J'obeis c dingue - XXX

Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 16:41

 

       Quand j'ai commencé a delirer avec Yohan, ça m'a fait peur. Super peur. J'avais le choix d'éviter d'y penser ou de l'affronter pour le dépasser.

       Les plans d'avant, c'était facile. Je dominais, c'est moi ki faisait le mâle. J'pouvais me faire croire que c'était pas de l'homosexualité. Le PD, c'était toujours l'autre. Moi j'étais un keum puisque j'l'ui défonçais le cul avec violence et sans sentiments.

       Mais avec Yo, j'sentais un trouble. Pask'avec lui, j'avais envie d'être passif et quelque part ca me choquait, je voulais pas l'admettre.

       Comme beaucoup d'autres rebeux je pense, j'ai cherché des sites ki parlaient de nous : beur, musulman, homosexuel. Pour comparer, voir si j'etais seul dans le gouffre. J'suis tombé sur le site de medhi : bab el houria. J'y ai raconté mon histoire avec Yohan, pour avoir des retours. J'en ai eu plein, sous forme d'encouragements. Ca m'a vraiment rassuré.

         J'l'avais vieilli. Je sais pas pourkoi ; ca me semblait plus acceptable s'il était plus vieux que moi. En réalité, il a un an de moins. Je sais pas pourkoi mais dans ma tête c'etait pire de se soumettre à un cadet. Pour le reste, vous reconnaitrez l'histoire. Je l'ai rapatriée ici pour compléter la description ke je fais de ma vie :

 
C'est fort d'être un objet

 

Salut, 

 

Je m'appelle Wajdi, j'ai 24a, je suis étudiant et je fais beaucoup de sport.

  

Normalement, j'suis plutôt fougueux. J'adore le sport pour le physique et pour le jeu. J'aime bien aussi qu'on m'admire et j'aime bien être leader. Je suis bi et je préfère nettement les meufs. Je suis avec une meuf depuis dix-huit mois et on est super bien ensemble.

 

 

J'ai rencontré un keum, par le sport. Il a 28a et il est super équilibré dans sa tête. Il vit ses passions à fond, mais discrètement. Comme moi, il est hétéro, mais il m'a fait comprendre que je lui plaisait. Il me faisait des phrases provocs, genre : « tu fais le fier, mais j'suis sûr qu'on doit pouvoir te dominer ». Ca me faisait rigoler mais au fond ça me faisait bizard. Surtout quand j'y repensais après. Après je m'suis branlé en pensant à lui et en pensant que je me soumettais.

 

 

Ca me faisait drole jusque dans le ventre. Je m'imaginais vivre l'inverse de ce que je suis en réel. Je sais que je suis trop macho, même ma meuf elle le dit. Autour de moi, et dans l'équipe, je suis leader. J'aime bien que les choses aillent comme je veux. Et pourtant je me branlais en imaginant que ce mec me matait.

 

 

A force j'ai eu envie de tenter avec lui. Il a du commencer à le sentir et faisais de plus en plus de provocs et de propositions. Comme il avait l'air vraiment clair avec ça, ça me rassurait. J'avais confiance.

 

 

Y a quinze jours, j'ai répondu à une provoc de venir chez lui. Il m'a donné un rendez-vous pour le lendemain. J'ai flippé grave en pensant que j'allais y aller. J'avais de la peur, et en même temps ça m'excitait à donf.

 

 

Je suis arrivé chez lui, direct on avait pas la même relation que d'habitude. Ca faisait moins potes. Mais je sentais toujours la complicité et la confiance. Il m'a dit de me mettre torse nu. J'ai senti que je pouvais encore le prendre à la rigolade ou que je pouvais choisir de le faire. J'ai hésité, j'avais envie de le prendre à la rigolade pour chasser ma gène. Mais j'ai fait le pas et me suis foutu torse nu. J'ai obéis. Et là je suis passé dans autre chose. J'avais plus du tout envie de rigoler. J'ai baissé la tête et je sentais une putain d'émotion monter en moi. On est resté comme ça un moment sans parler. Il me regardait. Il me laissait le temps de savourer le fait d'être en train de me soumettre à ce qu'il avait voulu. Et moi il me montait une putain d'émotion, trop forte, qui me coupait le souffle.

