Michel Platini se souvient qu'il y a trente ans, "l'hymne français était sifflé sur tous les terrains". "Mais à l'époque, les politiques ne s'intéressaient pas au football et ça ne choquait personne", a-t-il affirmé dans le monde daté de demain.

       C'est instructif de savoir que les sauvageons français des années 2000 sifflaient déjà la marseillaise avant d'être nés.

       Bref, aujourd'hui on fait du boudin avec des p'tites vexations à la noix.



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      Entre 15 et 20 ans, difficile de se retenir de se branler quand on croise un sac de frappe. Vu ke ça a plus de présence qu'un traversin c'est trucs là... C'est presque chaud au toucher. Bref, c'est à la fois doux et burné.

      Ce site belge a trouvé une astuce qui m'aurait bien aidé à l'épok.

       Et pour les mous du bout, ça vous donnera une bonne occasion de rigoler :




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    Kan j'étais petit bloggueur (ça va faire deux ans), j'recevais des messages comme celui-ci à la pelle. Surement parce que à l'époque, j'doutais grave de moi sur le plan de l'écriture. Et vous me rassuriez en me disant ke j'étais pas la brelle ke j'croyais être... C'était le bon temps des caresses et des commentaires ki rassurent.

    Kan j'avais l'air d'être destiné à devenir un maçon consciencieux, vous vous réjouissiez ke je sois capable d'aligner trois frases, même tâchées de sperme. On applaudissait la performance... Aujourd'hui ke petit Wajdi est devenu Grand, k'il menace de gagner trois smics par mois plutôt k'un, on attend surement plus de moi et c'est plus rare de recevoir de tels compliments :

Jérôme :  J'ai navigué sur ton blog et tout m'a plu, d'abord le fait que je trouve que c'est bien écrit et parce que c'est vrai sincère fort émouvant sans tomber dans la mievrerie.

Cela à changé mon regard sur la banlieue et les mecs des banlieues que j'ai pu connaitre au lycée et que je ne côtoyais pas. Cela peut paraitre con à dire mais tu m'as ouvert les yeux sur certaines choses.


     Tant mieux si ça t'a fait changé de regard... J'suis content kan je peux susciter ces évolutions là.



      Dans le même style, j'ai vu entre les murs. J'ai pas aimé mais j'sais pas dire pourkoi.
 
      En plus, j'arrivais pas à rentrer dedans ; j'ai passé tout le temps du film à me demander : putain, ils sont les uns sur les autres, comment ils font pour se branler scred en cours ?
 
      Nous on avait des plus grandes salles... et j'me branlais pas qu'en sciences nat.

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      Ya un comm ici ki m'a un peu troublé. Le genre ki te colle direct une émotion ke tu comprends pas tout de suite. Une sorte de tremblement. J'parlais de ma peur de lire à l'école et Daniel comparait ça avec sa paralysie en sport. Mais ce qui m'a fait frémir, c'est son envie de vengeance. Son fantasme.
 

Daniel :  Woua c'est exactement ce que je ressentais en gym... meme  trouille  meme angoisse  meme  haine...
J'avais la meme  trouille et la meme haine de ceux qui y arrivaient. Je me sentais humilié. Envie de les attacher a un  poteau et de les humilier à mon tour. Envie de dominer leur corps souple et musclé et de m'en faire un jouet. Envie de les sentir s'aplatir devant moi et de jouir  d'eux. Les obliger a faire des trucs qui detruisent l'image qu'ils se faisaient d'eux meme...
Je comprends  pourquoi  bien plus tard  un  mec  m'a  dit  c'est bizarre  tu aimes  les hommes  mais on dirait  que  t'as un compte a  regler avec  eux ...
 

     J'ai aimé narguer les faibles c'est vrai. Les écraser gentiment de mon habileté physique. Frôler ou occuper leur espace en les obligeant à reconnaître ma supériorité. Forcer leur admiration par ma seule présence. Non pas pour me venger de mon complexe intellectuel. Plus par orgueil. Par jeu et par fierté. Faire sentir le décalage entre MOI, et eux. J'y reviens pas, je l'ai dit .

     Mais au fond, cette idée d'un revers de médaille me plaisait déjà. Pendant ke les Daniel rêvaient en secret de "dominer mon corps souple et musclé", je fantasmais parfois en retour "d'être leur jouet". D'être admiré par eux dans la souffrance, l'humiliation qui transcende le corps en objet.

     Evidemment, rien ne se disait d'un coté ou de l'autre. On coexistait dans notre complémentarité sans se le dire. En les provoquant à l'orgueil, je leur créais plus de haine. Plus d'envie de me faire ravaler ma class et ma confiance. Plus de plaisir pour moi de sentir qu'ils n'osaient pas m'affronter. Un regard peut-être, ou même pas... Leur faiblesse et ma force. Et l'imagination ke ça s'inverse.


