ESPAGNE

C'est pas de tout repos d'être un mek quand il fait chaud. Putain d'hormone kan tu nous tiens ! En tout cas, mon reup à moi, il est grave plus méchant ke le sien.

C'est cool Madrid kan même.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
BULGARIE
 
Pourkoi les bourgeois ne baisent pas comme nous ? Ca a l'air tout doux. Moi ça m'excite pas trop, on dirait un peu des meufs. C'est con, si tu kiff les meufs, autant mater des meufs.
 
 La force d'un mek c'est précisément sa virilité, pas sa façon de se tortiller. La force d'un mek, c'est la chaleur de son contact. Ca glisse pas quand tu le serres fort. Mais bon, eux, ils ont l'air jeunes ; ils se construisent encore je suppose.
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
FRANCE
 
 
Des petites tarlouzes ! exactement comme celles ke j'méprisais encore ya deux ans. Aujourd'hui j'ai mûri. Et le film est bien. J'crois que Ozon c'est pas une chèvre, c'est la class ! Non ?
 
 
 
 
 
 
 
      Si vous vous identifiez au petit blond, vous êtes typique le genre de keum ke j'aurais pu traiter dans le passé. C'est dur je sais mais c'était comme ça. J'ai pas de mal a tenir des propos homophobes avec mes potes. Paske je sais ke ca nous soude. C'est une façon de s'affirmer mutuellement l'importance k'on donne a la force, et le mépris qu'on a pour la faiblesse.
 
       J'en connais des gars comme ça, mais je les fréquente pas, et surtout en public. Mais au fond de moi, ça m'interesserait de discuter longtemps avec vous si vous êtes dans ce cas. J'imagine k'il ya de la souffrance a la base. Le même genre de rejet que j'ai pu vivre moi en tant ke maghrébin en France. La même difficulté à trouver son identité, à se sentir aimé par la société.
 
 
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       Hier soir, j'ai remis un peu Yohan à sa place sur msn. Ca lui fait du bien d'être recalé.

       Il se croit arrivé juste paske je le laisse m'humilier de temps en temps. Il s'est mis à croire ke j'lui appartiens.

       C'est plus compliké ke ca Yo : j'suis pas ton esclave. C'est juste ke des fois ca m'amuse de me soumettre, mais c'est un jeu... Un trip sexuel ki me permets peut-être de régler à ma façon des humiliations du passé : des trucs de l'ecole, des keufs ou de mes parents. De les comprendre autrement. Mais c'est pas mon essence d'être ton esclave.

       Donc hier soir, j'l'ai envoyé bouler, c'était marrant hein Yohan ? Oublie pas ke moi kan j'fais des pompes, c'est juste pour décrasser, alors ke toi c'est pour te muscler... T'es peut-être plus malin et plus cultivé, mais j't'assome en 17 secondes kan j'veux. Et ça je kiff d'avoir cette supériorité sur toi.

       Tu me domines, si je veux !

 

       En allant me coucher, j'ai réveillé ma meuf pour lui faire l'amour. C'était trop bon de sentir mon corps la froller. Tout mon torse était comme en suspension au-dessus d'elle. J'l'ai baisé avec force ; elle adore une fois qu'elle est excitée. C'est comme un combat très tendre. J'aime ce contraste entre mes muscles et sa douceur. Et ca, Yohan, tu pourras jamais me l'apporter. Ca n'enlève rien a notre amitié.

 

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       Moi, personnellement à votre place, j'réfléchirais deux fois avant de vouloir adopter un môme. Paske c'est trop galère : les maladies ki se succèdent et ki se refilent de l'un à l'autre. Les nuits, tu dors plus. Kan tu crois ke tu vas être trankil, en fait, tu l'es pas...

         Bon évidemment, kan ils sourient ou k'ils rigolent, ca le fait. Mais kan meme réfléchissez.

        Signé : Wajdi, un reup à la ramasse.

 

 

         A part ca, fo regarder ce sketch. Moi ca me fait trop délirer. Si vous etes comme moi à rêver d'etre célibataire kan vous êtes en couple et ke vous vous lamentez d'etre seul kan c'est enfin le cas, vous allez rigoler.

 

  

 
         Putain, j'passe trop de temps sur ce blog, ca va finir par me causer des problèmes de famille avec ma meuf dépressive, mdr.
 
 
 
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       Quand j'ai commencé a delirer avec Yohan, ça m'a fait peur. Super peur. J'avais le choix d'éviter d'y penser ou de l'affronter pour le dépasser.

       Les plans d'avant, c'était facile. Je dominais, c'est moi ki faisait le mâle. J'pouvais me faire croire que c'était pas de l'homosexualité. Le PD, c'était toujours l'autre. Moi j'étais un keum puisque j'l'ui défonçais le cul avec violence et sans sentiments.

       Mais avec Yo, j'sentais un trouble. Pask'avec lui, j'avais envie d'être passif et quelque part ca me choquait, je voulais pas l'admettre.

       Comme beaucoup d'autres rebeux je pense, j'ai cherché des sites ki parlaient de nous : beur, musulman, homosexuel. Pour comparer, voir si j'etais seul dans le gouffre. J'suis tombé sur le site de medhi : bab el houria. J'y ai raconté mon histoire avec Yohan, pour avoir des retours. J'en ai eu plein, sous forme d'encouragements. Ca m'a vraiment rassuré.

         J'l'avais vieilli. Je sais pas pourkoi ; ca me semblait plus acceptable s'il était plus vieux que moi. En réalité, il a un an de moins. Je sais pas pourkoi mais dans ma tête c'etait pire de se soumettre à un cadet. Pour le reste, vous reconnaitrez l'histoire. Je l'ai rapatriée ici pour compléter la description ke je fais de ma vie :

 
C'est fort d'être un objet

 

Salut, 

 

Je m'appelle Wajdi, j'ai 24a, je suis étudiant et je fais beaucoup de sport.

  

Normalement, j'suis plutôt fougueux. J'adore le sport pour le physique et pour le jeu. J'aime bien aussi qu'on m'admire et j'aime bien être leader. Je suis bi et je préfère nettement les meufs. Je suis avec une meuf depuis dix-huit mois et on est super bien ensemble.

 

 

J'ai rencontré un keum, par le sport. Il a 28a et il est super équilibré dans sa tête. Il vit ses passions à fond, mais discrètement. Comme moi, il est hétéro, mais il m'a fait comprendre que je lui plaisait. Il me faisait des phrases provocs, genre : « tu fais le fier, mais j'suis sûr qu'on doit pouvoir te dominer ». Ca me faisait rigoler mais au fond ça me faisait bizard. Surtout quand j'y repensais après. Après je m'suis branlé en pensant à lui et en pensant que je me soumettais.

 

 

Ca me faisait drole jusque dans le ventre. Je m'imaginais vivre l'inverse de ce que je suis en réel. Je sais que je suis trop macho, même ma meuf elle le dit. Autour de moi, et dans l'équipe, je suis leader. J'aime bien que les choses aillent comme je veux. Et pourtant je me branlais en imaginant que ce mec me matait.

 

 

A force j'ai eu envie de tenter avec lui. Il a du commencer à le sentir et faisais de plus en plus de provocs et de propositions. Comme il avait l'air vraiment clair avec ça, ça me rassurait. J'avais confiance.

 

 

Y a quinze jours, j'ai répondu à une provoc de venir chez lui. Il m'a donné un rendez-vous pour le lendemain. J'ai flippé grave en pensant que j'allais y aller. J'avais de la peur, et en même temps ça m'excitait à donf.

 

 

Je suis arrivé chez lui, direct on avait pas la même relation que d'habitude. Ca faisait moins potes. Mais je sentais toujours la complicité et la confiance. Il m'a dit de me mettre torse nu. J'ai senti que je pouvais encore le prendre à la rigolade ou que je pouvais choisir de le faire. J'ai hésité, j'avais envie de le prendre à la rigolade pour chasser ma gène. Mais j'ai fait le pas et me suis foutu torse nu. J'ai obéis. Et là je suis passé dans autre chose. J'avais plus du tout envie de rigoler. J'ai baissé la tête et je sentais une putain d'émotion monter en moi. On est resté comme ça un moment sans parler. Il me regardait. Il me laissait le temps de savourer le fait d'être en train de me soumettre à ce qu'il avait voulu. Et moi il me montait une putain d'émotion, trop forte, qui me coupait le souffle.

 

 

Je parlais plus. Il m'a dit de me mettre face au mur, à 50cm du mur. Il s'est approché et m'a palpé. Il était derrière. Les épaules, les bras, les pecs, les abdos. J'ai bandé direct. Il a palpé mes fesses par dessus le survet, les cuisses. Il m'a dit de mettre les mains contre le mur. Je l'ai fait. Il a posé sa main sur ma teub pour découvrir que j'avais la trique. Je l'ai entendu sourire, un peu sarcastique. Il a baissé mon survet jusqu'aux chevilles. J'avais un slip blanc en coton. Il m'a laissé comme ça un moment. J'avais la honte a fond et en même temps je triquais à fond. Pour me rassurer, il m'a conseillé de m'autoriser à ressentir ce que ça me faisait et d'en profiter.