 

 

Je parlais plus. Il m'a dit de me mettre face au mur, à 50cm du mur. Il s'est approché et m'a palpé. Il était derrière. Les épaules, les bras, les pecs, les abdos. J'ai bandé direct. Il a palpé mes fesses par dessus le survet, les cuisses. Il m'a dit de mettre les mains contre le mur. Je l'ai fait. Il a posé sa main sur ma teub pour découvrir que j'avais la trique. Je l'ai entendu sourire, un peu sarcastique. Il a baissé mon survet jusqu'aux chevilles. J'avais un slip blanc en coton. Il m'a laissé comme ça un moment. J'avais la honte a fond et en même temps je triquais à fond. Pour me rassurer, il m'a conseillé de m'autoriser à ressentir ce que ça me faisait et d'en profiter.

 

 

Je restais contre le mur à tenir la position. Il m'a à nouveau palpé. J'avais l'impression d'être un objet qu'on ausculte. Ca me faisait mouiller mon slip car ça durait longtemps. Il a baissé mon slip à mi-cuisse. Ca a libéré ma teub qui s'est dressée devant moi. Elle monte haut car elle est légère. Elle fait 20cm mais elle est fine. Et je bandais au maximum.

 

 

J'avais l'impression d'être percé, surtout que normalement, je suis super pudique. Même dans les douches, j'aime pas montrer ma teub. Et là je bandais et je pouvais pas le cacher. Au contraire, elle était super dressée et il regardait. J'ai fermé les yeux. J'avais un fil de mouille qui commençait à pendre vers le sol. Et je sentais l'odeur de mon corps et de ma teub qui montait légèrement.

 

 

Ca allait très lentement. Il m'a dit : « allez Wajdi, tu peux te désapper complètement ». J'ai viré mes skets, mes chaussettes, mon jog et mon slip que je lui ai donné à sa demande. Lui il est resté complètement habillé. Il a inspecté mon slip qui était clean. Mais il a forcément trouvé deux ou trois gouttes d'urine et de la mouille. Il s'est approché, il m'a montré les taches d'urine et m'a demandé ce que c'était. J'ai répondu :

 

-         C'est de la pisse.

-         De la pisse à qui ?

-         C'est la mienne.... C'est ma pisse.

-         Et ça ?

-         C'est de la mouille?

-         Ca t'a plu de t'exhiber comme ça ?

-         .... Faut croire.

-         Remets-toi en position contre le mur.

 

Franchement, j'étais étonné d'obéir comme ça. Je me reconnaissais pas.

 

 

Il a plaqué mon slip entre mes lèvres. Comme j'ai pas voulu ouvrir ma bouche, il a essuyé la mouille contre mes dents.

 

 

Il m'a laissé attendre un peu dans la position. J'avais beau être à poil, j'ai repris confiance. J'avais moins de gène. Je suis super bien dans mon corps et ça se sent. Je sais que je suis beau. Je fais 1M76, 66kg, je suis bien foutu, mince mais musclé, et souple. Vif. Brun court, les yeux foncés, le torse imberbe sauf quelques poils sous le nombril. Je suis bien bronzé après l'été. Il me matait et ça me rendait assez fier car je sentais qu'il appréciait.

 

 

J'ai senti son doigt partir de ma nuque et descendre tout mon dos. Je savais qu'il irait jusqu'à mes fesses et j'avais pas envie de le laisser aller par là. Quand son doigt est arrivé au bord de ma raie j'étais pas à l'aise. J'ai plutôt serré les fesses. Il a essayé d'écarter un peu mais j'ai pas lâché et il a pas forcé. Il m'a dit : - Toutes façons tu vas t'ouvrir? je fais le pari qu'il suffit d'attendre.

