Mardi 23 janvier 2 23 /01 /Jan 07:36

 

     C'est con, j'avais fait ce blog pour tout dire, et j'me rends compte ke j'commence à avoir des réticences. Comme j'discute avec certains d'entre vous depuis, j'ai l'impression de devoir garder la face pour pas décridibiliser cke je dis de sérieux par ailleurs. J'pense notamment à Walid, Karim, D., Osman dernièrement, et surtout Samad qui trouve ke j'devrais pas raconter tout ça.

     Je sais ke je vais vous choquer. Je pense que vous préfèreriez pas lire ce ki suit. Mais l'intéret de ce blog au départ, c'était kan même d'accepter l'idée de décevoir pour dire tout de soi-même (sous couvert malgré tout d'anonymat).

      Là, il s'agit de dire qu'on peut assurer un max sur un plan : être un modèle dans la vie pour plein de gens, être un pilier pour sa famille, être admiré par sa meuf... Et, par ailleurs, kiffer s'abandonner dans une soumission des plus humiliantes, style totale déprave.

 

  

 

     Mon espoir n'est pas seulement de me libérer d'un poids, mais ossi de comprendre gràce à vos retours keski m'incite à aller si loin. Kelle haine profonde de moi-même me pousse à ramper si bas dans l'avillissement ? Globalement on peut dire ke je m'aime. Mais kelle partie de moi mérite, à mes yeux, un tel mépris ?..

 

     Vendredi, c'était mes retrouvailles avec Yohan, après l'épisode de l'article un peu franc ke j'avais publié sur ce blog et ki a donné lieu à une série de commentaires inattendus (Le plus fort n'est pas celui qu'on pense). J'avais rien a me reprocher à propos de cet article. Néanmoins, je me suis présenté à lui pour expier. Je venais chercher ma punition et l'entendre me dire : c'est bon ! tu es dignes de rester mon petit batard.

     Pour reconquerrir cette "dignité", j'ai abandonné toute ma pudeur pour être au mieux son objet. Et entendre son doux sourire de tendre mépris.

 

     Il m'a demandé de me fouttre en slip, et d'enfiller le fuseau de boxe ki etait dans mon sac. J'ai mis le bleu, et pas le rouge ke je préfère, mais pour moi, faire ce plan en tenue de boxe, c'était comme aller salir la partie de moi-même ke je considère comme la plus pure. C'était souiller toute la fierté ke j'ai de savoir me battre comme un fauve agile. C'était cracher sur mon palmarès, pour les beaux yeux de Yohan.

     Ca sentait deja fort la bite, et cette sueur de l'appréhension de début de soumission. Le moment où la honte est la plus forte. Pourtant, j'étais toujours couvert... mais savoir que dans les minutes ki suivraient je serai  sans possibilité de dissimuler... c'est toujours une sensation lente, extatique. Le moment où progressivement, on abaisse le regard, on penche la tête pour ne regarder ke le sol.

     Il m'a fait mettre à quatre pattes. Comme j'allais vers le lit, il m'a plutôt indiqué le sol. Ca me va très bien ; à la limite je préfère, dans ces moments là je m'y sens plus à ma place.

     Il m'a dit : "allez, vas-y !" avec sa douceur torride. J'ai fait glisser les bretelles du fuseau pour dégager mes fesses. Puis j'ai présenté mon fion à Yohan, comme il m'a appris à le faire. Je suis resté un long moment comme ça, pour sentir peu à peu à kel point je lui appartenais. Bien sûr ma teub était tendue à blok, chaude, mouillée ; des fils de mouille en coulaient régulièrement jusqu'au sol. L'avantage d'être par terre pour un batard, c'est k'il ne fait pas de tâches. Il peut lécher le sol après l'avoir mouillé.

 

     Après cette longue exposition, j'ai dû sucer un gode jusque profond dans la gorge, et le pousser d'un coup sec dans mon fion sans autre lubrifiant ke ma salive bien sûr. Ce moment d'écartellement est toujours intense pour moi. Source de gémissements ou de cris incontrôlés. Et cette fois-ci de douleur.