 

 

Je restais contre le mur à tenir la position. Il m'a à nouveau palpé. J'avais l'impression d'être un objet qu'on ausculte. Ca me faisait mouiller mon slip car ça durait longtemps. Il a baissé mon slip à mi-cuisse. Ca a libéré ma teub qui s'est dressée devant moi. Elle monte haut car elle est légère. Elle fait 20cm mais elle est fine. Et je bandais au maximum.

 

 

J'avais l'impression d'être percé, surtout que normalement, je suis super pudique. Même dans les douches, j'aime pas montrer ma teub. Et là je bandais et je pouvais pas le cacher. Au contraire, elle était super dressée et il regardait. J'ai fermé les yeux. J'avais un fil de mouille qui commençait à pendre vers le sol. Et je sentais l'odeur de mon corps et de ma teub qui montait légèrement.

 

 

Ca allait très lentement. Il m'a dit : « allez Wajdi, tu peux te désapper complètement ». J'ai viré mes skets, mes chaussettes, mon jog et mon slip que je lui ai donné à sa demande. Lui il est resté complètement habillé. Il a inspecté mon slip qui était clean. Mais il a forcément trouvé deux ou trois gouttes d'urine et de la mouille. Il s'est approché, il m'a montré les taches d'urine et m'a demandé ce que c'était. J'ai répondu :

 

-         C'est de la pisse.

-         De la pisse à qui ?

-         C'est la mienne.... C'est ma pisse.

-         Et ça ?

-         C'est de la mouille?

-         Ca t'a plu de t'exhiber comme ça ?

-         .... Faut croire.

-         Remets-toi en position contre le mur.

 

Franchement, j'étais étonné d'obéir comme ça. Je me reconnaissais pas.

 

 

Il a plaqué mon slip entre mes lèvres. Comme j'ai pas voulu ouvrir ma bouche, il a essuyé la mouille contre mes dents.

 

 

Il m'a laissé attendre un peu dans la position. J'avais beau être à poil, j'ai repris confiance. J'avais moins de gène. Je suis super bien dans mon corps et ça se sent. Je sais que je suis beau. Je fais 1M76, 66kg, je suis bien foutu, mince mais musclé, et souple. Vif. Brun court, les yeux foncés, le torse imberbe sauf quelques poils sous le nombril. Je suis bien bronzé après l'été. Il me matait et ça me rendait assez fier car je sentais qu'il appréciait.

 

 

J'ai senti son doigt partir de ma nuque et descendre tout mon dos. Je savais qu'il irait jusqu'à mes fesses et j'avais pas envie de le laisser aller par là. Quand son doigt est arrivé au bord de ma raie j'étais pas à l'aise. J'ai plutôt serré les fesses. Il a essayé d'écarter un peu mais j'ai pas lâché et il a pas forcé. Il m'a dit : - Toutes façons tu vas t'ouvrir? je fais le pari qu'il suffit d'attendre.

 

 

Aucune de mes meufs a jamais vu mon anus, et personne d'autre d'ailleurs. Et là, j'avais envie qu'il regarde. C'était bizard. Je savais pas pourquoi mais ça m'excitait.

 

 

Avec son pied, il a écarté le mien et mes jambes étaient écartées de 50 ou 60cm. J'étais plus stable au sol. Il a pris mes couilles dans une main et les a ramenées par derrière. Ca tirait ma teub vers le bas, devant moi. J'avais toujours une super trique et je mouillais. Ça faisait des fils. J'avais l'impression d'être un animal qu'on allait traire. Et je me suis senti bien. Entre ses mains. La peur que j'avais encore un peu s'est transformée en confiance totale. J'adorais être comme ça, mes couilles dans sa main.

 

 

J'avais l'impression de pouvoir me reposer de toujours faire le fort, le puissant. Je pouvais m'en remettre à lui et il s'occupait de moi. Je me détendais. Je sentais mon cul moins serré et cette zone devenait très présente à ma conscience. Mais lui n'a pas senti que le chemin s'était ouvert et il continuait à rassembler mes couilles dans sa main, par entre mes jambes comme pour faire un petit paquet avec. Ma bite montrait le sol.

 

 

Il a pris une de mes Nike et il a attaché le lacet autour de mes boules, pour les isoler du reste de mon corps. Puis il a laché la shoes et je me suis retrouvé avec ma Nike qui pendait entre mes jambes, accrochée à mes couilles qu'elle tirait un peu vers le bas.

 

 

Il m'a laissé encore un moment comme ça. Moi, j'étais devenu super excité. Ca allait trop lentement j'avais envie de me branler et de jouir vite. Mais il me faisait toujours attendre. Je regrettais même d?avoir serré les fesses tout à l'heure. J'avais envie qu'il revienne sur mon cul. Mais j'aurais pas osé le dire. Seulement je sentais que c'était la zone qui m'appelait le plus. J'avais même envie d'approcher mes doigts, alors que je me suis jamais intéressé à cette zone. Je me suis même pas doigté plus que trois ou quatre fois dans ma vie et c'était plus par curiosité que pour me branler.