 

 

Aucune de mes meufs a jamais vu mon anus, et personne d'autre d'ailleurs. Et là, j'avais envie qu'il regarde. C'était bizard. Je savais pas pourquoi mais ça m'excitait.

 

 

Avec son pied, il a écarté le mien et mes jambes étaient écartées de 50 ou 60cm. J'étais plus stable au sol. Il a pris mes couilles dans une main et les a ramenées par derrière. Ca tirait ma teub vers le bas, devant moi. J'avais toujours une super trique et je mouillais. Ça faisait des fils. J'avais l'impression d'être un animal qu'on allait traire. Et je me suis senti bien. Entre ses mains. La peur que j'avais encore un peu s'est transformée en confiance totale. J'adorais être comme ça, mes couilles dans sa main.

 

 

J'avais l'impression de pouvoir me reposer de toujours faire le fort, le puissant. Je pouvais m'en remettre à lui et il s'occupait de moi. Je me détendais. Je sentais mon cul moins serré et cette zone devenait très présente à ma conscience. Mais lui n'a pas senti que le chemin s'était ouvert et il continuait à rassembler mes couilles dans sa main, par entre mes jambes comme pour faire un petit paquet avec. Ma bite montrait le sol.

 

 

Il a pris une de mes Nike et il a attaché le lacet autour de mes boules, pour les isoler du reste de mon corps. Puis il a laché la shoes et je me suis retrouvé avec ma Nike qui pendait entre mes jambes, accrochée à mes couilles qu'elle tirait un peu vers le bas.

 

 

Il m'a laissé encore un moment comme ça. Moi, j'étais devenu super excité. Ca allait trop lentement j'avais envie de me branler et de jouir vite. Mais il me faisait toujours attendre. Je regrettais même d?avoir serré les fesses tout à l'heure. J'avais envie qu'il revienne sur mon cul. Mais j'aurais pas osé le dire. Seulement je sentais que c'était la zone qui m'appelait le plus. J'avais même envie d'approcher mes doigts, alors que je me suis jamais intéressé à cette zone. Je me suis même pas doigté plus que trois ou quatre fois dans ma vie et c'était plus par curiosité que pour me branler.

 

 

Enfin il a de nouveau approché sa main. Elle frolait mon cul et ça m'a chauffé à mort. J'étais près à gémir, il a fallu que je me retienne. J'avais envie de lui dire d'y aller. Il a écarté mes fesses en écartant juste son doigt et son index. J'ai senti de l'air froid contre mon anus. J'étais content qu'il soit comme ça, à l'air, et j'étais content de lui montrer. Il a passé son doigt sur la rondelle. Ca me faisait vraiment frémir.

 

 

Il était très près de moi. Je sentais son souffle. J'avais l'impression qu'il me disait : « alors, tu vois ? quand je te disais que je saurais te soumettre ». Et j'imaginais que je lui répondais : « vas-y, fait comme tu veux. J'ai lâché ma pudeur et je me donne complètement. Dis-moi encore ce que tu veux voir de moi. Je te montrerai tout ».

 

 

Il est parti chercher une matraque en me laissant dans ma position, debout devant le mur, les couilles tirées vers le bas par ma sket. Il est revenu avec, elle me paraissait énorme parce que je suis pas habitué à ce genre de plan vu que j'en ai jamais fait. Et bien sûr, je suis vierge du cul. C'était pas dur pour moi de le défendre, ni de défendre ma réputation.

 

 

Il a brandi la matraque devant ma bouche pour que je la suce. J'ai pas ouvert la bouche. Il m'a dit : « écoute Wajdi, je t'oblige pas à me parler. Mais j'aurai une réponse selon ce que tu décides. Soit tu la suce et je te la mets avec douceur. Soit tu refuses et je te la mets sans ménagement et à sec. De toute façon tu vas l'avoir. Donc tu choisi ».

