Mardi 3 juin 2 03 /06 /Juin 01:02

 
 
          Fallait bien ke j'conclue cette histoire de fion avant la fin de l'année. Après une séance d'entrainement assez intense et percutante, j'étais pas rassasié. Comme un feu ki couvait à l'intérieur de moi. Une envie de mordre et d'écarter.
 
          Déjà à l'entrée des douches, j'ai collé
Jason, sans lui parler. Au lieu des p'tites douceurs de d'habitude, des palpations furtives de fion pour vérifier k'il était toujours à moi. J'lui prenais son espace, devant lui. J'le regardais sans causer.

          C'est mes yeux ki parlaient : "Ce soir, t'es ma pute Jason. L'heure a sonné".
 
nu dans les vestiaires
          C'était dur de pas bander. Ca a fini par arriver, à force d'occuper son espace et de le regarder. Y'avait une pression béton. Une tension qui l'a mis mal à l'aise. J'avais pas envie de rigoler, puisque j'venais pour consommer. C'était bon de le sentir trembler.

         Pourkoi là ? A ce moment ? Qu'est-ce qui m'a décidé ? Peut être le petit exercice de la semaine précédente ke j'tâcherai de raconter. En attendant, il allait vers sa douche et devait me contourner. J'm'assurais k'il comprennait cke je voulais.

          Putain ke j'avais faim. J'étais très concentré sur son odeur, comme si j'voulais les discerner : celle de son fion, celle de sa bite, celle de son corps après l'effort, son haleine inkiète, ses mains dégantées, ses pieds.
 
          Il contournait ; je le heurtais. Jusk'à le conduire à sa douche, sans le toucher. Putain ke j'aurais aimé le ken direct, là, contre le mur. La présence des autres l'a sauvé. Un gars est entré, j'ai laissé mon Jason se tourner sous sa douche, cacher sa trique comme il pouvait, et j'suis allé finir de m'habiller.
 

 
          Il est passé devant moi, comme pour venir chercher des instructions. J'l'ai seulement maté. C'est plus tard, à la sortie, ke j'suis allé le talonner.

          J'ai embrayé à ses côtés, légèrement derrière : sentir mon Jason commencer à flipper, ça faisait kiffer. - "T'as des capotes ?". Il me répond : "Ouais".
J'croyais m'engouffrer dans sa caisse de kéké, mais c'est dans le métro qu'on est entré.

          J'lui ai indiqué où s'asseoir. Il rougissait. J'suis resté debout, à le mater. La braguette pas si loin ke ca de son nez, la bite ensorcellée. Dur comme la barre à laquelle je m'accrochais. Et Jason qui soupirait, kan il arrivait à respirer.
 
           Chez lui, j'ai prié pour k'y'ait pas ses parents... Exaucé ! Après une inspection circulaire du salon, j'l'ai poussé vers sa chambre. Les posters y étaient. Juste quelques coins décollés. J'ai reconnu la même odeur de frais. Presque un an s'est passé.
 
doigtage de fion
            J'l'ai plaqué sur son lit. Trop facile à enlever : le survet et le boxer, d'un trait. J'ai passé mon majeur et l'index dans la bouche, bien mouillés, mais j'ai pas tergiversé à l'entrée. Il a crié... s'est agité. Je l'ai serré.
 
             Sympas les allez-retour de sa prostate à son coccys. Je voulais tout sentir. Comment c'est fait, le trou du fion de Jason, depuis le temps que je devais le sonder. La peau épaisse, chaude et mouillée. Le serrage autour de mes doigts : une protection désespérée...

              J'l'ai chevauché. Un genou appuyé contre chacune de ses hanches. Je choppe un bras : une petite clé. J'ai k'à lever le poignet de cinq centimètres et Jason qui se plie au niveau de l'aine. Ca fait comme un levier. Il choisit pas mais son cul se lève, pour se montrer. Mais là, j'ai pas fait le chien. Au lieu de regarder, j'ai blotti mon visage contre son cou, puis son oreille, trankil, relâché contre mon Jason encore tout stressé.
 
               On est resté bien un quart d'heure comme ça. Bandés. C'était trop doux, presque mignon. Mes doigts dans son fion, mais sans bouger. Comme un calin. J'retrouvais les sentiments de l'été dernier. Nos souffles qui se mêlaient. Mes pectoraux contre son dos. Mais, kan même, ma mâchoire près de son gosier. J'avais même pas envie de me faire sucer.



#   #
#



                  - "Allez Jason ! elles sont où tes capotes ?" J'l'ai relâché ; c'est moi ki suis allé les chercher. J'lui ai demandé de se désapper, complet. Putain, ça m'excitait !

                  Assis sur
le lit où il m'avait sucé, j'lui ai ordonné de venir s'asseoir sur moi et de "prendre son pied". Kel requin je fais ! : en deboutonnant mon jean, en sortant ma teub chaude et mouillée, j'lui faisais dire k'il voulait se faire défoncer. Puis j'l'ai gifflé. Au début, avec retenue... mais il en redemandait. Alors, j'me suis lâché.
 
                  J'ai enfilé le préservatif (là j'raconte pas, j'ai merdé) et j'l'ai pris comme un oreiller. En le chopant par derrière à l'épaule, j'pouvais le ramener comme je voulais. J'le bloquais sur moi comme un capuchon. J'm'y mettais en entier, jusqu'au pubis. Il se retenait de gueuler. Ce kiff, wallah ! Qu'est-ce que c'est bon de le limer. Au point que j'ai dû recommencé. La deuxième fois, à quatre pattes. Pour la capote j'étais rodé.
 


                   Sérieux, j'comprends pas pourkoi j'ai attendu si longtemps...




Se taper le mec en entier (un an kan même pour en arriver là)
 
           
Publié dans : Branleur né - X
Voir les 12 commentaires - Ecrire un commentaire
Retour à l'accueil

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés