Des corps ki bougent

Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 06:05
 
 
 


envoyé par juniorscave
 
 
 
 
 
 
     Encore aujourd'hui, mais plus encore avant, j'adore etre en contact avec mes potes ou mes frangins. J'crois ke sans ces moments, j'aurais le sentiment ke mon corps n'existe pas. J'aurais du mal à le sentir, sans le confronter à une autre peau, une autre chaleur, une autre vibration.
 
 
      Mais est-ce ke le corps à corps est une forme d'homosexualité ? Ou s'arrête le délire, la tendresse, et où commence le sexe ?
 
 
  Joyeux noel !
 
 
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Dimanche 25 novembre 7 25 /11 /Nov 21:54

      
        Une des capacites les plus dures a acquerrir, parait-il, au nivo mental en boxe, c'est celle ki permet d'achever un gars deja tres endomagé.
 
 
        Ca n'a pas ete une difficulté pour moi. Au contraire, un adversaire ébranlé me déclanche une sorte de pitié inversée, ki me rend pressé de le finir.
Sentir l'otre défaillir me redonne du jus pour nettoyer la place du faiblard ki l'occupe.
 
 
        Comme c'est doublé d'un don pour lire dans les mouvements de l'otre les appuis ki lui mankent, donc ses failles, et ke j'insiste sur les blessures, j'ai j'avais dans mes combats, une réputation de "sans-pitié".
 
 
        L'hésitation ne fait pas partie des règles de la compétition en boxe. Sur cette vidéo de K.Os. de muay thai, on lit bien, sur certaines séquences, l'acharnement tactiquement intelligent du combattant (matez deja la première séquence : destruction en règle du col du fémur).
 

 

 

 


 
        J'ai pas de culpabilité pour ma capacité de cruauté dans le cadre de la boxe. En dehors, par contre, je suis doux comme un agneau...
 
 
 
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Dimanche 11 novembre 7 11 /11 /Nov 20:48
 
 
        Le septieme round du match d'hier a fini d'effacer la France du premier rang, vu ke notre dernier champion du monde francais en boxe anglaise est tombé, sur un putain d'uppercut et une tempe. Une sorte de Hold up de Haye, ossi mobile dans le tableau des catégories ke sur le ring, ki perd 15 kilos pour venir le chopper et ki se barre direct après.
 
 
       Ca fait d'la peine pour Jean-Marc... Kan j'pense ke j'disais encore ya une semaine a Fiso k'on n'etait pas vieux, jeune, à la boxe.
 
 


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Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 08:37
 
 
              Faut rendre hommage régulièrement à ckon a inventé de mieux depuis k'on a un corps : toutes les disciplines ki le mettent en mouvement.

 
              Le corps ki bouge dans l'air, ça fait du vent. Les accélérations du mouv, ça fait comme un massage à l'intérieur. Ca essore les liquides ki le composent. Moi j'kiff de sentir la sueur ki refroidit ma peau, la caresse de l'air... ou de l'eau comme mon blogpote Oh! ki explike mieux ke moi l'avantage de s'y mettre :

 
 
 Oh!91 : Si toi tu as de tout temps vécu avec un corps de prince, à en jouer et à en jouir, j’ai, moi, attendu mes 30 ans pour m’intéresser à mon corps, pour m’y attaquer, et essayer d’en faire quelque chose. En fait, quand me sont apparus des enjeux de séduction. Et je l’ai fait – concours de circonstances - en m’initiant à la natation, puis en devenant, peu à peu, un pratiquant aguerri.

Ce que j’aime, en nageant, c’est la sensation de glisse que cela procure, sensation qui, avec le temps, au fil de tes progrès dans la coordination des mouvements, de la puissance que tu acquières, devient ludique, intuitive, finalement jouissive. Mais c'est un long apprentissage.
 