 

 

Il a tenu la matraque à porté de ma bouche. J'étais pas décidé à me laisser la mettre, c'est pour ça que j'hésitais. Au moment où j'ai senti qu'il allait la reculer, j'ai ouvert la bouche pour accepter. Il me l'a donné à lècher, puis à sucer comme une bite. J'ai mis beaucoup de salive. Il a déplacé la matraque d'abord sur mon torse et mes tétons. Je sentais bien que j'étais en train de me soumettre à l'objet. La matraque me dominait le torse. J'avais les muscles bandés. La bite tellement en érection depuis le début que ça me faisait mal.

 

 

Il m'a redonné la matraque à lècher. J'ai remis de la salive. Il a posé le bout sur le bord de mon fion. Je me suis laissé plaquer contre le mur et j'ai senti qu'il poussait doucement, et que le matraque glissait tout seul à l'intérieur. Je sentais que ça m'écartait doucement. Au début ça faisait mal mais il l'a retiré un peu puis renfoncé. C'était trop bon comment ça m'écartait. Très vite j'ai eu envie de l'avoir entière. Mais je crois pas qu'il ait enfoncé plus de 10 ou 15cm. J'avais envie de gémir aussi et je crois bien que j'ai gémis un peu. En tout cas je respirais fort et j'étais bien. Comme comblé.

 

 

Je m'en suis surtout rendu compte quand il l'a retirée. Ca me manquait à fond. Il a voulu que je la lèche, j'ai pas voulu. J'avais trop envie de l'avoir de nouveau. J'ai murmuré : « remets la un peu..." Il m'a répondu : « Si je veux ! ». Puis il m'a dit que je pouvais me doigter en attendant si j'avais trop envie. Mais seulement avec au moins deux doigts. Il m'a dit :  « a partir de maintenant, même si tu le fais seul, t'as plus le droit de te doigter d'un doigt. Tu dois toujours commencer au moins avec deux ».

 

 

Je me suis vu en train d'essayer de me doigter par derrière, la basket entre les cuisses. J'ai eu honte et là, en écrivant, j'ai quand même honte d'avoir été aussi loin dans un truc qui, pour moi, est vraiment hard. Mais en même temps qu'elle trique j'avais depuis le début... De plus en plus dure, de plus en plus mouillée.

 

 

J'ai pu mettre un peu mes deux doigts. Mais ça faisait pas pareil.  Au bout d'un moment, il a pris mon bras et a tiré violemment dessus pour extraire mes doigts et me laisser de nouveau sans rien. Il m'a redonné la matraque a sucer. Cette fois, je l'ai fais. Et il me l'a remise. C'était vraiment incroyable comment je me sentais comblé quand je l'avais. Il l'a fait aller dans des zones qui m'excitaient trop. Il m'a fouillé le cul avec la matraque et un moment, j'étais trop excité, j'ai juté contre le mur sans même toucher ma teub ou mon gland. Je croyais même pas que c'était possible.

 

 

Jai trop jouis. Y en avait plein le mur.  Il avait l'air content pour moi. Il m'a détaché les couilles. Et je me suis assis par terre contre le mur, près de mon sperme. Il m'a laissé un peu tranquille. J'ai refléchis. Je me sentais pas mal. En tout cas, je me sentais toujours aussi viril qu'avant. J'ai pas eu du tout l'impression d'être changé en meuf, au contraire. J'ai trouvé ça super masculin de jouir comme ça. J'étais bien. Je me suis juste couvert la teub avec mon survet.

 

 

Quand il est revenu, il m'a regardé amicalement, il a pointé son doigt sur le mur pour me montrer mon sperme qui avait coulé. J'ai pris ça pour un ordre de nettoyer. J'ai lèché mon sperme sur le mur. Je l'ai fais avec application. J'avais vraiment envie de lui faire plaisir. En me soumettant.

