Mardi 18 décembre
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15:53
Je crois ke ça relevait plus du hasard ke du calcul.
La semaine dernière, je me suis retrouvé seul dans les douches avec Jason. Depuis cet été, on s'était juste donné du gros matage sans ke j'avance plus ni k'il
réclame koi ke ce soit. On avait bien en tête je pense, lui comme moi, ke son fion était pour moi et ke j'avais k'à le demander si l'envie me venait.
J'ai pris le temps de l'éplucher du regard, comme pour le rendre encore plus nu k'il était. Il est bien assez splendide pour tolérer la petite poussée
d'acné ki lui est venue avec le froid. Ca lui donnerait preske un charme en plus, une sorte de naïveté encore accentuée.
Je l'ai comparé à l'image k'il m'en restait. Il me semblait plus épais k'à l'été, un chouia plus trankil à l'intérieur de lui-même. Kel chemin il a parcourru pendant ke
je suivais le mien ?..
Le froid dehors donnait pas trop envie de précipiter la sortie de douche. Comme il faisait trainer le savonnage et k'il avait l'air de s'endormir sous le contact de sa
main, je lui ai lancé une frase autorisée dans ce contexte (voir bander sous les douches,
c'est pas rédhibitoire) : "Tu vas pas tarder à triker à te caresser comme ca..." Et j'ai adoré lire son air semi géné, semi pudik, semi amusé,
semi flaté...
Je suis allé contre lui et j'ai passé mes doigts sur l'arrière de sa cuisse, puis entre ses fesses, vraiment engagé, au point de sentir le charnu de
son fion sur la pulpe de mes doigts. Pour lui rappeler ce ke nous savions l'un et l'autre, avec la même trankilité ke si personne n'était susceptible de nous surprendre. Il a à peine sursauté.
Comme un réflexe ki n'avait finalement pas lieu d'être. Puis, en me séchant la tête, je suis sorti pour me saper.
Je croquerais bien Jason comme agneau pour l'Aïd.
Publié dans : Branleur né - X
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