 

 

Enfin il a de nouveau approché sa main. Elle frolait mon cul et ça m'a chauffé à mort. J'étais près à gémir, il a fallu que je me retienne. J'avais envie de lui dire d'y aller. Il a écarté mes fesses en écartant juste son doigt et son index. J'ai senti de l'air froid contre mon anus. J'étais content qu'il soit comme ça, à l'air, et j'étais content de lui montrer. Il a passé son doigt sur la rondelle. Ca me faisait vraiment frémir.

 

 

Il était très près de moi. Je sentais son souffle. J'avais l'impression qu'il me disait : « alors, tu vois ? quand je te disais que je saurais te soumettre ». Et j'imaginais que je lui répondais : « vas-y, fait comme tu veux. J'ai lâché ma pudeur et je me donne complètement. Dis-moi encore ce que tu veux voir de moi. Je te montrerai tout ».

 

 

Il est parti chercher une matraque en me laissant dans ma position, debout devant le mur, les couilles tirées vers le bas par ma sket. Il est revenu avec, elle me paraissait énorme parce que je suis pas habitué à ce genre de plan vu que j'en ai jamais fait. Et bien sûr, je suis vierge du cul. C'était pas dur pour moi de le défendre, ni de défendre ma réputation.

 

 

Il a brandi la matraque devant ma bouche pour que je la suce. J'ai pas ouvert la bouche. Il m'a dit : « écoute Wajdi, je t'oblige pas à me parler. Mais j'aurai une réponse selon ce que tu décides. Soit tu la suce et je te la mets avec douceur. Soit tu refuses et je te la mets sans ménagement et à sec. De toute façon tu vas l'avoir. Donc tu choisi ».

 

 

Il a tenu la matraque à porté de ma bouche. J'étais pas décidé à me laisser la mettre, c'est pour ça que j'hésitais. Au moment où j'ai senti qu'il allait la reculer, j'ai ouvert la bouche pour accepter. Il me l'a donné à lècher, puis à sucer comme une bite. J'ai mis beaucoup de salive. Il a déplacé la matraque d'abord sur mon torse et mes tétons. Je sentais bien que j'étais en train de me soumettre à l'objet. La matraque me dominait le torse. J'avais les muscles bandés. La bite tellement en érection depuis le début que ça me faisait mal.

 

 

Il m'a redonné la matraque à lècher. J'ai remis de la salive. Il a posé le bout sur le bord de mon fion. Je me suis laissé plaquer contre le mur et j'ai senti qu'il poussait doucement, et que le matraque glissait tout seul à l'intérieur. Je sentais que ça m'écartait doucement. Au début ça faisait mal mais il l'a retiré un peu puis renfoncé. C'était trop bon comment ça m'écartait. Très vite j'ai eu envie de l'avoir entière. Mais je crois pas qu'il ait enfoncé plus de 10 ou 15cm. J'avais envie de gémir aussi et je crois bien que j'ai gémis un peu. En tout cas je respirais fort et j'étais bien. Comme comblé.

 

 

Je m'en suis surtout rendu compte quand il l'a retirée. Ca me manquait à fond. Il a voulu que je la lèche, j'ai pas voulu. J'avais trop envie de l'avoir de nouveau. J'ai murmuré : « remets la un peu..." Il m'a répondu : « Si je veux ! ». Puis il m'a dit que je pouvais me doigter en attendant si j'avais trop envie. Mais seulement avec au moins deux doigts. Il m'a dit :  « a partir de maintenant, même si tu le fais seul, t'as plus le droit de te doigter d'un doigt. Tu dois toujours commencer au moins avec deux ».

 

 

Je me suis vu en train d'essayer de me doigter par derrière, la basket entre les cuisses. J'ai eu honte et là, en écrivant, j'ai quand même honte d'avoir été aussi loin dans un truc qui, pour moi, est vraiment hard. Mais en même temps qu'elle trique j'avais depuis le début... De plus en plus dure, de plus en plus mouillée.

 

 

J'ai pu mettre un peu mes deux doigts. Mais ça faisait pas pareil.  Au bout d'un moment, il a pris mon bras et a tiré violemment dessus pour extraire mes doigts et me laisser de nouveau sans rien. Il m'a redonné la matraque a sucer. Cette fois, je l'ai fais. Et il me l'a remise. C'était vraiment incroyable comment je me sentais comblé quand je l'avais. Il l'a fait aller dans des zones qui m'excitaient trop. Il m'a fouillé le cul avec la matraque et un moment, j'étais trop excité, j'ai juté contre le mur sans même toucher ma teub ou mon gland. Je croyais même pas que c'était possible.