 

 

Je crois que dans la foulée, j'aurais pu le sucer. Il me l'a pas demandé. J'ai cherché ce que je pourrais faire pour lui faire plaisir. J'ai écarté le survet pour lui montrer ma teub qui rebandait. Et je me suis branlé devant lui, sans rien dire, en lui montrant vraiment le plaisir de ma queue, de mon gland, de mes couilles. En le laissant vraiment tout voir de cet acte d'intimité. J'étais heureux de lui montrer. De m'exhiber sans pudeur devant lui.

 

 

Ca fait deux semaines, et j'ai pas encore osé le revoir, même dans un contexte normal. Je sais pas si j'ai envie de le refaire. Pour moi ça a été fort, mais c'est pas l'image de moi que j'aime avoir. Ce qu'y me gène c'est que je dois garder ça pour moi. Je peux en parler à personne autour de moi.  C'est pour ça que j'ai eu envie d'écrire ça ici.

 

Wajdi.

    

     Depuis ce moment, les choses ont changé dans ma tête et je me demande plus si je veux le refaire.

     Pour Kamel, je signale ke cette histoire n'est pas d'une exactitude totale. C'est mon premier exercice d'ecriture... ce n'était pas destiner a me raconter mais à obtenir des témoignages pour me reconforter. °;)

 

 

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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 07:11

 

 

     J'ai pas dû en profiter assez kan j'etais ado. A l'epoque, j'ai du me doigter peut etre cinq ou six fois. Mais sans trop de plaisir. Possible ke avec mes freres dans la chambre ca me stressait trop pour ke j'me lache a me taper une branle avec un doigt.

     J'ai vraiment decouvert ce plaisir la avec Yohan. Comment ca peut decupler le plaisir et comment on peut jouir par là. C'est trop bon kan il me le fait faire.

     Mais moi, j'ai plus le droit de me mettre un doigt. C'est une des premieres contraintes ke Yohan m'a filé. Si je me doigte, j'ai pas le droit de me mettre qu'un doigt. Je dois en mettre au moins deux, car Yohan a décidé k'un seul doigt, c'etait pas assez pour moi.

     J'aime cette contrainte et je l'ai toujours respectée. Des fois même, il l'avait oubliée et me demandait de me mettre un doigt. C'est moi ki lui rappelait que je pouvais pas faire ça. Avec lui, je cherche pas a finter. Au contraire j'prefere bien obeir. Bien me conformer a ce kil veut.

      J'adore me rappeler ke j'ai un statut special. Ke contrairement a n'importe kel bogoss ki deciderait de delirer dans sa piaule a se doigter, moi j'peux pas gouter comment c'est d'avoir un seul doigt. Des fois j'y pense dans des situations où j'suis en avant. Kan j'fais ma loi dans les vestiaires et ke j'traite les autres de tarlouzes. Une fois j'y ai pensé sur le ring pendant ke l'arbitre me levait le bras. J'etais content d'y penser là. J'avais le sourire. Et puis ca m'aide a pas m'emballer, pas me la jouer. J'pense a cke Yohan me fait faire, et du coup j'reste humble.

      Yohan il dit ke j'dois pas habituer mon fion a mettre des trucs trop fins. Ke mon fion j'dois l'habituer a bien prendre. Alors j'lui montre bien ke j'mets plusieurs doigts. Souvent ca me fait un peu de sueur sur le front. C'est la sueur de l'humiliation. Je la reconnais comme ca, elle est specifique. J'me sens bien humilié kan j'lui montre ke j'me conforme a ses ordres. Mais j'aime la sensation. Ca me calme tellement. Ca mate mon impulsivité.

