Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 12:38

 

 

        Il était tant ke je parle de Cyprien... Je le connais depuis deja avant Yohan. C'est dire ke je suis fidèle en histoire de cul.

 

        A l'origine, c'etait un pote à mon plus petit reuf ; mais on peut dire k'ils etaient pas faits pour aller ensemble. Je le soupçonne d'avoir un peu tourné autour avec des intentions cochones. Paske Cyprien, autant ke moi, il aime grave, mais alors grave, le cul. Ca le rend super sensuel et c'est ça ke j'aime en lui. Il a presque cinq ans de moins ke moi. Mais j'pense k'il connait son corps complètement. On le voit toujours trainer avec des meufs. Mais il a son secret, comme moi. Avec moi.

 

         Au début, il venait courir avec moi. C'est lui ki avait voulu. Courir ensemble c'est vraiment trop facile pour provoquer. Tu te rapproches, tu t'éloignes, tu colles, tu bouscules, tu mords le talon de l'autre par derrière avec ta pointe et tu le regardes remettre sa shoes. Trois minutes après tu recommences, avec la précision d'un tireur d'escrime. Au bout d'un moment, ça gave. Mais Cyprien, ça le faisait rigoler à chaque fois. Je trotinnais autour comme un chat joue avec sa souris. Un Tigre ki isole sa gazelle.

 

          J'crois ke j'ai mis beaucoup plus de temps ke nécessaire pour le cueillir. Ca crevait les yeux k'il etait d'accord pour poursuivre. Une teub ki bande, ça se loupe pas sous un survet. Et il bandait souvent kan je le collais. Surtout kan je le matais sans sourire avec le desir de le posséder. Mais j'ai longtemps fait mon timide, peut être paske c'etait un pote à mon reuf et ke j'avais peur ke ce soit pas étanche. 

 

          Un jour j'lui ai dit qu'on finirait le parcours à un studio dont j'avais la clé. Pour prendre une douche. il a dit "cool !" Ca m'a chauffé pendant toute la course de savoir ke j'allais l'avoir à portée de patte. Arrivé dans les couloirs de l'imeuble, j'me suis tout le temps mis derrière lui. Même pour ouvrir les portes. Je sentais sa chaleur, il sentait la mienne. Sa sueur épicée. Sa nuque, chaude. Ses oreilles, tellement mignone par derrière. Des oreilles de mek, pas de doute, denses, pas très grandes. Je les ai croquées, obligé ! (comment j'accorde bien le participe passé avec le C.O.D. ! j'ai toujours été fort pour ça).

 

          Kan on est entré dans le studio, j'l'ai direct serré. J'me suis collé à son dos, tout habillé. Encore chauds, le souffle ample et relâché de l'endurance. Kel kiff, le sentir là contre moi. Le tenir. J'ai appuyé la forme de ma teub contre son tshirt. Mon bassin au nivo de son dos. Il a commencé à eskivé. Putain là j'ai compris ke j'allais trop kiffer. Il a joué la résistance.

 

 

           Voila Cyprien ki fait la vierge farouche alors k'il m'allume depuis des semaines avec son air langoureux et son petit corps mobile de kebla ki transpire trop la sexualité par tous ses pores. Ca me déchaine et je le choppe pour lui lécher la nuque. En même temps, je me nourris de son odeur : la sueur saine d'un mek ki s'est douché sans se parfumer et ki a courru trois quarts d'heure. Je colle mon front entre ses omoplates. Mes mains enserrent ses poignets de chaque coté et je le plaque au sol. Il tourne vivement sa tête d'un côté pour se dégager ; sa joue frotte et se brûle sur la moquette synthétique. Je peux voir son regard par le côté ; il regarde le vide, immobile, comme un lapin perdu. Mais son odeur n'est pas celle du stress. Plutôt l'acceptation trankil d'y passer bientôt.

 

            J'ai gagné déjà, alors je le relâche. Je sais ke je gagnerai toujours avec Cyprien. Il se retourne en s'assayant pour me faire face, regroupe ses jambes devant lui. Je le mate. Entre ses genoux écartés de 30cm, sa teub bien dure ki pointe un moceau de son survet. J'estime. 30cm d'écartement, c'est la position trankile. Plus serré, c'est la peur, la dissimulation. Plus écarté, c'est la salope déjà d'accord pour se faire mettre. Cyprien, c'est la catégorie hétéro, mais conscient de son corps et du kiff ke ça peut être d'en jouir. En écartement des genoux, kan t'es assis par terre, ça fait trente centimètres. Ya pas de doute possible. 

 

             Je replonge une nouvelle fois. De face, ça me permet de lire son regard, franc, fuyant par pudeur mais pas par lâcheté. On est a nouveau très près. Nos abdos se touchent, en partie découverts. Nos tétons se frollent, encore sous le tshirt. Nos lèvres sont proches. Mais j'embrasse pas les keums. C'est comme ça.

 

             Assez vite, je le bloque. On diait du judo. Il prend son souffle et met toute sa force à se dégager. Mais sans technique, il est pris. Je le lâche kan même un peu pour avoir le plaisir de le reprendre.

 

              J'appuie ma teub, dure et mouillée dans mon survet, contre sa cuisse tendue, armée, ki cherche à se dégager. Dans ses mouvements, mon cyprien libère en partie sa teub qui fait une barre. Sur le côté, son survet s'est baissé, on voit un bout de slip rouge pas trop assortie comme couleur. 

 

              On ne se dit rien. On profite l'un comme l'autre. Il aurait pu me reparler de la douche s'il voulait pas k'on prolonge. Il préfère jouer à se débattre vraiment. Et moi je le choppe, je le bloque, je le tiens, il se faufile... Je m'impose.

 

              Je tiens sa tête maintenant. Et je le conduis fermement vers ma trik. En utilisant mon thorax puis mon abdomène comme rail. Il gémit d'une drôle de façon entre le plaisir et la supplication. Son timbre est plus rapide, plus aigu. Il avance vers ma teub tendue, toujours emballée. Elle mouille comme une fontaine. Elle dégage cette odeur ke je kiffe tellement. Ce plaisir intense de se sentir mâles. 

  

            

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Publié dans : Branleur né - X
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