Jeudi 7 juin 4 07 /06 /Juin 23:00

  

 

P.S.: Après, j'arrête de raconter cki se passe avec Jason en direct paske j'trouve pas ça clean vis à vis de lui. Par contre, j'continuerai à dire cki me concerne.

 

 

          J'aurais pas manké le rendez-vous. J'tenais le mur, trankil, assis sur le bord de la fenêtre en bas de son blok. Il a garé sa voiture ki clignote juste en face de moi, sur la place handicapé ce p'tit vicieux. Il ferme sa portière sans la claquer. Sa caisse, c'est tout pour lui et il doit avoir peur k'elle s'effondre. Et puis il a l'air tellement fier de ses nouvelles jantes alu.

    

          J'le regarde venir. Il est souple. Ca fait un point commum avec moi, et ossi avec Cyprien. Ca nous distingue tous les trois. C'est a se demander si ya un lien entre la souplesse et le kiff des meks.  Je me dit k'en fait il brillerait plus en capoeira k'il brille en boxe ; j'peux plus m'empecher d'avoir un avis de ce genre maintenant kan j'regarde l'allure d'un keum. Son physique, son mental, avec l'habitude, j'trouve ke l'un se lit sur l'otre. En tout cas, elle bouge bien ma gazelle. Le soleil met du doré dans ses cheveux. Ca le rend flamboyant et ça m'allume. Un blond sous le soleil, pour moi, ça fait comme un prince. Il prend son sac et son bleu dans le coffre et saute sur le rebord à coté de moi. On se dit quasiment rien :

 - Salut !

 - Ca allait le taf ?

 - Ca allait.

      Heureusement, le match de foot d'hier nous branche sur des trucs à dire. Et puis au bout de dix minutes, genre dix frases et beaucoup de silence, j'propose kan même de monter. Il répond pas mais il y va. Dans l'ascenseur, on est obligé d'être proches. C'est comme si nos mains se prenaient, mais elles ne le font pas. Il s'est pas douché après le taf. Son odeur me dérange pas. Elle est franche. Saine.

 

      Ya ses renps dans l'appart. Il me présente et il a l'air super content de le faire. Comme s'il leur avait déjà parlé de moi. Il est marrant. Ses parents m'accueillent pas spécialement. Pas plus ke lui ils me proposent à boire malgré la chaleur. Ca aurait ete inconcevable chez les miens. Il m'emmène dans sa chambre. J'ai la demi-trik du bien-être, les bras ki s'écartent imperceptiblement, les mains prêtes à saisir. J'me sens bien. J'le mate comme s'il été deja a moi. On échange au moins douze frases, un record. Dans chaque frase k'il prononce, ya : "tu vois quoi ? " ou "tu vois quoi !", comme un tic verbal. Moi j'voyais pas toujours koi, mais j'l'ai laissé parler. J'lui ai demandé s'il a kiffé ckon avait fait. Il m'a dit : "ben oui, c'est à la mode, tu vois quoi ?!" Non, j'vois pas. "A la télé, on voit ke ca. Les meks entre eux, tu vois quoi ?". J'comprends décidément rien au gars. Mais si ça peut le rassurer de croire k'il est dans la norme, ca m'arrange. J'l'ai envoyé me chercher à boire. J'aime voir ses jambes et son corps bouger. Son boule ossi, son dos.

 

      Pendant k'il me laisse seul, j'ai des doutes, renforcés par les posters au mur. J'imagine k'il pourrait disjoncter complet, faire le vicieux. Si ca se trouve il est assez con pour me griller sans l'faire exprès. J'cloisonne mal mes plans et ma vie quotidienne. A part avec Yohan. Mais dans le contexte de la boxe, j'ai eu k'une seule occase en plus de dix ans de pratik, et encore, c'était pas un gars de mon club, c'était un Hollandais de passage. Ca date, j'l'avais oublié. J'ai un moment de panik en fait. Puis j'me raisonne. J'me dis ke j'saurai bien le calmer si il fo. K'aujourd'hui, j'suis assez sûr dans ma tete pour nier et le faire passer pour un mito. En plus, j'm'en fous plus aujourd'hui k'avant. L'idée de me faire griller me terrorise pas par rapport à avant kan c'était maladif. Même ce blog, des fois j'me dis ke j'prends des risks de ouf même si j'ai l'impression de blinder cke j'dis. Kan il revient, j'me rassure. Et puis ya l'appel de la bite kan c'est le printemps et k'il fait cho comme au bled. Et ca, ca rend fou. Ca donne des ailes.   

 

     Assis sur le lit, mais dans le jour cette fois, j'lui caresse les cheveux.

 

     J'lui dit avec mes yeux k'il va bien me pomper, comme la dernière fois, k'il va aimer, k'on va le faire sans bruit pour pas alerter ses parents. Il détourne le regard parsk'il a du comprendre.