      Ton fantasme va loin Daniel, dans le psychique et le cérébral. Ton envie de "détruire l'image que [je] me fais de moi même" m'excite en fait. C'est ça l'émotion ke j'ai dû ressentir en lisant ton comm. Dans le combat, ya aussi cet aspect mental de destruction de la confiance de l'autre. Je sais beaucoup jouer avec ça dans ma stratégie de pugiliste. Je l'aurais bien testé aussi sur le plan sexuel. Dans le rôle de l'objet, animalisé,
dompté, domestiqué, cloué au poteau de tes fantasmes, obligé de ravaler ma fougue et la magie de ma confiance joyeuse.
 
     J'aurais pu jouer à être ton prisonnier.




 
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     J'aurais aimé le voir, savoir ce que tu sais de moi. C'est plutôt toi qui aurais rit. Il a sûrement mes yeux, mes cils, ou quelque chose qui me ressemble... pour le reste, il est issu de ton esprit. En couchant avec mon masque, tu ne fais pas l'amour avec moi.

 

     Je suis anonyme oui, je me protège. Tu sais pourkoi. Distant, je ne le suis qu'en phase d'approche. Mais nos pensées batifollent déjà.

 

     Il ya du jeu ; il ya de la confidence. Il ya l'amour et l'arrogance.

 

     Un jour sans doute. Cent fois.

 

     Continue de penser à moi.



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     La semaine dernière, j'faisais un
kado à ma bande. Cette fois, c'est à tous ceux ki passent ici et ki me kiffent ke je pense. Avec une pensée particulière aux hommes en age d'être mon père.





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     Ya Fiso et Oh!91 ki m'ont tagué. Cette fois, faut faire une rédaction une play liste, pour raconter ck'on aime ou ki on est. C'est compliké, ça prend du temps, ça empêche de descendre jouer au foot sur la dalle avec les potes, alors j'tague personne dans la suite. Sauf si vous en avez envie, dans ce cas, vous avez k'à me le dire et j'vous tague officiellement.




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       Un truc ki me faisait frémir, trembler des jambes aux intestins, c'est devoir lire tout haut en classe.


       Le silence se faisait et ça allait être le tour de quelqu'un. Le plus souvent, c'était pas moi. On m'évitait. Ca faisait comme un soulagement. Et des fois c'était mon tour. Je
m'effondrais sur moi-même, je me débattais sans bouger. C'était l'été au milieu de l'hivers. Je transpirais pas bon. Comme si 4 diables venaient me saisir pour me circoncire une deuxième fois. J'étais nul, et j'en avais conscience. Ca s'exposait devant toute la classe. Ca durait jusqu'à l'étranglement.


       J'en ai des souvenirs dès le CE1 : on m'avait mis dans un p'tit groupe ki restait le midi pour apprendre à lire. Même dans ce groupe là, j'étais le nul. On lisait à tour de rôle mais à mon tour, on n'entendait pas. Je tentais de garder les sons dans mes lèvres, comme si je pouvais dissimuler la béance de ma faille. "Parle plus fort" disait le maître ke je ne pouvais ke haïr. Je reprennais en ayant l'impression de crier mais on ne m'entendait toujours pas. Je butais sur les mots comme un bègue. Je n'existais pas.
 
 
       Les potes ke j'avais à l'école primaire, c'était ke les nouilles et les cancres. Je pensais jusqu'à cette nuit ke je les avais choisi par affinité, car je les aimais bien. Je réalise qu'en fait, les autres avaient dû me rejeter. J'étais le miteux. Le mal habillé. Celui ki sait pas lire. Il me restait que les ânes à fréquenter. La moitié est partie en SEGPA, les autres plus tard en C.A.P., je suis le seul à être allé en seconde. Mais c'était pas gagné.


       J'étais trop jeune encore pour compenser par le physique. J'étais chétif en primaire. Mal nourri et beaucoup trop nerveux pour ke ce que j'avale me profite. Heureusement, j'avais déjà mon caractère. Mais je n'avais que ça. Et un soupçon de dignité. Le minimum vital sans doute.


         Dans ce contexte, l'incapacité de lire est une torture lente et régulière. "Si tu fais pas d'efforts, t'y arriveras jamais hein..." me disait-on avec évidence. Des efforts j'en faisais ! Mais on ne me disait jamais dans kel sens les inscrire. J'étais perdu au milieu des mots. Tout bas, je comprennais encore. Mais tout haut, les syllabes n'étaient qu'une farandole de sons. Sans aucun autre sens que l'impératif de rester à flot au milieu de la mer. Le stress d'une pirogue perdue dans l'océan.


