wajdi - le guerrier déchainé

      
       J'ai bien kiffé ce matin ce long moment où j'ai frolé ma meuf. Son réveil.
 
       Mes doigts, fébriles, ont contourné sa peau et ses dentelles. Assez de proximité pour sentir sa chaleur, trop de distance pour vraiment posséder.
 
       L'humide est venu assouplir l'air du lit. Le désert est devenu clairière. Ma conscience endormie s'est allumée en braise.
 
       J'ai de l'amour en moi ; je le sens. Il était là ce matin, entre nous, dans ma façon de déployer sa nuit.
 
       Je l'ai mise à oilp ; elle a frémi. Déjà elle savait k'elle serait mon fourreau.
 
       Mes doigts pinceaux l'écartaient, sans entrer. Cherchait-elle à m'éteindre par cette eau ?
 
       Mon souffle sur son dos, j'ai chopé sa nuque ; elle a tendu les jambes pour offrir son joyau.

       J'ai laissé espérer. Gemir. Attendre. S'ouvrir. Délicatement sauvage, j'ai mis fin au supplice, caressant son charme par l'ouverture en feu.
 
       Plus rien de retenu. Des cris, des muscles et de la peau. Mon odeur qui l'enlace. Ce parfum, c'est le sien. Sa chatte, je la tiens. Entre ma main et ma queue. Elle avale mon épée, se fend de plaisir. C'est mouillé jusqu'aux seins.

 
 

Sam 23 fév 2008 29 commentaires
Comment t\\\'accorder plus de temps ? Depuis quand peut-on prendre du temps dans un combat pour profiter ? Si ce texte est sorti et que tu peux nous le donner, c\\\'est que tu peux aussi le lui donner. Pour moi, prendre du temps c\\\'est prendre le risque que nous tous ici restions les seuls lecteurs...
Et puis, puisque c\\\'est le jeu, ça parle aussi un peu de moi : j\\\'ai mis si longtemps à dire et écrire ces choses à ma douce, je ne l\\\'ai fait qu\\\'il y a quelques mois. Je croyais que ces mots là n\\\'étaient tellement pas les siens, j\\\'avais peur de la choquer, j\\\'avais peur qu\\\'elle me voit trop... et j\\\'en suis resté comme deux ronds de flans : ces mots sont aussi les siens. Si j\\\'ai gagné un cran de liberté (et de réunification avec moi-même !) en osant utiliser ces mots d\\\'amour qui m\\\'effrayaient un peu, je lui ai également donné la liberté de s\\\'essayer elle aussi sur ce terrain. J\\\'ai osé être grand en utilisant ces mots, je suis obligé (et heureux) de le rester en face des siens. Je ne suis que gagnant.
Fonces !
Jean - le 03/03/2008 à 22h33
Là, ça force le compliment... Très sensuel et j'm les mots que tu as choisis, WajDi. Poète-boxeur-branleur ?
DonDiego - le 25/02/2008 à 12h11
Ca fait plaisir d'avoir enfin un message apaisé de toi.

Branleur d'abord. Poète à ses heures. Combattant trop souvent.
WajDi

Toi, je t'aime trop. Sinon il y a belle lurette que je t'aurais botté les fesses ! Insolent ! Lol 


A+

Dan-Oméga - le 10/03/2008 à 12h06

« Elena »,


Je vois que tu n'as pas compris mon message ou alors tu fais semblant..


J’ai bien cru que tu nous allais nous servir un « blonde aux yeux bleus » en plus de ton mètre 80, histoire d’en faire un peu plus dans le brouillage de pistes.


Pourtant, tu sais ce qu’on dit : « à malin, malin et demi » …

Fiso - le 03/03/2008 à 12h20

Merci, merci à tous. Je sais votre impatience à connaître la suite. Aussi sans tarder, je vous la livre.


