Clin d'oeil - XX

Mardi 6 mars 2 06 /03 /Mars 17:58

 

 

        J'suis incapable d'expliquer pourkoi je kiff ce style d'implication totale dans la relation.

 

        D'abord une question d'humiliation j'pense. L'humiliation, c'est contre quoi j'ai le plus lutté dans ma vie ordinaire. C'est pour ça ke j'parle parfois de repos du guerrier. Comme si je lachais d'un coup la tension qui pousse à etre constament vigilant, à gérer ma réputation. Je me laisse couler dans l'abandon à l'autre. Je lache la garde.

  

       C'est aussi parce que je me sens puissant ke je kiff me soumettre. Pour moi, c'est pas un jeu pour les faibles. Tu dois avoir de la determination dans ta tete pour le chef. Des muscles et de la puissance a offrir kan t'es soumis. Sinon ça sert a rien. Si t'es une larve dans la vie, t'as rien a offrir. 

 

       En attendant ke j'comprenne d'où ça me vient, voila une petite présentation de cke je kiff dans le jeu de la soumission et de la domination :

 

 

   

 

      Etre face à l'autre, dans une position inégalitaire. Dans l'impossibilité de cacher l'excitation k'on vit interieurement.

 

 

 

 

      Etre ridicule face à l'autre, parce k'il t'ordone un truc dégradant et que tu obéis.

 

 

  

 

    Obéir encore. Jusqu'à ne plus avoir d'intimité.

 

 

 

  Prendre à la demande une pose de soumission extrême pour rappeler et se rappeler ki est le chef et ki est le bâtard. Une position ki te fait intégrer dans ta p'tite tete ke t'es l'objet de l'autre.

 

 

 

 

   Se mettre à oilp kan tout en toi t'incite a te cacher, te rhabiller. Violer ta propre pudeur. Comme si elle comptait pas.

 

 

 

  Etre exposés pendant longtemps. Et ne rien pouvoir faire contre. Attendre une décision qui vient d'ailleurs. Ou ki ne vient pas.

 

 

      Etre immobilisé, se sentir bien tenu...

 

   

...exposé, écarté, tellement vulnérable.

 

     Incapable d'être méchant. La teub en avant, mouillée et impudique, saisissable comme une poignée pour t'amener où tu veux pas aller.

 

      La soumission est un jeu qui dure des heures, une occasion d'aller au bout de moi-même, de mon corps, de ma sexualité. L'orgasme est transcendental : je jouis sans me toucher, mon sperme coule comme de la mouille, j'enchaine sans pause et sans débander. Je reste dans une conscience permanente des sensations de mon corps. Extatik !

 

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Samedi 3 février 6 03 /02 /Fév 11:30

Pour illustrer c'ke je raconte dans Mes reufs et moi, l'amour, la haine, la force...

 

 

       16 m² à quatre. Ca veut dire proximité constante dans la piaule.

       Tu peux déployer tous les efforts ke tu veux pour t'isoler, tu dois te faire une raison : t'es coller à l'autre.

 

 

        Tu le vois sans le vouloir. Si tu te caches à droite, t'es vu à gauche. Tu vis sous des regards ke tu finis par oublier. Tu vois l'intimité de tes freres avec la même indifférence ke la tienne. Une attitude que tu ne retrouves jamais ailleurs, et qui me donne tant de difficulté à me distinguer d'eux encore aujourd'hui. Comme si on etait le meme individu à plusieurs.

 

         Au fond de toi, tu sais ke cette proximité est synonyme d'un mot ke tu rejettes : Pauvreté. Chaque soir, en entrant dans ta chambre, ce mot s'ancre en toi sans ke t'en aies conscience, insidieusement. Et chaque lendemain, tu le traînes à l'interieur. Tu te débats avec. Tu t'épuises à faire le fier. Désespérément. Mais le mal est à l'intérieur.

 

         Kan tu postules pour un taff, kan tu te présentes devant un prof, kan un keuf te pose une question, tu as ce mot qui creuse dans ton ventre, qui fait foirer toutes tes reponses. Tu rentres chez toi plus sale encore ke t'en es sorti. Et tu te réfugies dans la chaleur de ceux ki partagent ton sort, dont pourtant tu voudrais tant te séparer.