      Au début, j'ai toujours la meme honte. Et plus je laisse voir, plus elle s'efface. Apres c'est le plaisir ki domine mon corps et ya plus ke la douceur de mes doigts mouillés dans l'anus, l'ecartement. La sensation d'etre écarté. Alors souvent je gemis doucement. Comme un animal ki admet le sentiment kil a pour son dompteur.

 

      Un doigt dans le cul, c'est sûrement très bon, mais deux, c'est mieux pour moi.

  

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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 11:30

 

     Sur les conseils appuyés de Yohan, j'vais parler de la matraque. Mais fo savoir que l'idee d'en parler me trouble tout l'interieur. J'prefererais pas et en meme temps j'ai envie. C'est chelou.

     Mon reuf l'a ramasse apres une charge de C.R.S., il s'etait planque a l'arriere ce batard. Il l'a garde quelques temps a la maison, comme un trophe. Il etait super fier de sa prise. Et puis il en a plus rien eu a fouttre alors je l'ai recuperé. Sans penser a mal.

     Elle est reste un moment a rien faire avec mon nunchaku et mes tonfas. J'm'en servais pas. J'dis pas ke j'y ai jamais pense, j'avais eu l'idee tout seul. Mais c'est Yohan ki m'a appris a vraiment m'en servir. A sa façon a lui.

     Fallait kan meme prendre le temps pour moi de franchir un tabou. J'pense d'ailleurs ke c le tabou ki m'avait empeche de m'en servir avant. Comme koi ca sert les tabous. Mais ca empeche ossi de vibrer vraiment, de decouvrir son corps en entier.

      En fait, j'me souviens plus vraiment comment j'ai commence. On faisait un plan. Il m'avait habituer a me mettre des doigts. J'ai dû balader la matraque un moment du cote de mes fesses. J'pense qu'au debut j'devais encore etre en jean. Genre, elle me frollait. J'devais la sentir roder dans les environs de mon fion. Pour m'habituer doucement a l'idee. C'est sur ke j'ai du resister un peu. Montrer ma gêne, comme pour etre epargne. Et en meme temps devenir un peu gentil, un peu plus soumis. Plus a l'ecoute de ck'il attendait de moi.

      J'crois ke ca a du se faire en plusieurs fois. Il a du commencer par me la faire lecher, un peu comme si ct une teub. J'etais super gené. Cke je me rappelle, c'est ke pendant plusieurs jours, j'savais ke j'allais devoir me la mettre un moment ou un otre. Et ces moments la, quelquepart, ils etaient delicieux.

      J'ai toujours eu beaucoup de pudeur, j'ai toujours passe beaucoup d'energie a cacher mon intimité. Pourtant, quand j'ai baissé mon jean, en sachant que c'etait ce jour-la... Puis mon slip, j'devais etre en transe. Tout silencieux. Bercé par le bruit de ma respiration. Intrigué et aux aguets. Calme mais interieurement stressé.

      C'est dans ces moments que je vibre. Quand je lache un peu. Quand je suis forcé de montrer mon intime. J'aime ke ca dure, pour ke je me rende vraiment compte de ce ke je fais. Pour le sentir a l'interieur, dans tout mon ventre et mon thorax.

       C'est cette matraque, moi ki deteste les keufs, ki m'a vraiment ouvert le cul pour la premiere fois. Difficile de pretendre apres qu'on est encore vierge du cul. Meme si j'me suis jamais fait sodome. Ou alors, il aurait fallu ke j'y prenne pas de plaisir. C sur ke la premiere fois j'ai eu mal; Surtout avec Yohan ki prefere kon fasse pas les choses a moitie. Et puis j'avais l'anus kan meme bien serré. Mais j'ai tout de suite senti ke j'aimais. Pas specialement etre penetre. Plutot l'idee de me sentir ecarté. Offert. Malgré une resistence de plus en plus feinte. De plus en plus minime. Laisser voir a Yohan cke personne avait jamais vu de moi. Cke j'ai toujours dissimulé. Mes fessiers serrés sur un baton en cahoutchou, mon fion malmené mais humide, docile, qui se laisse ecarter.