                                            LE BEAU-AU-BOIS-ACTIF(suite et fin)    
 
EPILOGUE
 
Quant à Xs, notre prince l'accueillit au château, compte tenu de leurs lointains liens de parenté. Pourtant, il dut se soumettre à un terrible châtiment auquel, par amour pour son "frère" prince, ce dernier le comdamna. Xs accepta sans hésitation en se drapant dans sa fierté qu'il avait chatouilleuse. D'ailleurs, il ne resta pas drapé longtemps puisque le châtiment consistait en une fessée administrée en place publique. Verdict, somme toute, assez clément en regard de la faute.  
Beau fit donc, sur le champ, dresser les bois de justice où le condamné fut conduit, jeté à genoux puis ligoté en travers du billot par le bourreau. Au moment où ce dernier s'apprêtait à éxécuter la sentence, un grand cri de stupeur traversa la foule. Le prince Beau, lui-même, venait de sauter sur les bois de justice et bientôt repoussait le bourreau médusé. Cela ne s'était encore jamais vu qu'un prince vint éxécuter une sentence qu'il avait infligée. Il tenait dans la main droite une tapette à mouches et de l'autre son Bois qui ne le quittait jamais. D'un mouvement de tête, il intima l'ordre au bourreau de dévoiler le fondement du supplicié. La foule murmura de voir ces deux lobes aussi couverts de poils noirs que l'était son thorax. Beau leva sa tapette et s'en servit vivement et sans faiblesse, exactement comme il l'aurait fait pour écraser une mouche, sauf qu'aucune mouche, pas même celle du coche, ne s'aventura pour amortir le choc. Xs ne broncha pas. Il reçut courageusement son compte qui fit rougir le postérieur, puis Beau se servi de son Bois, exactement comme il l'aurait fait avec un boule. Xs ne broncha toujours pas. Tout au plus fit-il une grimace qui ne pouvait être interprétée : souffrance ? A la fin, Beau magnanime, fit produire par le Bois l'onguent merveilleux et analgésique qu'il étala lui même sur l'épiderme endolori, avec beaucoup de soin.
L'affaire fut ainsi classée.
Il advint cependant que la Tagine-Lovante fut gravement endommagée lors de son déplacement par des mains inexpertes en vue de la mettre à l'abri du château. En effet, Xs n'avait pu lui même prendre place dans la machine en raison d'un petit problème cu(l)tané passager qui ne lui permettait pas de se tenir autrement que couché sur le ventre. D'autres serviteurs furent donc chargés de la manoeuvre et, malencontreusement, la Tagine roula sur quelques crottes de chèvres, qui se trouvaient là par hasard, et l'engin capota. Les experts dirent qu'il était bon pour la casse. Ce qui secrètement réjouit tout le monde, y compris le prince. Pour dédommager Xs il fut autorisé à paraître à la cour, lorsque cela lui serait possible , sous la seule condition de n'y tenir que des propos policés à l'endroit du prince Beau et jamais, au grand jamais, dans son dos.
Puis tout le monde retourna aux chroniques ordinaires, à la grande satisfaction de tous.  


PS : Nous savons tous combien Beau sait prendre soin de la tendreté de ses boules. C'est l'instinct du chasseur qui parle. Que dire de la tendresse qu'il porte à ses même boules et à ses sujets, qui parfois se désespèrent, d'en recevoir, un jour, quelques miettes ?


Il progresse, il progresse ........... 
 

                                                             FIN


Dan-Oméga - le 10/03/2008 à 09h10
ah, ca y'est j'vais pouvoir commencer a lire.
WajDi

C ce genre d'article ke j'kiff sur tn blog lol


 


bizzz

nikola - le 24/02/2008 à 01h58

Un peu incisif, mais somme toute amical.