 

        Alors, ya une façon, saine mais tragique, de dire à l'autre : tu n'es pas moi !!! C'est le harponnage, la baston. Ca fait un peu mal mais tu te sens bien après. T'as rejeté l'autre à l'exterieur de toi. Tu t'es redistingué ; ta peau redevient la limite de ton corps.

 

        Puis tu te laisses à nouveau envahir, par desir ou par confusion. Tu retapes.

 

       Tu bloques, tu coinces, tu fais admettre, tu t'imposes. Pour sauver ta gueule et ton territoire.

 

 

 

        A l'age où tu te rends compte ke t'es plus un gosse, t'as besoin de regarder comment t'es fait. Tu te sens changer alors tu veux comprendre et admirer ton corps d'homme en devenir. Mais tes frères sont là et regardent avec toi. En silence, respectueux, ou en commentaires stimulants. A toi te pas te laisser insulter. Mais ils te regardent changer, k'ils aient de l'avance ou k'ils te suivent. Ca leur rappelle leurs questions, ça les prépare à ce ki les attend. Ils te scrutent. Parfois t'en surprend un dans la nuit, curieux, ki s'est bizarrement approché de toi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

       Il ya tous les moments où t'es trop heureux d'être à plusieurs. Kan ça te donne une force. Cette solidarité aussi tu l'emmenes avec toi. Elle donne confiance face aux autres. Mais elle empeche de les rencontrer vraiment, comme une amarre ki te retient au quai.

 

       Ces moments-là sont chauds. Tendres. Francs.

     

 

          Parfois plus humides. Complices.

 

 

         Parfois plus ambigüs. Limites.

 

 

 

         Et t'es tout seul pour savoir jusqu'où tu peux aller. Tous seuls. Tout seul...

 

 

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Dimanche 28 janvier 7 28 /01 /Jan 18:21

Suite de Proximité, chaleur, ambiguïté...

 

 

       Mais bon, si le controle des uns et des autres empêchent les débordements, d'une façon relativement militaire faut dire, on a toujours deux possibilités : s'isoler, mais alors on s'exclut du groupe...

 

 

      ...ou rêver qu'au sport et dans la vie, chaque keum accepterait mieux sa sexualité, sa tendresse, sa bisexualité... On serait moins coincés, moins frustrés et donc sans doute moins violents, plus détendus et plus joueurs, plus frères et solidaires. Mais pour ça, faudrait qu'on arrête de se critiquer, se comparer et se juger, pour aller vers l'acceptation, la coopération, l'ouverture et l'Amour.

 

       J'ai encore eu la preuve la semaine dernière qu'un otre mek de mon club, sans l'avoir encore identifié, trippait sans le montrer sur des kiffs aussi bizarres ke les miens : j'ai retrouvé mes affaires intimes pas assez discrètement déplacées (peut-être renifflées, en tout cas scrutées...) !

 

 

       Voila les vestiaires tels que je les rêve, lorsque les masques tombent :

 

 

Le petit contrôle médical d'après combat, si soft dans le réel pourrait devenir plus libérateur...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

       L'admiration secrete et honteuse k'un keum a pour ton corps se transformerait en geste de tendresse, et tu lui donnerais en retour tout cke t'as de toi-même...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

       ...dans une infinie tendresse...

 

 ...une caresse de queue.

 

 

...ou de doigts.

 

 

 

 

 

        

 

 

 

       Dans la chaleur des corps ki se trouvent... 

 

 

 

 

 

 

 Ou le torride d'un combat... 

 

 

 

 

 

 ...Et l'offre de soi-même, comme un kado.

 

 

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Vendredi 26 janvier 5 26 /01 /Jan 12:07

 

 

       Eh oui, je sais c'est décevant, mais il se passe jamais rien de sexuel dans les vestiaires. C'est peut-être pas plus mal, paske kan on va au sport, en principe c'est pas pour baiser, et kan t'es dans l'action faut reconnaître ke t'y penses pas. Ou alors, c'est ke t'es pas dans l'action.