        "Des balayeurs, il en faudra toujours..." finissait-on par répéter autour de moi. Mais c'était au tour d'un autre. Un véloce en lecture. Je m'en foutais : je retrouvais le confort de la démission. Ils se trompaient : j'aurais risqué l'écrou plutôt ke balayer. Mais à ce moment là j'étais trankil, dopé par les restes d'adrénaline, le corps ki se relâche, j'étais bien. Je m'évadais. C'en était fini pour cette fois. Le lendemain, j'étais peinard encore, parce que j'avais lu la veille.


         Dès le surlendemain déjà, je tremblais.



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       A cause d'une vieille embrouille ki veut pas se régler dans mon quartier où habitent encore mes renps, j'ai reçu un mail du directeur du centre social, ki me connait depuis plus longtemps ke vous et ki m'a vu sous des aspects ke vous connaissez pas.

       Il arrive k'on discute encore kan on se croise. Il avait pour moi un kiff à part, sûrement paske j'étais le sujet idéal pour un éduc : "un leader positif" comme ils disent. Ca veut dire ke t'es malin, débrouillard, sans casier, plutôt bien élevé, ke t'incarnes les valeurs du sport, avec comme ambition d'être un Français moyen (si possible de gauche et voulant travailler dans le social pour prendre la relève), ke tu t'inscris sans découragement aux actions du C.L.S.H. sans dire ke c'est du pipo et sans fouttre le feu à la poubelle.

       En plus, je crache beaucoup moins ke les autres.


       Depuis c't'épok, j'suis resté dans les p'tits papiers d'un Adjoint de ma ville et kan ca chauffe, on me contacte pour ke j'me montre, cke je décline régulièrement depuis novembre 2005 compris. Mais ça m'empêche pas d'être toujours re-sollicité.


       Dans sa lettre, ya un passage style affectif, ki m'a surpris :
     
      "(...) Avec toi je me suis toujours senti en porte à faux, ne sachant pas trop sur quel pied danser. Je sais que tu as le plus grand mal à exprimer ce que tu ressens vis à vis des gens. Ou alors c'est juste trois mots qui ne sont pas toujours convaincants. Une sorte de timidité ou une peur de trop en dire et de trop t'exposer, et donc de te fragiliser. C'est en tout cas ce que tu crois, mais ça ne correspond pas à la réalité. L'expression des sentiments et toi, ça ne fait pas trop bon ménage. Pourtant je suis certain que tu éprouves ces sentiments mais au lieu de te donner une dimension humaine en les exprimant, ils t'étouffent et tu n'en parles pas, ou alors à mots couverts comme lors de ta crise de décembre dernier. Parler de [tes exploits] est bien plus facile que de parler de ton coeur et de ce qu'il contient. Putain, je donnerais cher pour savoir tout ce qu'il contient ce coeur là depuis tant d'années qu'il est verrouillé !

(...) La prochaine étape pour toi consiste à justement parler de ça. Et ça va être dur !! Bien sûr tu n'es pas obligé d'aller jusque là. Mais ça serait bien pour toi.

Comme je te l'avais suggéré un moment tu pourrais commencer par parler de tes peurs (des gens, des choses, des évènements......etc), parler de tes faiblesses, de tout ce qui t'inhibe. Enfin, si tu peux le faire. Je suis bien conscient que ça sera très difficile. Je n'en serais pas capable, mais je ne m'appelle pas [Wajdi]"
.


     Comme j'ai pas l'intention de lui répondre, même si j'suis touché par la démarche style psy canadien, j'vais tenter de le faire ici dans les prochaines semaines.


Mes réponses au dirlo :
1) la peur de pas savoir lire
2) la peur de donner
      
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à Fiso, Yohan, Superebeu, Olivier, Boby, Igor, Kamel, Bougrenette

Je sais c'est sûrement con mais j'avais envie de vous offrir ça, au retour d'une journée chez le daron et la darone :



"Dans les grandes villes ou les petits villages
Devant nous défilent de jolis paysages
Ma famille à moi c'est celle que j'ai choisie
Car on a besoin d'affection dans la vie

Venez avec nous
Dans nos aventures
Plus on est de fous
Et moins la vie est dure

Je suis sans famille
Et je m'appelle Rémi
Et je me balade dans la vie"


Pour dire ke c'était pas gagné ke j'devienne ki je suis.




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     Depuis bientôt deux ans ke j'existe en version blog, c'est la première fois ke je suis tagué ! Un peu normal : je suis le blog k'on lit avec un peu de honte au ventre. Je suis celui k'on ne référence pas. Un blog ki n'est pas dans les marques-pages, et ki force à effacer l'historique.

     Un blog k'on visite dans l'ombre de soi-même.

     Des fois je regrette ke des gens n'aillent pas au-delà des premières images. Mais j'ai jamais voulu faire une version soft à l'extérieur, parce que après tout, la sexualité, ça fait partie de moi. Et on me prend en entier, ou on me prend pas.