                                                      LE BEAU-AU-BOIS-ACTIF (suite)
 
III-CHRONIQUE EXTRA-ORDINAIRE DU PRINCE
 
Le terme d'extra-ordinaire est à comprendre comme tout ce qui n'est pas ordinaire. Lorsque l'on sait qu'avec un prince si puissant rien de bien surprenant puisse survenir qu'il ne sache régler au mieux des intérêts de tous. La sécurité, la sérénité, les plaisirs et le jeux de boules étaient la règle pour le plus grand confort du peuple. Aux quelques anicroches près, dénoncées précédemment, qui n'affectaient pas la bonne gouvernance de Principe-ôté.
Pourtant, en un jour paisible, survint une menace qui, bien que n'étant pas la première et n'étant point en mesure d'alerter outre mesure la cour et ses alentours, surprit tout le monde par sa brutalité. D'autant que Beau, par le fait d'un malencontreux hasard, se trouvait à la veille d'une de ses plongées abyssales en apnée dont il avait le secret.
Un mal-appris, et inconscient du danger qu'il courrait, chargea le globe de Beau d'un message menaçant pour le prince et son entourage immédiat. Il remettait en question la légitimité du prince. Il avait agit très sournoisement en commençant par endormir la vigilance de Herr-Sup-Beu, le frère de lait, par des propos lénifiants, qui se voulaient amicaux et plein de compréhension des problèmes qui agitaient pour l'heure ce dernier. Ces messages étaient tellement habiles que nul n'y vit malice. C'est précisément à cette époque que Beu-lui-même (petit diminutif affectueux donné à Herr-Sup) coupa la communication avec tout le monde. Faut-il y voir une relation de cause à effet ?? Parallèlement, ce trublion, qui s'appelait d'un nom fort imprononçable Xz-Xz-Xz (pour le prononcer correctement replacez vous dans une cours d'école à la récréation, lorsque vous vouliez narguer l'un de vos petits camarades, vous frottiez un index sur l'autre en crachant "Xz-Xz-Xz, bisque bisque rage" et vous aurez une idée de la prononciation de ce nom très barbare) rédigeait ses messages sur le globe du prince. Il introduisait sa menace sur un ton particulièrement cynique en expliquant que de son altitude il observait le Principe-Oté depuis fort longtemps et osait assurer que Beau n'était qu'un fantoche et qu'il allait céant le démontrer. Il prenait donc un avantage certain, dont il abusait sans vergogne. Le prince, tout à la préparation de son équipée sous-marine, ne fit que des réponses d'attente et commença par soupçonner une attaque interne en portant ses soupçons sur l'un ou l'autre de ses serviteurs. Même Dane-Io, le grand Econome, subit cet outrage qui le blessa. Il se trouvait alors à suivre une cure de thalasso en province Celte. Il écourta son séjour et revint immédiatement au château princier. Le prince, cet ingrat, avait déjà chaussé ses palmes et ne daigna pas donner la moindre explication. Il plongea derechef laissant la cour avec le problème du provocateur.
Le fâcheux continuait, dans l'intervalle, ses attaques personnelles aussi néfastes que mensongères. Une enquête, menée par Dane-Io, révéla qu'il habitait une lointaine province du sud appelée A-L'an-de-Louz. Il se présentait comme une sorte de baron bani d'un royaume lointain où il était détenteur, à l'époque, d'un marocain dont il n'avait pas été digne. Il purgeait sa peine dans le royaume de Sarre-col-And d'où il s'enfuit, pour on ne sait quelle raison, et s'établit, d'un trait d'union, A-L'an-de-Louz où il habitait un donjon . Avec son fort accent du sud on entendait "dojo" lorsqu'il évoquait les surprises-parties qu'il organisait avec beaucoup d'amis masculins. Il semblait qu'on y jouait aussi au jeu de boules.