Au début, tu t’y mets par la brasse, parce que c’est la nage que t’as appris à l’école, parce que la poussée croisée des jambes et des bras te permets de ressortir fréquemment la tête de l’eau, de reprendre simplement ta respiration. Quand tu t’essayes au crawl, au début, tes mouvements sont rapides, saccadés, incohérents, ils t’essoufflent : les jambes vivent leur vie, incontrôlables, et t’épuisent à ton insu. Tu es fier de tes premières longueurs, mais tu sens bien que tu perds une énergie folle dans une agitation stérile. Alors tu repars à la brasse, pour reprendre le contrôle de ton souffle. Puis tu y reviens, tu t’y essayes encore, puis encore, peu à peu, tu perçois au milieu de tes mouvements impétueux deux ou trois poussées à l’efficacité nouvelle, tu cherches à comprendre d’où elles viennent, à les cerner, à les reproduire, tu te concentres sur elles, tu commences à ressentir « la chose ». Tu la sens entrer en toi. Après plusieurs semaines, tu prends goût à ainsi danser le crawl dans le bassin, tu règles ta respiration, tu l’alternes, un coup à droite, un coup à gauche. Les nageurs confirmés continuent à te dépasser, leur vélocité reste un mystère, mais tu éprouves déjà des sensations de glisse qui deviennent agréables, tu deviens maître de toi et de l’eau.

Pendant 10 ans, j’ai ainsi nagé presque chaque jour crawl et brasse, découvrant avec mon corps, au fur et à mesure, les inflexions et les cambrures qui permettaient d’allonger les mouvements, les ondulations qui procuraient des sensations aériennes. A Budapest, je nageais au petit matin, dans un grand bassin extérieur, en toute saison. Et ces sensations éprouvées sous la lumière des projecteurs, quand la neige tombe et se mêle aux volutes au dessus de l’eau, restent à jamais imprimées sur ma peau. J’ai vu ainsi mon corps se transformer, au point de parvenir presque à l’aimer.

J’ai attendu d’avoir 40 ans pour me mettre au dos crawlé, découvrir ses vertus relaxantes et équilibrantes. Et au papillon : ma fierté. Cette nage, si dure à dompter, si dévorante. L’apprentissage fut laborieux. Observer, reproduire, se noyer sous l’effort, recommencer, observer encore, éprouver, ressentir, un mouvement, puis trois, puis cinq, 10 mètres, 25 mètres, finalement 50 mètres - qui te mettaient à plat, mais tu les avais fait ! Renouveler l’exploit, une fois encore, chaque jour une fois, puis chaque jour deux fois, puis une séance entière, dédiée. Et là, tu deviens comme un seigneur du bassin, le mouvement est ample, il embrasse toute la ligne, l’eau ne peut plus rien contre toi, c’est toi qui la domines et qui domines ton corps, c’est la mer qui s’ouvre devant toi. Et ton corps connaît sa deuxième métamorphose, t’y acquières des muscles que je ne saurais pas nommer, mais tu découvres qu’ils te permettent de mettre le turbo dans toutes les autres nages.

A 42 ans, je n’ai jamais aussi bien nagé, jamais aussi vite ni avec autant de fluidité et de puissance mêlée, et je n’ai jamais autant accepté mon corps.
Il y a aussi dans l’eau une autre magie : celle de ces corps qui se côtoient, qui se frôlent, qui s’impactent parfois quand la promiscuité est trop forte, mais qui le plus souvent se caressent à peine quand, le temps d’un dépassement, ils se faufilent entre deux. Les corps sont beaux en général dans l’eau. Même quelconques, l’extension et l’apesanteur leur donnent une certaine majesté. En fait des corps chorégraphiés.
 
 
 

 
               J'crois ke bouger, ça rend intelligent. Ca apprend l'équilibre, l'esquive, l'exigence de la protection, la lecture de l'otre. Apprendre et progresser, c'est l'étape la plus constructive, la plus motivante.
 

              Et puis au bout d'un moment, fo trouver la motivation dans des choses plus subtiles. Comme un musicien ki fait ses gammes, on répète des enchainements a l'infini. Pour lustrer les réflexes. Le corps est prêt mais les neurones désapprennent. Fo les réactiver encore et toujours. Pour gagner le centième de seconde ki fera la différence dans le combat.

 
              Mon kiff, c'est la boxe. Peut être paske je sentais pas assez mon corps pour k'une caresse suffise à le faire exister. Mais cki compte, c'est les heures k'on passe ensemble. A se fritter, se chambrer, se contacter... se soigner ossi, pask'on laisse jamais un collègue dans la misère.
 
 
La bande  anti-molusques :
 
 
 



 
 
 
               L'entrainement, c'est un moment où tu partages. Avec des personnes ke tu verrais pas forcement ailleurs. Une sorte de mixité pas donnée d'avance. On apprend à se connaitre, se comprendre et se respecter. A voir autre chose ke la face k'on montre. Il ya kelkechose de doux dans ces instants là.

 
               Kan le rythme monte, tu prends de plus en plus confiance en toi. Tu te concentres. T'es vraiment là au lieu d'etre dans tes soucis et tes pensées.
 