 

 

Jai trop jouis. Y en avait plein le mur.  Il avait l'air content pour moi. Il m'a détaché les couilles. Et je me suis assis par terre contre le mur, près de mon sperme. Il m'a laissé un peu tranquille. J'ai refléchis. Je me sentais pas mal. En tout cas, je me sentais toujours aussi viril qu'avant. J'ai pas eu du tout l'impression d'être changé en meuf, au contraire. J'ai trouvé ça super masculin de jouir comme ça. J'étais bien. Je me suis juste couvert la teub avec mon survet.

 

 

Quand il est revenu, il m'a regardé amicalement, il a pointé son doigt sur le mur pour me montrer mon sperme qui avait coulé. J'ai pris ça pour un ordre de nettoyer. J'ai lèché mon sperme sur le mur. Je l'ai fais avec application. J'avais vraiment envie de lui faire plaisir. En me soumettant.

 

 

Je crois que dans la foulée, j'aurais pu le sucer. Il me l'a pas demandé. J'ai cherché ce que je pourrais faire pour lui faire plaisir. J'ai écarté le survet pour lui montrer ma teub qui rebandait. Et je me suis branlé devant lui, sans rien dire, en lui montrant vraiment le plaisir de ma queue, de mon gland, de mes couilles. En le laissant vraiment tout voir de cet acte d'intimité. J'étais heureux de lui montrer. De m'exhiber sans pudeur devant lui.

 

 

Ca fait deux semaines, et j'ai pas encore osé le revoir, même dans un contexte normal. Je sais pas si j'ai envie de le refaire. Pour moi ça a été fort, mais c'est pas l'image de moi que j'aime avoir. Ce qu'y me gène c'est que je dois garder ça pour moi. Je peux en parler à personne autour de moi.  C'est pour ça que j'ai eu envie d'écrire ça ici.

 

Wajdi.

    

     Depuis ce moment, les choses ont changé dans ma tête et je me demande plus si je veux le refaire.

     Pour Kamel, je signale ke cette histoire n'est pas d'une exactitude totale. C'est mon premier exercice d'ecriture... ce n'était pas destiner a me raconter mais à obtenir des témoignages pour me reconforter. °;)

 

 

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Putain ! ça fait du bien de respirer un peu...

 

 

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      J'viens d'une famille nombreuse, avec un frère que je déteste, d'autres ki m'indiffèrent et d'autres ke j'aime jusqu'au plus profond de moi. J'vais surtout parler de ceux là, les deux plus proches en age : un juste au dessus, un juste en dessous.

 

      Quand on vivait chez mes renps, on a toujours été dans la même chambre, de tout petit, jusqu'à la fin. Quand mon plus petit frère nous a rejoint on était quatre.

 

      La chambre fait 15m².Y avait rien dedans, que nos lits, un lavabo, un sac de frappe et un placard. Les fringues ki trainaient par terre chaque nuit et ke ma reum rangeait chaque matin.  Moi j'envahissais paraît-il, notamment avec mes "trophées ki servent à rien".

 

      J'pense ke j'ai toujours eu besoin de marquer mon territoire. Ca m'aidait à supporter la promiscuité.

 

      La promiscuité, ca voulait dire une moyenne d'une bonne baston par mois. Mais ca faisait aussi qu'on se connaissait par coeur mes reufs et moi. Impossible de pas savoir comment ils sont fait sous toutes les coutures. Comment ils se branlent et quand, kesk'ils font de leur sperme après. Impossible de pas savoir kan ils flippent, kan ils craquent. Tu partages tout, c'est obligé.

 

     Moi j'cachais mes sentiments a donf, plus qu'eux. Par contre, j'laissais voir mon corps. Et kan j'me branlais, j'essayais pas d'être discret. Et j'adorais laisser du jus partout dans mon pieu, j'étais un vrai halouf. Ca m'arrivait ossi d'en mettre dans leurs draps rien ke pour le plaisir de marquer le territoire. Ca les rendait dingues mais pas au point de changer leurs draps. J'crois ke dans le fond, ils s'en foutaient. Ils râlaient pour le principe.

 

        J'ai été elevé dans cette ambiance, dans ce parfum des corps qui respirent le même air. Dans cette naïveté qui fait ke parfois, tu confonds un de tes frères avec toi-même.

 

       Ya eu des moments très tendres. Sans ambiguïté. Kan on se mo ntrait par de l'étreinte que ce qu'on disait en public valait rien comparé à la force de ce qu'on vivait dans l'intimité de cette chambre. Des longs moments à se rassurer sur la présence pour toujours de l'autre.