Se voyant découvert et furieux Xz-Xz-Xz n'eut pas de mots assez durs pour stigmatiser Dane-Io qui ne se laissa pas démonter et répliqua sur le même ton, quoique d'une manière plus mesurée. Laissant toujours une porte ouverte à la repentance, que Xz-Xz-Xz ne saisit pas, dans son délire de nuire. Cependant, le mot "altitude", par lui employé, finit par faire son chemin jusqu'à ce que quelques uns lèvent la tête au ciel pour y distinguer un point immobile qui se révéla être le repère de l'agitateur. Déniché, le perturbateur, fondit sur le château princier et atterrit dans les douves. Atterrir est bien le mot car Xz (pour faire court) utilisait un véhicule ultra moderne qui était en fait une Tajine-Lovante. Lovante, parce que de dimensions tellement exigües que son passager était contraint de s'y lover pour laisser place à son chargement guerrier. De loin, on distinguait à peine une inscription sur le pourtour qui, à la jumelle, se révéla être un mot comme "Super-U----" dont la suite était hors de vue sur la face cachée de la Tajine. Plus tard on eu le fin mot qui était tracé en tout petit par manque de place "gnon" qui ajoutait au caractère belliqueux du personnage. Et le plus curieux, le U n'était pas une lettre mais était formé d'une paire de cornes comme en ont nos paisibles vaches. Mais ici le symbole se voulait menaçant, d'autant que l'équipage trahissait l'aspect mercantile de l'expédition avec toute une série de petits tiroirs rangés sur le pourtour de la Tagine où l'on pouvait lire : poil à gratter, poudre à éternuer, dragées au poivre, fluide glacial, pétards républicains...etc. On ne peut pas dire qu'il s'agissait de douceurs propres à amadouer les populations. 
Xz se révéla être aussi velu que notre prince était nu. Son habit, très ajusté et très lumineux à la limite de la décence, laissait deviner une abondante toison pectorale dont il semblait être très fier puisqu'il ne boutonnait pas son boléro. Pas laid, mais loin d'être aussi beau que notre prince Beau, il avait la bouche déformée par un rictus mauvais. Le premier trait que Xz lança fut pour Yo-Anne. En effet, toute la cour était montée sur le chemin de ronde pour mieux observer les évènements. Il lui balança un méchant coup de corne en vache qui le laissa sans voix. La blessure aurait pu être grave si notre Yo-Anne n'avait pas revêtu ce jour là son costume de cuir noir clouté. Xz semblait avoir une haine particulière pour Yo-Anne, voulait-il lui ravir son poste ? Rivalité professionnelle d'hommes de loisirs ? Hummm, à voir. Yo n'en eu que le souffle coupé. Xz s'attira une fine remarque de Vit-ail-Pis qui lui fit savoir qu'elle prendrait plaisir à lui faire un autre trou dans son bel habit si d'aventure il passait à sa portée. 
L'intrus campa dans les douves. Jours et nuits il chantait des chants bizarres. Les paroles étaient toujours guerrières mais bien écrites, ce qui dénotait d'une certaine culture, les musiques étaient mélodieuses, ce qui dénotait d'un certain talent, pourtant quelque chose clochait. On avait l'impression que soit les paroles étaient trop longues pour les notes, soit les notes étaient inadaptées au texte. Avez vous déjà chanté "Au clair de la lune" sur la musique de "La Marseillaise" ? Voilà ce que donnaient les sérénades de Xz. Il y parlait de la Chèvre du Prince (?) en des termes très peu courtois. Tout cela sonnait faux et, très rapidement, cassa la tête de tout le monde. Excédé, le grand Econome prit l'initiative vitale de monter un soir aux créneaux du donjon, sans en avoir reçu mandat, encouragé d'une manière inattendue et appréciée par Eaulà-Etlà qui parlait dans l'intérèt des familles. Muni de son sceau d'hygiène, puisqu'il en était responsable, il vida d'un coup cette cire fumante sur la tête du gêneur qui ne dut sont salut qu'à une retraite qu'il battit promptement sous le pont levis. De là il émit encore quelques couacs puis il finit par ce calmer. Il n'était décidément pas à la hauteur de son défi.
