J'suis sportif, bi, bien dans mon corps et heureux de vivre. Mais j'ai des petits-vices et j'les raconte. Porte d'entrée
J'reviens d'une après-midi d'entraînement et de combats bidons au corps à corps. Mais les matches me manquent. J'ai envie de retrouver les sensations de l'extrême. C'est trop dur pour moi d'avoir arrêté la compet.
A l'entrainement, t'es constament en retenu. Tu t'exerces, tu fintes, les erreurs n'ont pour ainsi dire pas de conséquences. La concentration flotte. Putain ke je manque des vrais combats. Kan tout en toi se tend dans l'objectif de mettre l'otre a terre, de lui faire manger la poussière. Et ke les coups ke tu prends te laissent des traces de 10 jours. La brulure des cordes, l'ambiance du public, la musique. Là, tes erreurs s'inscrivent dans ton corps. Tu vois la peau de ton adversaire changer de couleur, son souffle peine, on s'écroule l'un sur l'otre, à bout de soi. Tu trébuches sur des obstacles invisibles ki ne sont ke le reflet de l'épuisement. Tu déchires dès ke tu peux, tu assomes, tu cherches à broyer en finesse et en style.
Rien au monde me fait vibrer avec cette intensité. Ke le combat. L'instant du mensonge impossible. La franchise absolue. Le dénuement. Où tu veux lire mieux les failles les plus intimes de quelqu'un qu'en le combattant ? Où tu cherches plus à masquer les tiennes ? Le combat est une relation de fraternité miraculeuse, à travers l'extrêmité de la douleur et du risque.
Comme c'est dur pour moi de renoncer à ca ! Ca me manque jusque dans ma chaire.
Pour vous faire sentir l'ambiance d'un match :
(kick-boxing)
ca me donne envie de me battre contre toi tavu, meme si jme fait retamer pour la sensation davoir pour toi a nouveau le reel fight!
RDV au prochain post