 

       Ya ossi eu des moments plus ambigus. Des petits délires. Des expériences pour voir jusqu'où allait notre ascendance sur l'autre. Des petites humiliations qui disaient pas leur nom mais ki avançaient derrière le masque du jeu. Des secrets qu'en fin de compte on partage. Qui nous rapprochent et qui nous éloignent en même temps.

 

       A ces jeux là, je perdais souvent. C'est le plus grand de nous trois ki gagnait. Mais je crois que je l'encourageais à jouer. Et j'place la fraternité tres haut dans mon coeur.

     

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   Un petit kado pour Yohan ki kiff les slips blancs sans pouvoir expliquer pourkoi. Ce fils de pute m'oblige à en mettre.

  

Là, il en a pas mais c pask'il l'a enlevé.

La video j'aime moins mais bon. Il est en blanc à partir de 3 min 15. Ck'est marrant c'est de voir le keum poser comme ca. Comme un bel objet en fait.

 

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Lancez les deux videos en meme temps et comparez. Vous allez comprendre comment ça marche la boxe thai.

1) Un bon combat d'amateurs : c'est très scolaire quand le rythme est trankil et quand ça s'accélère, ça devient vite désordonné, ya plus de fil et la technique s'emêle. Les fins d'enchaînement, ca devient meme n'importe quoi. C'est typique d'une technique qui s'essouffle.

 

2) Là, la technique ne s'épuise pas. La patience est de mise. Faldir Chabari (en vert) gagne aux points. Mais j'préfère le style et l'équilibre de Melvin Rozenblad. Malheureusement, il est un peu impressionné par son adversaire, ca le congestionne. La prise de vue au ring capte bien l'ambiance. Ya rien d'impressionnant dans ce match qui est une préparation pour Chabari qui rencontrera Buakaw en mars. Mais c'est trankil et rigoureux et ca vous permet de comparer.

 

 

Evidemment, il faut aimer la boxe et le respect qu'elle impose. Désolé pour les autres... Mais j'vous promets de continuer à dévoiler mon intimité bientôt. J'aime ke tout le monde y trouve son compte. Vidéo d'un autre combat de Melvin, où il se fait mettre la pâtée, mdr. Si vous saviez comme il est cool ce boxeur... vous l'aimeriez direct. Ca doit être l'effet Amsterdam. 

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Tiens j'ai trouvé ce court-métrage. C'est mignon. (Faut aimer le boléro de ravel... lol)

Je le mets paske ca prépare cke je vais dire un jour sur les keufs. Meme si j'trouve ke c'est en partie des clichés. Mais bon c'est vrai aussi en meme temps : les scarlas sont des enfants comme les autres.

Bon film, j'passe à l'entracte pour les glaces.

 

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    Un petit cado pour la nouvelle année. J'aurais jamais penser mettre sarkozy sur mon blog, mais là ça s'impose :

 

 
 
    Je remarque, qu'il met toute son énergie à fuir et non pas à combattre ou à faire face à son agresseur et lui dire ce qu'il pense. Il préfère se défiler en faux-jeton. Mais le tic nerveux de son épaule fait peur : j'y vois toute son agressivité contenue. Si on lui en donne l'occasion, il se vengera sur les plus faibles de ne pas avoir osé se faire respecter sa vie durant.
 
    Un jour je raconterai pourkoi je hais les keufs, alors que je trouve que la police est démocratiquement primordiale dans une démocratie. Mais c'est plus fort ke moi ; ça me vient de mon histoire avec eux. Et c'est sûr ke je le raconterai.
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     J'vous ai déjà parlé de Walid. Il a 19 ans. C'est comme un p'tit frere pour moi. Il est dans une famille un peu comme la mienne : On t'aime bien, mais si ils apprennent ke t'es PD, ben tu vas te couché le soir, et le matin tu te reveilles, t'es mort. Donc Walid, il peut pas raconter ckil est et ckil vit sur son blog public. Alors je publie son texte ici, paskil avait envie de dire kil s'est beaucoup attaché. J'vous avez prévenu, il est romantik. Merci Walid, je t'aime frère. Et bonne chance pour vivre cke t'as à vivre. Soyez cool, laissez lui des comments.

 

Lui …




Un jour, un homme que je pensais ne jamais rencontrer est apparu dans ma petite vie. D’une prestance et d'une assurance digne d'un chauffeur de 406 hdi 110 Cx , il s'infiltra dans mon corps tel de l'essence donnant force et vigueur à un moteur en déclin de puissance. J’ai beau essayer d'effacer son image de mon esprit mais la commande ctrl+z (supprimer pour ceux qui ne savent pas ) est HS dans mon cerveau devenu paralysé par les traits de son corps.


