan tu te branles en classe, c'est genre des va et viens avec ta main paske la t'as aucune chance. Pour pas me faire capter, j'avais les jambes en avant, le bassin et le ventre sous la table. J'me tenais les boules a travers le survet et j'tirais juste un peu pour ke mon gland frotte sur l'interieur du tshirt. J'faisais durer. Et kan ca venait j'me retenais au maximum. Le truc marrant c'est ke tu peux rien montrer et ke ca c'est super dur. J'crois ke si on me fixait a ce moment là, on devait kan meme le voir. Genre la bouche entrouverte, un truc ki bloke dans la gorge, surement une lumiere dans l'oeil paske j'adorais ce moment.

   Au moment de cracher, j'tirais un peu sur mon t shirt et j'sentais le sperme ki s'etalait sur les pecs, tout cho, puis ki descendait lentement vers le ventre et puis les flancs. J'adorais trop cte sensation.

   J'finissais le cours en passant de temps en temps mes doigts sous le tshirt pour y chercher du visqueux-doux, et j'les portais a ma bouche, discret.

   C'est ca mon petit vice constant. J'suis passionné par ma teub. Son odeur, sa chaleur, et tout ce ki en sort. J'ai jamais trouve ke le sperme avait bon gout, mais ca m'a jamais gener d'en avaler. J'sais ke ya beaucoup de keums que leur sperme dégoute. C'est vraiment pas mon cas. Deja à 16 a j'etais à l'aise avec ça, comme j'etais à l'aise avec mon corps.

   C'est arrive ke j'doive aller au tableau pendant ces episodes. C'etait la preuve ke j'etais scred. Fallait ke j'temporise pendant deux trois minutes avant de me lever, histoire de calmer le jeu dans mon boxer. Genre "Pourquoi moi ?" et t'argumentes. Ca enervait les profs mais ils comprenaient pas ke j'avais pas le choix. Les profs pouvaient pas me comprendre ; d'ailleurs ils m'ont pas compris. Avec le stress, en trois minutes, j'etais de nouveau dispo. Ca m'est arrive ossi d'y aller apres avoir jute. Mais j'detestais grave aller au tableau. A l'epok j'etais trop pudique ; j'gardais ma fierte a l'interieur. J'montrais rien, j'disais rien, j'parlais jamais. Tout l'inverse de maintenant.

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