 
     Ma srabe Fiso ki n'a pas froid aux yeux m'a tagué avec un exercice où il faut savoir à la fois lire et compter :

1- Citer la personne qui nous a "tagué"
2- Indiquer le règlement.
3- Choisir un livre, l'ouvrir à la page 123.
4- Recopier à la 5ème ligne, les 5 lignes suivantes.
5- Indiquer titre, auteur, éditeur, année d'édition.
6- Taguer 4 personnes.




"Des choses qu'on n'oublie pas. Jean laissait ainsi, jour après jour, son empreinte en moi, à jamais. Il influençait considérablement mes goûts et mes jugements artistiques. Je ne demandais qu'à apprendre".


L'armée du salut, Abdellah TAIA, Seuil, 2006. Conseillé par Kamel parce que ça lui avait fait pensé à moi, à cause de l'admiration ke j'ai pour mon frère. En fait le seul livre ke j'ai lu depuis des siècles.





      Maintenant tremblez car je vais vous taguer... : Celeste, Fauvette, Najim, Hachiko



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      Avec la rentrée, j'avais pensé ouvrir une saison 3 à ce blog : "Le guerrier apaisé". C'est dire si j'suis trankil en ce moment.

      J'ai pas boxé depuis 6 semaines. A part du sac. Ca m'est pas arrivé depuis ke j'ai 14 ans. Ca me manque à peine. Même le nouveau short qu'un pote m'a ramené en cadeau de Thaïlande (ประเทศไทย
) j'ai pas été pressé de le baptiser. Un beau short stylé tenue de camouflage pour pouvoir ossi boxer dans la jungle. Tout moi ! J'aurais pas osé l'acheter mais j'suis kan même trop content de l'avoir.

       Finalement, j'ai trouvé ke c'était un peu tôt pour une saison "apaisée". J'suis pas sûr d'en être déjà là. Et à la vérité, j'ai eu peur de le crier trop vite, et ke ça me porterait malheur. Mais c'est vrai ke je suis cool en ce moment. Comme si ce blog avait dénoué ma rage et mes frustrations. J'ai même eu envie de faire deux jours de Ramadan. J'deviens sage ; et d'une certaine manière, c'est confortable.

       Mais kesk'est devenue mon énergie de racaille ? J'la cherche des fois. Elle me manque. La vie c'était tellement compliké... C'est devenu tellement simple que j'me demande si j'ai pas été arnaqué dans l'affaire. J'regrette presque les embrouilles d'avant.

        La dernière fois ke j'marchais avec lui dans la rue, Yohan trouvait k'il me restait une allure de racaille, un style d'ancien délinquant dans ma démarche. Comme une immaturité ki reste là et ke j'aurais pas réussi à dissimuler. Ca m'a fait sourire et j'ai repensé aux conneries ke j'ai pu faire kan j'étais plus torturé et plus cramé. Des petits défis de demi-débiles ke je relevais et ke j'ai jamais racconté ici pour pas faire passer les rebeux pour des brigants. Et parce que dans le fond, j'étais plus droit ke tordu, alors j'voulais pas donner cette image de moi.

         Cette ambiance de cramé me manque, même si j'échangerais pas ma vie d'avant avec celle d'aujourd'hui. Les chambrages, les défis, les rites de passage, les qui s'y frotte s'y pique, les provocs à n'en plus finir. Même les insultes des bancs de cité.

         J'arrive pas à lâcher tout ça. C'est pareil avec mon écriture. J'avais promis à Xelias ke j'abandonnerai bientôt les "ke" et les "otres", mais j'y arrive pas. J'reste scotché à mon identité malgré toute l'envie ke j'ai eu de m'en défaire.

         La nostalgie du temps passé ? Ou le vrai attachement ke j'ai à moi-même, fidèle dans mon évolution à l'enfant et l'adolescent ke j'ai été.


     
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            Attention, tu n'as plus le droit d'être malade ou original dans l'intimité. Maintenant, EDVIGE le note pour s'en souvenir.

            Comme on est tous "susceptibles de troubler l'ordre publique", et toi en particuliers puisque tu passes ici, tu peux être dedans. Et le jour où ta secrétaire t'accusera à tort de harcèlement sexuel, la police pourra croiser ses soupçons avec ta petite fiche :

             - "Alors espèce de dégénéré ? On taquine aussi les demoiselles ?"

             Après 20 heures de garde à vue, j'te promets, c'est moins marrant à entendre.

             Parce qu'il existe une loi immuable : Kan un fichier existe, on s'en sert.


             Et demain, dans dix ans ou dans vingt ans, on s'en servira contre toi, ta soeur ou ton fils.

             Si la liberté existe pour toi, t'es concerné. Pour mieux comprendre, lis le journal ou vas voir .

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Trop fort !



Pateauger dans l'eau kel kiff !






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