wajdi - le guerrier déchainé

je comprend tjrs pas c quoi le kiff...le fait de plus gerer sa personne ...de ne plus etre totalement maitre...responsable .est ce que c ca .
j essaie de comprendre objectivement...je dois etre trop tebe tu te dis mais j essaie juste de te comprendre.c pa gagne..

          C'est reposant. Terriblement reposant. A la fin d'un plan, j'suis relaché complet. Et puis c'est bon de jouir du fion. C'est plus interieur comme orgasme, c différent et plus intense. Le fait ke l'autre décide pour toi, t'as plus à réfléchir, tu te laisses porter. Et puis tu te sens vulnérable et ça c'est magik. Paske ça veut dire si l'autre d'epargne, c k'il t'aime.

Pourrai-je poser plusieurs questions si je n'en pose qu'une à la fois ??

Bon, mais là tu le fais exprès ! Nous sommes dans la période des vacances et pour moi aussi. Donc je vais avoir plein de monde chez moi de mi-juillet au 15 aout. Je ne pourrai donc pas être autant disponible qu'avant.

Alors je voudrais savoir, question déjà posée,  comment tu es dans ta vie sociale ? Comment es-tu perçu par les autres dans tous les milieux que tu fréquentes ou au moins la perception que tu en as dans cette vie de tout les jours ? Loisirs, amis ( les vrais), relations (les bonnes et les moins bonnes), divertissements, tes managers, tes managés etc... Où te sens tu le plus heureux dans cette vie quotidienne et où te sens tu le moins bien.

         Lol. Voila cke ca donne kan Dan pose k'une seule question. J'avais raison d'avoir peur. Tu mériterais ke je reponde k'a la premiere : Oui.

         Comment je suis perçu par les autres, dans la vie sociale. C'est super dur en plus comme question. Globalement, comme quelqu'un d'assez réservé, particulièrement au début. J'impressionne malgré moi et les gens mettent du temps à oser m'aborder. Pourtant je suis pas austère au contraire, j'suis convivial. Mes potes proches me trouvent courageux a cause de tout ce ke j'entreprends. J'suis pas vraiment timide mais on pourrait le croire. Je livre rarement mes opinions, mais kan j'l'ai donne, elles sont au moins provisoirement définitives. J'ai pas de tallent pour la médiation, mais je sais arbitrer et décider. Je ne suis pas franchement un leader, mais je me retrouve souvent a devoir donner l'impulsion d'un groupe et à le fédérer. J'ai la réputation d'être intransigent et équitable. Je suis très fidèle à mes amis et ceux ki ont bravé ma fermeture pour devenir mes potes ne le regrette pas car j'ai une façon très profonde de considérer l'amitié. Aujourd'hui, je suis calme. Kan je m'emporte, c'est toujours paske j'ai été blessé profondément et mes gestes me débordent a ce moment. Kan je m'emporte, je ne parle pas, je ne cris pas, je frappe. En général, ça ne concerne plus ke mes freres ce genre de rapports. Je le regrette toujours après. Parfois, ça me fait pleurer et je m'enferme après en m'en voulant beaucoup. Je ne veux plus voir personne. De mon point de vue, c'est mon principal défaut, même si je suis beaucoup moins impulsif k'avant. 

MOi aussi j'ai des questions lol !

a propos de tes dessous...

Tu explique que maintenant tu porte des slips blancs.

Est ce que tu portes que des slips ? et quel marqe ?

Pour moi c'est simple, c'est : comment se sont passées tes premières fois avec un mec ?

Je mets ça au pluriel car j'imagine que tu n'as pas tout fait la première fois et que tu n'as pas été tout de suite le "wajdi oitié guerrier - moitié valet". Et ce serait bien si tu en profites pour dire, mêmê rapidement, ce qui t'es passé par la tête. (Est-ce que tu a eu du mal à assumer ta bisexualité au début, etc.)