Envoûtant, mystérieux, voila des adjectifs qui pour vous semblent être d'un sens fort mais insuffisant à mes yeux pour décrire ces deux bouts de chaire rose bien gonflés qui lui sert de lèvres. Comment y résister ? tout simplement en y cédant, chose qui une fois faite vous semble insuffisante et vous regretter de ne pas être rester plus longtemps comme une femme appréciant son bain dont l'odeur lui monte à la tête au point d'en devenir folle.


Fou. C’est le cas de le dire, la capacité de mon esprit à penser n'est occupée que par un mot dont ma main retranscrit 5 lettres : ZARNI. Que peut-elles bien signifier ? A force de remue ménage à l'intérieur de mes neurones j'ai fini par comprendre que ce mot était sorti de la bouche de cet magnifique homme : "je m'appel NIZAR" m'avait-il dit. En l'espace de quelques minutes NIZAR est devenu le synonyme du mot "beauté" léonard de vinci ct donc trompé en créant mona lisa et non NIZAR l'enchanteur de mes reves.


Sa voix raisonne à l'intérieur de mon être tel le bruit de la mer effleurant les rocher, son regard aussi profond que les Abymes me donne l'impression de me perdre mais je m'y retrouve facilement grâce aux battements de son cœur qui s'agitent de + en + lorsque son corps sa rapproche du mien. Une fusion absorption comme diré mon prof d'éco !


Je ne me lasse pas de sa présence, une seule et petite minute d'éloignement alors que je suis avec lui me semble être digne d'une torture qu'on inflige aux prisonniers de guerre. J'attend avec impatience le vendredi soir en espérant qu'il vienne me chercher sur la grande place de décines, dès son arrivé j'ai l'impression de le revoir pour la première fois, en effet sa beauté augmente a chaque rencontre que mon cerveau n'arrive plus à réserver la place suffisante pour garder en mémoire son image digne d plus grands mannequins masculin qui font la une des magazines


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     J'ai pas dû en profiter assez kan j'etais ado. A l'epoque, j'ai du me doigter peut etre cinq ou six fois. Mais sans trop de plaisir. Possible ke avec mes freres dans la chambre ca me stressait trop pour ke j'me lache a me taper une branle avec un doigt.

     J'ai vraiment decouvert ce plaisir la avec Yohan. Comment ca peut decupler le plaisir et comment on peut jouir par là. C'est trop bon kan il me le fait faire.

     Mais moi, j'ai plus le droit de me mettre un doigt. C'est une des premieres contraintes ke Yohan m'a filé. Si je me doigte, j'ai pas le droit de me mettre qu'un doigt. Je dois en mettre au moins deux, car Yohan a décidé k'un seul doigt, c'etait pas assez pour moi.

     J'aime cette contrainte et je l'ai toujours respectée. Des fois même, il l'avait oubliée et me demandait de me mettre un doigt. C'est moi ki lui rappelait que je pouvais pas faire ça. Avec lui, je cherche pas a finter. Au contraire j'prefere bien obeir. Bien me conformer a ce kil veut.

      J'adore me rappeler ke j'ai un statut special. Ke contrairement a n'importe kel bogoss ki deciderait de delirer dans sa piaule a se doigter, moi j'peux pas gouter comment c'est d'avoir un seul doigt. Des fois j'y pense dans des situations où j'suis en avant. Kan j'fais ma loi dans les vestiaires et ke j'traite les autres de tarlouzes. Une fois j'y ai pensé sur le ring pendant ke l'arbitre me levait le bras. J'etais content d'y penser là. J'avais le sourire. Et puis ca m'aide a pas m'emballer, pas me la jouer. J'pense a cke Yohan me fait faire, et du coup j'reste humble.

      Yohan il dit ke j'dois pas habituer mon fion a mettre des trucs trop fins. Ke mon fion j'dois l'habituer a bien prendre. Alors j'lui montre bien ke j'mets plusieurs doigts. Souvent ca me fait un peu de sueur sur le front. C'est la sueur de l'humiliation. Je la reconnais comme ca, elle est specifique. J'me sens bien humilié kan j'lui montre ke j'me conforme a ses ordres. Mais j'aime la sensation. Ca me calme tellement. Ca mate mon impulsivité.

      Au début, j'ai toujours la meme honte. Et plus je laisse voir, plus elle s'efface. Apres c'est le plaisir ki domine mon corps et ya plus ke la douceur de mes doigts mouillés dans l'anus, l'ecartement. La sensation d'etre écarté. Alors souvent je gemis doucement. Comme un animal ki admet le sentiment kil a pour son dompteur.

 

      Un doigt dans le cul, c'est sûrement très bon, mais deux, c'est mieux pour moi.