C'est le moment que choisit Beau pour réapparaître, nimbé d'une nouvelle et puissante gloire. Entre parenthèses, il battit le record mondial du 100 m en plongée en 1mn 20 secondes à cette occasion. Il se vit même attribuer par la suite le Deep-Fall-US d'or, la plus haute récompense des Amériques de la spécialité. Eaulà-Etlà faillit en boire la tasse de jalousie, lui qui prétendait très sérieusement et exclusivement à décrocher le Fall-US d'or depuis longtemps. Il avait, pour ce faire, requis les services de Vit-ail-Pis, qui chronométrait ses multiples tentatives avec son réveil matin, et ne ménageait pas ses encouragements, sachant bien que se mesurer au prince était vain et voué à l'échec. Elle pouffait de rire derrière sa main.
Malgré ce beau trophé, Beau entra dans une vive colère et reprocha à Dan-Io de l'avoir privé de la gloire de réduire lui même Xz au silence, et à Eaulà-Etlà d'avoir tenté de légiférer pour endiguer les débordements du même Xs. Ahhh !! l'ingratitude des princes ! Beau était très jaloux de ses prérogatives. Néanmoins, cette affaire, aussi injuste fut-elle,  jeta un froid salutaire qui calma les esprits des uns et des autres. C'est ce qu'on appelle dorénavant modérer le globe. D'ailleurs, Beau réfléchissait à prendre une loi qui tendrait à limiter l'irruption, non souhaitée, de nouveaux arrivants dont le profil ne correspondrait pas aux orientations fondammentales de Principe-Oté. Seuls quelques détails techniques et la réduction au silence de quelques voix discordantes en retardaient la promulgation.  
A l'aune de cet épisode l'on compris, les historiens y ayant travaillé durement, que Beau-Au-Bois-Actif et Xz-Xz-Xz  étaient originaires d'un seul et même royaume, dont le jeune Calife actuel se nommait curieusement Moi-Medicis. Etait-il lié avec nos rois issus de la reine Catherine du même nom ? En tout cas l'un et l'une portaient à la religion une extrème attention. Beaucoup pensèrent que l'intervention de Xs était motivée par son souhait de voir notre Beau retourner aux anciennes coutumes du sud. Il voyait avec chagrin, et même dépit, Beau se fondre dans un creuset qui était devenu le sien depuis longtemps et prendre sagement les habitudes de vie des siens dorénavant, au Nord.  Les historiens, à l'issue de longues recherches, établirent que notre Beau avait pour patronyme originel, Al-y-BABA, qui au fil des ans s'était transformé en Beau-Au-Bois-Actif. Le prince, pour lever toute ambiguïté et clamer haut et fort son adhésion, prit un arrêté stipulant qu'il conserverait son nom de Beau-Au-Bois-Actif.
Il prit pour femme une duchesse du Nord et ils furent heureux et eurent beaucoup d'enfants. LONGUE VIE A NOTRE PRINCE BIEN AIME !!! 


à suivre...

Dan-Oméga - le 09/03/2008 à 18h25

Mmmm !!!


Quelle ... surprise délicieuse de lire un réveil aussi sensuel !!


La photo, déjà, m'a laissée rêveuse un long moment.... J'aurais bien vu u foulard noué au lit en fer, aussi... Tu as bien choisi tes mots, juste ce qu'il faut de vocabulaire guerrier.


Tes doigts pinceaux qui colorent sa peau, par touches, et elle qui se fend comme une armure .... Inexprimable !


J'en demande plus ! ;)

Fiso - le 23/02/2008 à 20h57

Ah et bien tu as mis Fiso en totale extase lol


J'avoue ne pas ête non plus totalement indifférent... bien que d'un autre bord. Réveil torride et charnel, on sent le Wajdi sensuel et passionné... merci de nous avoir fait partager cette scène... Quel bonheur de commencer une journée ainsi... il n'y a rien de mieux qu'au réveil....


 

Nico - le 24/02/2008 à 01h22
ah y a un gars ka l'mm nom k'moi...sa fai chier sa !!!
nikola - le 24/02/2008 à 01h59
Il etait meme la avant toi, c'est un revenant regulier. Mais t'inkiet pas, toi c'est nikola avec un "K".
WajDi