 
               Et kan t'es au bout de toi-même, t'es forcé de faire voir vraiment ki tu es. Le sang, la douleur, l'asphyxie, ca te donne plus la force de mentir. Tu apparais au monde, aux autres. Et tu te rends compte avec surprise, k'ils t'acceptent comme tu es.
 
 
                Après si tu kiffs pas donner ou prendre des coups, tu peux te limiter aux assauts. C'est ke du style, sans appuyer les frappes. C'est moins authentik, mais c'est beau comme une danse et tout aussi interessant sur le plan technik :

 


 


                Bonne pratik à tous !



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Vendredi 7 septembre 5 07 /09 /Sep 18:25

 

      Mort de rire, kan on sait pas s'battre on se donne pas en spectacle.

 

 


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Vendredi 31 août 5 31 /08 /Août 07:10

 

          L'amitié entre keums, elle se dit pas. Elle est immense et pudik. Il faut la mort pour k'elle s'exprime : elle n'est donc jamais entendue. Seulement on sait. On sait tout l'amour ke les autres nous portent. On sait combien ils nous aiment parce k'on sait combien il est impossible k'ils nous le disent avec des mots.

 

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Lundi 30 juillet 1 30 /07 /Juil 05:56

 

       Si tu lis ça... c'est ke tu passes trop de temps sur internet !

 

       Va bouger ton corps avec tes potes. Ca fait trop du bien. Ca te rapproche d'eux. Et après t'es fier de toi et tu te kiffs.

 

       J'te donne des idées pour arrêter de rêver la vie et te jeter dedans :

 

DANSE !

 

 

JONGLE !

 

CHAUFFE ! (Mdr les bledars ki s'mettent a faire comme nous !)

      

CONFRONTE-TOI !

JOUE !


FRIME !

 

SAUTE !

 
 
 
GRIMPE ! (T'es pas obligé de te saper ossi mal ke le 1er keum)
 

 
 
 
 
EXPLOSE-TOI ! (lol moi ossi j'l'avais le reflexe de me toucher la teub, 4e saut)
 
 
 
 
 
 

       Ton corps, c'est ton meilleur ami. T'as besoin de rien d'otre pour jouir et t'amuser.

       Moi en tout cas, j'fais une overdose d'internet. L'introspection, ça prend la tete kan on fait ke ca. J'vais profiter de mon avancée, de mon corps et de la vie. 

       J'vous aime tous !

 

 

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Mardi 12 juin 2 12 /06 /Juin 10:39

 

 

Mdr ! C'est trop facile aussi kan l'otre il bouge pas.

 

 

 
 
 
 
 
 
 

 Le judo, c'est un art martial où t'engage tout ton corps dans le combat. C'est ça ki est kifant dans les sensations. C'est tout toi ki se bat et tu te protèges pas derrière tes membres.

 

 


Judo
envoyé par veronique2201
 
 
 
 
 
 
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 09:57

 

    Ya pas, les lourds, c'est vraiment les plus bichons :

 

      Meme si des fois y'en a ki sont pas d'accord :

 

 
 
 

    Nous les secs, on est trop nerveux par rapport à eux. On frime grave et on croit k'on doit cacher k'on est des tendres. La preuve :

 

 

     Sinon, il suffit pas de mettre des gants pour savoir boxer, la boxe c'est d'abord une garde, là, yen a tout simplement pas :

 


Taquet
envoyé par zarzaclems

 

          J'ai mis la video paske ca me fait penser au keum ki croit k'il doit absolument pas perdre la face devant ses potes alors k'il sait pas se battre. Il se lance a fond sans reflechir, il courre a sa perte.

 

 

          La dernière j'la mets paske je m'dis en la voyant ke ça devait pas toujours etre marant pour mes freres de m'avoir comme frere. Meme si j'leur dis toujours l'inverse :

 

 

 
 
     Là evidemment c'est gentillet comparé a cke j'leur mettais. J'aimais bien vu ke j'les battais toujours. Et toutes façons, si j'avais mal, je l'disais jamais, comme le lascar du dessin animé. Mdr !
 
 
 
     
 
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Mardi 1 mai 2 01 /05 /Mai 09:15

 

    Je vous recommande ce jeu rapide pour vous excercer au débat de demain soir.

 

    Un jeu d'adresse mais surtout d'intelligence...

 

          Jouer !

 

     Oualaouradim mon score pour l'instant c'est 38, mais j'vais encore m'entrainer.

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