     J'étais heureux d'obéir.

     J'ai dû écarter mes fesses avec les doigts pour montrer les bords de mon fion sur le gode, qu'avec l'attente, tout mon cul commençait à téter. Je me sentais limé, et dans l'excitation, je faisais des excuses. J'implorais presque et mon humiliation n'a eu comme limites que le tact de Yohan, ki m'épargne davantage ke je ne le ferais dans les mêmes conditions.

     Je le sentais, en me montrant ki je suis, m'obliger à ravaler mes justifications de propos homophobes que j'ai tenu récemment sur ce blog. Puis me sortant les couilles et les empaquettant avec l'entrejambe du slip, pour les isoler et les exposer, je ne pouvais plus la ramener.

     Avec les couilles relevées, les coups de limes dans mon fion m'ont fait exploser, de ces longs jets k'il n'est pas question de retenir et qui s'étalent impudiquement sur le sol.

     J'ai reçu l'ordre de lécher. Je l'ai fait consciencieusement. Sans me demander si j'aimais ou non. Pour le plaisir d'obéir, de se soumettre, d'être vil pour les yeux brillants de Yohan.

     J'ai relevé mon fuseau en gardant le gode bloqué dans le fion, comme il m'a demandé. Deux ou trois heures comme ça me feraient réfléchir à la loi du plus fort. C'est sur qu'avec 20 cm de cahoutchouc dans le cul qui s'écarte bien, t'as pas envie de la ramener. T'es doux comme un agneau.

    Je débandais pas. De profil, ma teub déformait le fuseau d'une façon outrageante. A l'arrière, on devinait nettement ke j'avais un truc entre les fesses, et à mes yeux, on savait k'il était imposant.

    Yohan a compris ke j'avais besoin de jouir à nouveau comme une meuf, sous peine d'exploser. J'ai repris ma position, mais sur le lit cette fois. Un nouveau coup de lime avec un supplément dans la bouche... Les mêmes gestes ont produit les mêmes effets : des gémissements cette fois étouffés, un cul en flamme ki mord le gode jusqu'à provoquer le plaisir, un écoulement intense et libérateur qui vient souligner la facilité ke j'ai à jouir par le fion et le plaisir ke j'y prends.

    Puis le nettoyage, avec ma langue de bâtard.

    Y'a pas Yohan, si je suis physiquement le plus fort, tu es le plus dominant. Ma force, ma puissance, mon corps façonné pour le combat par des heures d'entraînement et d'abnégation, je les place au service de ta volonté. Pour ke tu en disposes comme bon te semble, en échange de ta douce bienveillance.

    C'est ma façon à moi de recevoir ta tendresse, quitte à devoir piétiner mon orgueil.

 

 

 

    Bien sûr, on a déjà fait des plans plus trash, notamment ceux où j'ai dû me pisser dessus. Mais celui-là était pour moi l'un des plus violents, paske c'est mon estime ke j'ai sodomisé vendredi, et j'ai passé le week-end à y réfléchir.

    J'espère k'on pourra passer un jour à autre chose. Pour le moment, j'ai besoin de ces étapes pour me comprendre, pour aller jusqu'au bout de moi-même. Cerner la partie de moi ke je rejette pour apprendre à l'aimer, plutôt ke l'éventrer de cette façon. J'apprendrai alors à être fier de toutes mes dimensions.

      Mais j'en suis loin. Pour aujourd'hui, Yohan m'a donné un gage : il a choisi le slip ke je dois mettre (blanc bien sûr), et m'a demandé de me mettre dans le fion un petit tube ki sert normalement à enrouler les bandes k'on met sur les articulations des carpes et metacarpes avant de mettre les gants. Un petit tube de la taille d'un tube d'aspirine. Une contrainte humiliante. Que j'exécute. Pour me souvenir toute la journée ke je lui appartiens. 

  

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Publié dans : J'obeis c dingue - XXX
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