 

       Par contre, c'est vrai ke ya une ambiance ki est cool. La proximité de l'autre, jusqu'à sentir le dégagement de chaleur de son corps, son odeur, l'air chaud et humide kil déplace en bougeant. Kan t'es désapé et ke ca bouge autour de toi, tu sens en permanence sur ta peau des mouvements de chaud et de froid à mesure ke les uns passent et s'éloignent. Pour moi c'est ça les vestiaires : un massage de chaleur et de présence des autres, dans un moment d'intimité.

 

       Chacun a sa façon de lutter ou non contre cette douceur, de la rejetter. En France, ça lutte beaucoup contre, en parlant fort, en déconnant, en cassant le rythme, en tout cas, quand on est a oilp. Comme si il fallait pas laisser s'installer l'ambiguïté. En Thaillande, j'ai expérimenté l'inverse : ça traine, ça lutte pas contre la proximité ; les combattants y sont plus pudiques mais ils sont plus authentiques. Alors qu'en France, on se met plus facilement a oilp mais on se cache derrière une attitude. J'aime sentir comment chacun se débrouille pour se cacher kan il est nu : celui ki s'expose à outrance pour ne pas se laisser voir, celui ki n'y pense plus, naturel, celui ki choisi le moment le plus creux ou le plus plein pour passer inaperçu, celui ki passe très vite du slip à la serviette.

 

        A cause de la circoncision, j'ai toujours eu l'impression d'être plus nu ke les autres. A l'ecole, ça me traumatisait. Au sport non pask'on est une majorité de circoncis, et puis je suis moins pudique aujourd'hui. Mais j'y pense souvent, à cette impossibilité physique de cacher la partie la plus sensible de mon corps, et ki du coup la met plus en avant. Quelque chose entre la fierté et la honte. Comme une impudeur dont je ne suis pas responsable. Aussi une marque d'allégeance au groupe, comme un tatouage ou une scarification.

 

        Une fois rhabillé en bas (le torse nu n'est pas vécu comme de la nudité en boxe) les choses sont différentes. La complicité, la proximité et le contact deviennent plus autorisés. Là c'est le plaisir d'être entre nous. Sans les meufs ; putain ça fait tellement du bien ! Je dis pas ke le niveau est élevé, mais ya vraiment une sorte de trankilité, de franchise. Cette impression kon ne se trahirait jamais de façon grave. Et aussi l'acceptation de l'imperfection de l'autre, donc de soi.

 

          Kesk'on est pas obligé d'inventer pour vivre des corps à corps autorisés :

 

 

  

        Petit exemple d'être ensemble dans la simplicité grâce au sport (c'est du sanda (de la boxe chinoise) ça intéresse personne ici je sais, mais c'est pour montrer l'ambiance) :  

 

 

 

 
 
 
         Tout ça pour dire k'il se passe rien de sexuel dans les vestiaires. Toute l'envie de contact est sublimée dans les regards ou dans les gestes. S'il en était autrement, le groupe aurait vite fait de te ramener vers le code, par son contrôle automatique. Les rares moments où l'ambiguïté était très forte, c'est paske j'étais seul avec un autre. Et si ça va jusqu'au passage à l'acte, ça se fait forcément en dehors des vestiaires, loin du club, loins des yeux...
        
 
      
         Voila une petite serie de ckil est possible de faire au sport malgré tout. Pour moi c'est deja genial, presque suffisant :
 
 
     1, Etre ensemble.
 
 
 
 
 
 
 
    2, Se chambrer. Ca fait surtout marrer les jeunes.
 
 
 
 
 
 
 
 
        3, Discuter en faisant le bogoss, notamment en compet entre les combats, pask'on sait ke des gens du public nous matent et ça rend sûr de soi :
 
 
 
 
 
 
 
   
          4, Se faire ausculter, par un toubib de la fédé ou par le kiné.
 