 

     Il me dit : "tu veux pas k'on s'branle ?" J'lui réponds ke j'suis venu pour ça. Il ouvre son armoire et pioche deux livres de cul au hasard dans une pile. Il m'en tend un et garde l'autre, s'allonge sur le coté, la tête pas loin de ma cuisse et mate les meufs a oilp ki s'ecartent la chatte. J'le regarde. Il sort sa teub et se touche. C'est beau à voir. J'ai toujours aimé l'intimité d'un garçon et celui-là, j'commence à l'kiffer serieux.

 

       Il me regarde pas mais je sais ke ma présence compte. Je crois k'il me fait un cadeau. Cette proximité me touche jusk'au plus profond. D'autant k'il est le seul à avoir la teub à l'air. Je la regarde au bout. Je le sens plus craintif ke tout à l'heure, moins frimeur. J'viens toucher son prépuce avec mon index. Ca m'intrigue et c'est beau kan le gland surgit lentement. Je joue à ouvrir en prenant le prépuce entre deux doigts. Une sensation etrange autant k'étrangère. C'est la première fois ke je joue avec un prépuce depuis ke j'ai six ans. Avant, je m'en souviens plus mais c'est forcément arrivé, à l'épok, kan j'l'avais encore. Chez Jason, ça m'émerveille. J'remarke k'il est sec, alors ke je suis mouillé depuis deja longtemps sous mon jean.

 

       Ca me fascine la finesse de la peau ki recouvre son gland. Ca a l'air fragile et en même temps sa protège. J'essaye de capter l'odeur mais je la distingue pas. Trop loin, trop mélangée à son aisselle, au reste de son corps. J'ai pas l'intention de m'approcher plus.

 

      Je sors ma teub et j'le prends tout de suite par les cheveux. Je l'amène à moi. Il y va sans faire d'embrouilles, mais sans plaisir particulier. Je regarde sa peau sur son visage, son oreille, son oeil.  Ses lèvres ki m'aspirent. Il tient ses boules plus ke sa teub entre les bords ouverts de son jean. Je devine son caleçon kaki, style tenue de kamoufflage, mdr. On a enlevé le minimum pask'on est pas seuls dans l'appart. Je le choppe par la mâchoire et je commence à bouger dans sa bouche. Puis je lui tourne le visage, la nuque sur ma cuisse, pour le limer à revers. Mon gland déforme l'intérieur de sa joue. C'est kiffant à mort de le regarder de haut dans les yeux pendant k'il me pompe. J'sens mon agressivité ki monte direct d'un cran.

 

      Et là j'prends le risk de tout faire capoter. Maintenant j'm'en veux mais sur le coup j'étais trop dans le truc. Je le tiens ferme et je le préviens : "Jason, tu vas pas recracher après..." Et j'ai envie de rajouter : "tu vois koi ?". Il répond rien mais faut reconnaitre k'il a pas trop la possibilité. "Tu vois, tu vas sentir couler dans ta gorge. J'comprendrai ke tu m'dis après ke t'as pas aimé. Mais pour moi c'est fondamental ke tu recraches pas". Rien ne vient de lui. Je ferme les yeux pour profiter des derniers instants, pour laisser monter. Je me sens puissant. Je le tiens par la nuque et la tete. Il est calé contre mon axe. Sans violence, mais sans issue. Je resserre pas l'étreinte malgré la jouissance ki commence, mais je ne lui permets pas de reculer. Puis ca gicle trankil, sans nervosité, des jets longs, surement abondants. Je ne relache pas d'un milimètre. Je gemis dans un silence absolu, la tete en extension. Putain, c'est bon... Doublement bon. Mon pouce, sur sa trachée, attend de compter trois déglutissions. Je sais alors ke je peux lacher ma prise. J'l'ai batisée comme il faut le Jason. Il reste un moment sur ma cuisse. J'ai gardé ma position d'extase, les yeux fermés, ma main posée sur sa tete. Je respire profond. J'suis fier.  

 

 

        J'ai recalé notre histoire dans un ordre ke je maitrise : je prends cki me plait, j'impose cke je veux. C'est propre, je sais faire et ca me rassure. J'suppose k'il a pas eu ck'il espérait. Mais à cet instant, j'm'en branle total.

 

        En m'éloignant de chez lui, j'imagine ce k'il fait. Il se lave ? il se branle ? il rêve ? ou les trois en même temps ? Moi, en tout cas, j'me sens le Roi de la jungle. Ca me remet la trik dans le metro, gratuit. J'me nourris discretos de mon odeur. J'rigole tout seul. Et puis j'pense k'en rentrant, j'vais l'écrire ici dès k'ya moyen. Pour crier au monde : ke j'suis trop fort !!!

 

 

 

 

 Lire la suite sans s'taper tout le blog !

 

 

    

 

Publié dans : Branleur né - X
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