       Dès la premiere fois, j'ai decouvert un truk ke j'ignorais complet. J'ai decouvert ke cette jouissance pouvait me conduire a l'orgasme sans meme ke je touche a ma teub. J'ai decouvert ke je pouvais jouir du cul, cracher comme un ane, avec les memes gémissements ke l'animal. Dans mon monde, j'ignorai k'il existait pour un mek la possibilite de vivre un orgasme unikement anal. Je savais ke pour les meufs il yavait un orgasme vaginal et un dû au clitoris. Mais on m'avait jamais dit qu'on avait ossi deux facons differentes de jouir. Il a fallu ke je le decouvre dans ce moment, ce partage tres intime avec un pote.

       Depuis, j'ai avance, et j'ai decouvert d'otres trucs sur moi. Peu a peu, je repousse mes limites, grace au dressage patient de Yohan.

         

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Jeudi 30 novembre 4 30 /11 /Nov 17:08

   Ya quelque chose qu'est en train de changer avec Yohan. Avant, on faisait un plan, ça commençait ça finissait. C'etait une parenthese.

   Depuis deux mois c'est plus pareil. J'prolonge dans ma vie quotidienne ck'il me demande de faire. Ca a commence soft. Il voulait ke j'porte des slips blancs. J'sais pas d'ou ca lui est venue ct'idée. J's'ais meme pas vraiment cke ca lui fait. Mais j'ai commence a en mettre. Ct ma facon a moi de lui appartenir. J'aurais jamais mis ce genre de slip . j'pense ke c ca qui l'a amuse. Vu ke j'etais boxer a fond.

   Maintenant, kan j'm'habille dans les vestiaires ou ailleur, j'ai toujours une pensee pour lui. Je sens l'elastik du slip sur mes abods d'une facon speciale. Comme un petit lacet qui me rattacherait a lui. Ca m'arrive meme de faire le fier dans les vestiaires, de me balader trankil en slip devant les otres qui captent que dalle. J'ai l'impression alors d'etre sur un fil. J'dois rester concentré paske ya toujours le risque ke j'me mette a bander. C'est cki se passe si je pense trop a la situation. J'retourne alors vers mon banc pour finir de me saper. J'sais ke j'ai peu de temps mais ke j'peux pas non plus me precipiter.

   Une fois ke j'suis fringué, plus rien peut apparaitre de mon secret. J'peux refaire trankil le dur, c facile pour moi, c'est ma premiere nature. Ma seconde, c'est d'etre l'objet de Yohan. 

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Jeudi 30 novembre 4 30 /11 /Nov 16:50

 

   Yohan ! quand j'y pense j'ai le ventre qui se serre.

   C'est lui ma plage où je me repose.

   On a d'abord discute pendant des mois de nous, de notre vie, de ma famille. Plutot trankil. J'lui ai tout dis, et surtout cke je disais pas aux otres. Surtout tout ce qui m'enfermait à l'interieur de moi-meme.

   Et puis on a commence a faire des plans.

   J'saurais plus dire comment c parti. Ya quelque chose dans sa voix qui m'a donne envie de me soumettre a lui. Une douceur. Avec un soupson de fermete quand meme... Cki fait que quand il m'a provoque les premieres fois, au lieu de le tej, j'ai commence a ecouter. Il me disait que je changeais de voix. Et a l'interieur de moi ca chauffait grave. Ca me surprenait. J'avais trois choses qui se produisait en meme temps en moi. Une trik d'enfer, une emotion intense, une envie de me conformer a son attente.

   Ca doit faire un an qu'on fait ca. Au debut, j'etais tout pudique. J'hesitais tout le temps. J'etais chaque fois plein de honte. Maintenant je me lâche de plus en plus. Jusqu'a ressentir une profonde fierte d'etre son objet, son batard, maleable et sage.

 

 

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