 
 
 
 
 
       5, Proposer ou se faire proposer un massage. Mais alors sans s'isoler. Au milieu du groupe. Et un massage physique, pas un massage de gheisa. Encore plus facile : se faire enduire de baume du tigre là où on a mal, et le visage de vaseline avant les combats.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
    6, Se battre réglo (habillé bien sûr). Mais kan on se bat, on bande pas. La preuve par l'image :
 
 
 
 
 
 
 
 
      7, Délirer seul dans son coin pask'on a trouvé une salle ki ferme (la salle de pesée par exemple, à côté de la table du kiné) ou dans les chiottes, scred. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
        8, Etre le seul à bander au milieu des autres. Pendant un temps ca m'arrivait souvent, sous les douches. Ya moyen de le gérer pour ke ça passe auprès des otres : il faut inverser le rapport de force, laisser entendre ke t'es pas dans la position de faiblesse. Un jour faudra ke j'en parle en detail paske ça demande un sacré jonglage. Mais c'est un truc bon à connaître, pour pas se taper la honte ou passer pour un PD.
 
 
 
 
 
 
 
 
         9, Juste savoir k'on est bogoss
 
 
 


envoyé par SensationGay

 
 
        Voilà, ça se limite à ça le concret des vestiaires. Après c'est du fantasme, et des fois, j'aimerais bien k'il se passe plus de trucs... Suivra un post illustré sur cke j'aimerais bien ki se passe aussi.
 
 
 
 
  
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Jeudi 18 janvier 4 18 /01 /Jan 07:36

 

 

        Plus ke l'esthétik, cke je kiff chez un keum, c'est  sa façon d'être dans son corps. Dans ses sensations.

        Ca se révèle dans la façon de bouger, de se poser, de s'étirer... Dans les moments les plus naturels, kan on joue, k'on se réveille...

 

 

 

 

 

 

      A l'heure de la sieste : d'un coup, t'es bien et t'as les cuisses ki s'écartent. Surtout après le sport si t'es cho.

       Là tu te mets à sentir le contact de tes fringues sur tes tétons et sur ton corps. Alors que trois minutes avant, t'en avais pas conscience.

 

 

 

       S'gratter sous les couilles, c'est bon ossi !

       Après tu peux sentir tes doigts, ça te donne une idée de ton état de santé.

 

 

      T'étais trankil au soleil, et t'as un pote ki vient te chambrer. T'es obligé de te marrer, et de te redresser d'un coup. Ca te donne comme une petite claque ki te fait sentir tout ton corps.

 

 

 

       S'taper une branle trankil bien sûr, en t'abandonnant à la sensation plutôt que s'astiquer trop vite.

 

 

 

 

 

 

 

       Même kan t'as bu et fumé, ça fait planer de se toucher.

 

 

 

 

 

 

 

       Mater ta teub et la trouver belle.

       Et puis, rêveur, tu frolles ton gland avec ton doigt pour voir s'il est mouillé, en regardant tes fringues restées en vrac sur le sol.

 

 

 

 

 

 

 

       Délirer avec un pote et avoir peur d'être surpris, ça calme ! et souvent ca t'eloigne de la sensation en attirant ton oeil ailleurs.

       Pas trop le bon plan, mais c'est marrant.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

       Faire l'amour avec la plage pour sentir tout son corps bouger comme un félin.

 

       Mais tu peux arreter de t'regarder dans sable maintenant, on l'a vu k'te bo...

 

 

 

 

 

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Dimanche 14 janvier 7 14 /01 /Jan 23:48

Vous êtes belles kan vous vous lâchez !

 

Illustration de l'article : Libérons nos soeurs, elles nous le rendront... 

 

 

      Les fotos qui suivent, paraît-il, choquaient trop pour rester dans la catégorie soft : Wajdi.

 

      C'est dommage pask'elles sont belles. Elles montrent ke l'amour est un plaisir, pour lui comme pour elle.

 

 

 

     Notamment celle là, kan tout le corps vibre de la tête aux pieds et fait faire des choses k'on aurait pas pensé la tête froide.

 

 

 

          

 

 

       Le plaisir de se donner...

 

 

 

 

      Et de recevoir, ce k'un homme a de plus intime à donner.

 

 

  

   

 

 

 

 

     Et puis s'abandonner à la sensation... Se laisser être sauvage.

 

              

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Goûter le plaisir...

 

 

 

 

 

    Ou faire plaisir...

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Dimanche 14 janvier 7 14 /01 /Jan 19:06

 

ESPAGNE

C'est pas de tout repos d'être un mek quand il fait chaud. Putain d'hormone kan tu nous tiens ! En tout cas, mon reup à moi, il est grave plus méchant ke le sien.

C'est cool Madrid kan même.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
BULGARIE
 
Pourkoi les bourgeois ne baisent pas comme nous ? Ca a l'air tout doux. Moi ça m'excite pas trop, on dirait un peu des meufs. C'est con, si tu kiff les meufs, autant mater des meufs.
 
 La force d'un mek c'est précisément sa virilité, pas sa façon de se tortiller. La force d'un mek, c'est la chaleur de son contact. Ca glisse pas quand tu le serres fort. Mais bon, eux, ils ont l'air jeunes ; ils se construisent encore je suppose.
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
FRANCE
 
 
Des petites tarlouzes ! exactement comme celles ke j'méprisais encore ya deux ans. Aujourd'hui j'ai mûri. Et le film est bien. J'crois que Ozon c'est pas une chèvre, c'est la class ! Non ?
 
 
 
 
 
 
 
      Si vous vous identifiez au petit blond, vous êtes typique le genre de keum ke j'aurais pu traiter dans le passé. C'est dur je sais mais c'était comme ça. J'ai pas de mal a tenir des propos homophobes avec mes potes. Paske je sais ke ca nous soude. C'est une façon de s'affirmer mutuellement l'importance k'on donne a la force, et le mépris qu'on a pour la faiblesse.
 
       J'en connais des gars comme ça, mais je les fréquente pas, et surtout en public. Mais au fond de moi, ça m'interesserait de discuter longtemps avec vous si vous êtes dans ce cas. J'imagine k'il ya de la souffrance a la base. Le même genre de rejet que j'ai pu vivre moi en tant ke maghrébin en France. La même difficulté à trouver son identité, à se sentir aimé par la société.
 
 
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Mercredi 10 janvier 3 10 /01 /Jan 23:33

 

 

 

Putain ! ça fait du bien de respirer un peu...

 

 

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Dimanche 7 janvier 7 07 /01 /Jan 16:55

   Un petit kado pour Yohan ki kiff les slips blancs sans pouvoir expliquer pourkoi. Ce fils de pute m'oblige à en mettre.

  

Là, il en a pas mais c pask'il l'a enlevé.

La video j'aime moins mais bon. Il est en blanc à partir de 3 min 15. Ck'est marrant c'est de voir le keum poser comme ca. Comme un bel objet en fait.

 

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Samedi 30 décembre 6 30 /12 /Déc 10:40

 

 

    Voila l'exemple typique du petit PD k'a rien dans le ventre et qui se prend pour un champion. Mais la boxe c'est pas ke prendre des poses ; c'est ossi se prendre des coups. Commence par avancer ta jambe droite si tu frappes à droite. Ca t'évitera d'avoir l'air d'un danseur. Et tu seras un peu plus percutant. 

 

 

 

 

 

    Le chant du signe : Kan de toutes évidences tu vas te faire enculer et que tu te la joues encore provok.

    J'ai des potes qui sont passés par la case zonzon, et ki se la joue aussi comme ça. Mais eux comme moi, sans en parler, on sait bien ke derrière les bareaux, ils l'ont pas eu facile...

    Pour pas se faire niker en zonzon, il faut autant d'abdos ke de hargne. Et, lui sur la tof, il a l'air plutôt gentil. En tout cas, si par malheur je tombais dans sa cellule, c'est pas moi ki me ferais mettre.

 

 

 

 

 

 

P.S. : 

     J'me rends compte ke j'ai été un peu dur dans mes commentaires des tofs.

     En fait ya aussi quelque chose qui me touche dans cette façon de cacher sa sensibilité par des attitudes pour jouer celui ki garde la face. Ca me rappelle trop comment j'étais avant. Notamment face à l'école. Kan j'étais persuadé au fond de pas valloir un clou, mais ke j'compensais a donf en faisant celui ki maîtrise. Mais j'peux dire ke c'est stressant comme façon de faire : on dissimule, on ment, on se gonfle pour donner le change en se piétinant un peu. Accepter ki on est devrait être le commencement. Ma famille à moi aidait pas à s'accepter tel qu'on est. 

    

 

 

 

 

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