Si ya un truk ke j'continue de kiffer, c'est kan l'amitié frôle le plus possible sa propre limite. Sans passer de l'otre côté. Kan "l'interdit" est suggéré mais reste une barrière, solide. Un respect profond de l'otre, de la limite de son corps, de sa différence.
Comme l'intimité du partage de kelkechose.
Le délire d'un jour sans suite....
...ou l'envie de goûter son pote...
...le sentir entièrement.
Se montrer par un geste dérobé k'il compte ce putain de keum ! Et ke si on se laissait être fragiles, on pleurerait peut-être dans les bras l'un de l'otre.
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