  

Voir les 6 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : J'obeis c dingue - XXX

 

     Pas de chance cette année on a fété l'aïd a la place du nouvel an. Ca fait que le 31, on etait en famille au lieu d'etre entre potes, à cause d'un reuf k'etait pas libre la veille. Je supporte de moins en moins c't'ambiance où rien ne se dit de sincère : les histoires de coeur de mes soeurs, les rancoeurs familiales, mais aussi l'amour kon a les uns pour les autres. Tout cela donne du factice, de l'hypocrisie et un mur de silence.

     J'aimerais faire tout exploser. Mais dans ma famille c'est impossible. Surtout kan on est tous ensemble. Faudrait prendre chacun individuellement, mais vu le nombre kon est, on n'aurait pas fini.

     Sinon, ca fait pas encore 12 heures ke 2007 est commencée et j'ai deja niké ma meuf deux fois. Si j'continue à cette moyenne, j'vais etre en forme. J'me suis endormi et réveillé avec la trik, c'est des bons signes pour 2007. C'matin, j'ai passé du temps à sentir l'odeur de ma teub. Pour ca, j'ai pas changé.

 

  

     

MES VOEUX POUR 2007

    

     Continuer à aller explorer les limites de moi-même, en respectant ki je suis.

     Me faire quelques nouveaux petits keums un peu rétifs au début mais ke je finirai par retourner et prendre sans ménagement. Comme un petit combat ki met en transe. Et ke j'gagnerai. En ce moment, j'me sens clairement plus guerrier ke valet...

     Continuer a m'offrir des moments de repos intenses en me livrant corp et ame a la volonté de Yohan.

     Retrouver un de mes freres ki s'eloigne de moi alors kon etait si proche. Comprendre pourkoi il n'arrive pas a etre serein et le serrer fort dans mes bras pour lui dire combien je l'aime. Et combien il compte encore pour moi. Et combien il se trompe de penser ke je l'ai abandonné.

     Montrer à mes potes de la boxe et à ceux de mon ancien quartier que je les aime, meme si je change. Meme si on devient tellement differents. Je les aime toujours et meme plus encore paske je vois aujourd'hui a kel point on etait enfermé dans nos préjugés. Ca me rend triste de les voir encore prisonnier. Je voudrais leur montrer la voie pour sortir. Je ne vais pas m'épuiser à les tirer mais je serai là si yen a un ki a besoin d'un appui. En tout cas je les aime tels kils sont. Meme si je suis parfois triste de voir en eux ce que j'aurais pu continué d'être si j'avais pas ouvert les yeux.

     Trouver un truc ki remplacera le kiff des combats, ki me fera vibrer pareil, mais ki correspondra plus a ce ke je suis devenu.

     Bien m'eclater, mais en etant conscient des contraintes de la vie. Je cherche pas a les nier.

     Ca fait un bo programme. A voir si je m'y tiens.

 

 

    

    
Voir les 1 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Wajdi - Soft et malin

 

 

    Voila l'exemple typique du petit PD k'a rien dans le ventre et qui se prend pour un champion. Mais la boxe c'est pas ke prendre des poses ; c'est ossi se prendre des coups. Commence par avancer ta jambe droite si tu frappes à droite. Ca t'évitera d'avoir l'air d'un danseur. Et tu seras un peu plus percutant. 

 

 

 

 

 

    Le chant du signe : Kan de toutes évidences tu vas te faire enculer et que tu te la joues encore provok.

    J'ai des potes qui sont passés par la case zonzon, et ki se la joue aussi comme ça. Mais eux comme moi, sans en parler, on sait bien ke derrière les bareaux, ils l'ont pas eu facile...

    Pour pas se faire niker en zonzon, il faut autant d'abdos ke de hargne. Et, lui sur la tof, il a l'air plutôt gentil. En tout cas, si par malheur je tombais dans sa cellule, c'est pas moi ki me ferais mettre.

 

 

 

 

 

 

P.S. : 

     J'me rends compte ke j'ai été un peu dur dans mes commentaires des tofs.

     En fait ya aussi quelque chose qui me touche dans cette façon de cacher sa sensibilité par des attitudes pour jouer celui ki garde la face. Ca me rappelle trop comment j'étais avant. Notamment face à l'école. Kan j'étais persuadé au fond de pas valloir un clou, mais ke j'compensais a donf en faisant celui ki maîtrise. Mais j'peux dire ke c'est stressant comme façon de faire : on dissimule, on ment, on se gonfle pour donner le change en se piétinant un peu. Accepter ki on est devrait être le commencement. Ma famille à moi aidait pas à s'accepter tel qu'on est. 

    

 

 

 

 

Voir les 4 commentaires - Ecrire un commentaire - Publié dans : Clin d'oeil - XX

Trop fort !



Pateauger dans l'eau kel kiff !






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