Samedi 3 mars 6 03 /03 /Mars 21:00

 

       Hier midi j'ai appelé Yohan a son bureau, juste comme ça pour avoir des news. On avait pas beaucoup de temps, mais il a voulu me donner une contrainte avant ke je retourne au taff. J'avais pas sur moi le petit tube k'il me fait mettre dans mon fion kan il veut m'obliger à penser à lui toute la journée. Alors il a voulu en compensation ke je m'attache les couilles et ke je les ramène vers l'arrière.

    

     Je sais c'est ridicule et je la ramène pas trop de le raconter ici. Mais c'est pour dire la transe ke c'est pour moi au bout de quelques heures.

 

     J'ai défait un lacet de ma shoes, et déjà je me sentais grave lui appartenir. Cette sensation me transforme de l'interieur, comme si je devenais un autre. Completement different de ki je suis. Devenir obéissant jusqu'à l'extrême. Comme hypnotisé.

 

     J'ai fait cinq tours autour de mes boules pour les isoler, les éloigner de mon corps. Elles se sont regrouppées en petit paquet. Et dejà là, tu prends trop conscience de la sensation. Puis, j'ai fixé l'autre bout du lacet à l'elastique de mon boxer à l'arrière. Comme on m'avait demandé. Je me suis rhabillé. J'ai marché, doucement, pour m'habituer à la sensation. Les boules entre les jambes ; ça fait k'a chaque pas, t'as le haut des aducteurs ki gratte les bords de ta virilité réduite à son plus simple appareil.

 

      J'ai tout de suite eu une trik ki m'a pour ainsi dire plus kittée de la journée. J'vous dit même pas la sensation.

 

      Mais ya plus fort ke la sensation. C'est l'effet de se sentir sous la coupe de Yohan alors k'il est loin de moi. Comme s'il me tient par les couilles pendant ke je marche. Comme s'il guidait chaque pas. Une effroyable tempête dans mon corps, derrière une face placide, preque ordinaire. Juste une gêne, une lumière floue dans l'oeil, et de la docilité.

 

       Au taf, c'etait trankil l'après-midi. Quelques coups de fil. Des classements. Pas trop de monde a croiser. J'en arrivais presque à oublier ma contrainte. Mais au fil des heures, tu te sens de plus en plus exclusivement sexuel. Près à sauter sur tout pour te frotter comme un animal. Libérer l'excitation. Mais l'animal est tenu, il ne dérappe pas. Et ça pour moi, c'est comme une caresse intérieure.

 

      Après j'ai fillé à la salle. Pour me désapper, j'ai du être mega discret. Mais une fois en survet, ma trik était vraiment trop visible. J'ai essayé d'attacher mon haut de survet en bandoulière à la ceinture pour cacher mais c'était n'importe koi. Alors, j'me suis caché dans les chiottes et j'ai sanglé ma teub le long de ma cuisse gauche, à l'intérieur, en la faisant sortir par le bas de mon boxer. J'ai sanglé en faisant deux tours avec ma ceinture en sangle. C'était bien tenu. Mes boules toujours prises, ma teub vers le bas, le gland collé à ma cuisse. Plus je trikais, plus je me sentais contraint. J'ai mis mon survet le plus large pour ke personne capte le dispositif. Putain j'ai la hech de raconter ça, c'est dingue.

  

      Au lieu de m'entrainer, je me suis occupé des autres. J'ai mis les pattes d'ours et je les faisais frapper en rythme. Mais j'étais complètement ailleurs. Vraiment en transe. Un flo continu de mouille trempait ma cuisse, comme une fissure d'eau qui coule dans une cave.

 

     Sur les deux heures d'entrainement, j'suis allé deux fois dans les chiottes, pour virer mon survet. J'ai lécher le bas de ma cuisse, pour goûter ce liquide qui me fait tant kiffer. L'odeur de la bite fraîche. Et sentir cette déprave totale dans lakelle je sombrais. En léchant, je gémissais imperceptiblement, trankil, comme si Yohan me tenais l'épaule, comme s'il m'indikait d'un doigt ce ke je dois lécher. J'ai fais des efforts trop hallicinants pour me tenir et pas me branler. Mais la deuxième fois j'en pouvais plus. Alors j'ai promis à Yohan à l'intérieur de moi-même, tout gentiment, ke j'allais tout nettoyer, qu'on verrait pas ke j'ai juté. En stimulant mon gland pris avec juste le bout d'un doigt contre ma cuisse, j'ai vite déclenché la fontaine. J'étais tellement excité depuis longtemps ke ça a fait comme un volcan. Ca m'a libéré un peu mais pas vraiment calmé. J'ai léché mon sperme comme promis. Puis j'ai repris cke j'faisais faire aux potes avec les pattes d'ours. Toujours avec la trik, plus le goût du sperme en bouche ki t'arrache un moment.

 

       Je me sens bien kan je suis tenu comme ça par les couilles. Tellement vulnérable ; tellement l'inverse de cke je suis. Calme. Ni agressif, ni impulsif. Juste dominé par la ferveur de la jouissance intérieure et l'impossible de la laisser paraître. Concentré. Le pion de Yohan. Le soldat d'une armée.

 

       Dans cet instant là, je suis fier de ce ke j'ai fait de mon corps, de son aptitude à l'effort intense, au combat. Comme si je l'avais construit pour servir.

 

       Je me suis rhabillé ossi scred qu'au départ. Une pudibonderie ki a du semblé bizarre à ceux ki sont habitués à me voir a oilp. Une imense gêne d'être a ce point dépravé. Mais une proximité intense avec mon corps et les sensations d'animal ke je suis capable de vivre intérieurement. Ces orgasmes là sont pour moi cent fois plus intenses que d'otres.

 

       Le soir, on est sortis pour l'aniversaire d'un pote, ma meuf et moi. J'ai garde ma contrainte aux boules, pour sentir ke j'étais là paske Yohan le voulait bien. Des moments, j'oubliai, d'otres moments, je chivirai. Les deux bierres ke j'ai bu m'ont soulé. J'étais pas vraiment présent. Entre la honte et le plaisir. Le plaisir d'avoir honte.

 

        Dans la nuit, il a fallu ke je me branle trois fois pour épuiser la charge de la journée. Aujourd'hui, je suis calme. Un peu abattu. J'pense ke Yohan a la patate. Je lui transmets mon surplus d'energie dans ces genre de délires.

      

 

 

Publié dans : J'obeis c dingue - XXX
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