@ Lecteurassidu :  Lol. Kan je peux choisir, je suis plutot boxers. Mais on a un jeu avec Yohan, et je mets ce k'il me demande de mettre : des slips blancs. Comme ça, chaque fois ke je mets un slip blanc, je pense ke je suis à lui. J'ai jamais réussi à savoir exactement cke ca lui fait. Si c'est pask'il trouve ça bo ou si c'est pour m'humilier.  Du coup je cherche pas forcement à etre classe avec. Je les choisis preske comme si ça avait pas d'importance. Y'en a kelkes'uns ki sont de marques (D&G, Levis, CK) les autres sont banals. Dans la tete de Yohan, j'crois ke ca devait faire plus innocent ke beau ou ridicule. Il m'oblige à le montrer au maximum, genre kan j'me desappe dans les vestiaires. Mais j'ai du mal encore a forcer ma pudeur. A montrer au monde ke j'suis un batard, meme si eux, ils ne verront k'un keum ki porte un slip blanc. Finalement, il m'en fo vraiment pas beaucoup pour tripper.

@ Xelias : voir plus bas, dans ma reponse à Oh!91.

Kamel,

Tu veux te faire boxer ? Attention c'est pas Wajdi, lui peut-être il serait doux avec toi. C'est ton grand pote n'est-ce pas ? Toujours discret mais avec des remarques toujours très justes.

Pourquoi ne peut-on pas voir ton blog ? J'aimerais bien connaitre à travers ce blog ce qui te rapproche de Wajdi. Et je crois qu'il y a aussi un autre personnage, non ? Kamel, Kelma, Zied, sont le même individu ?

Tu sais qu'il m'a fallu un bon moment pour comprendre le mot Tounzy. Si vrai : c'est Tunisien ? Je suis pas dans le coup. Et Zied c'est aussi Tounzy à l'envers ?

  

Voilà! J'ai parcouru ton blog, je me suis fait une idée sur Wajdi. Ce que je peux en dire tout de suite, c'est que tu as évolué depuis la création de ton blog. Petit à petit tu te livres plus, tu laisses plus aparaître qui tu es. En tout cas c'est mon sentiment. J'ai suivi le fil de tes aventures avec Yohan, Cyprien ou Jason. Je ne suis pas choquée par ce que j'ai lu. Je le respecte. La question que je me pose à cet instant, c'est de savoir si tu pourrais te passer de ces relations avec les hommes. Tu as l'air heureux avec ta femme et sur le plan sexuel, ça a l'air de fonctionner parfaitement. Tu n'es pas homo, c'est vrai. Je trouve d'ailleurs que tu as encore beaucoup de préjugés à leur sujet: ce ne sont pas tous des petites "fiottes" et le terme "PD" me dérange quand même mais ça c'est mon problème. Que tu ressentes un plaisir sexuel avec homme ou femme, je le comprends aisément vu que je suis dans le même cas. Il n'y a pourtant rien de mieux pour moi que le sexe d'un homme et je reste une hétéro. Mes aventures lesbiennes ont été occasionnelles et tenaient plus de l'attirance pour une femme que pour les femmes. Je m'en passe donc assez bien. Je ne rejette pas l'idée de recommencer mais je n'en éprouve pas un besoin. Qu'en est-il pour toi? Autre question, je sais on n'avait droit qu'à une, mais je viens pas souvent alors: comment es-tu dans tes relations hétéros? je ne parle pas spécialement de tes relations avec ta femme, je comprends que c'est un peu ton jardin secret, mais des relations que tu as pu avoir avec d'autres femmes. j'avoue que ça m'intéresse. En tout cas j'ai aimé te lire, merci pour ce moment passé dans ton monde.

Salut Céline. Content de te revoir ici.

Je pourrais me passer de ces relations avec les hommes, mais pourkoi je m'en passerais puiske ça me plait beaucoup et ça m'apporte quelquechose de différent par rapport aux meufs. Je ne dirais pas ke c'est un besoin, plutot un plaisir. Je ne tombe pas amoureux des meks. Parfois ils me touchent, comme Jason. Mais ça reste des freres au fond pour moi. Pas des amoureux. Ce ki n'empeche pas ke ça puisse etre fort. Mais par exemple, je ne me vois pas exiger un comportement particulier de leur part. Alors ke l'amour avec une fille c'est plus prenant. Je sais ossi ke kiffer un mek, quelque part, c'est se kiffer soi même. Alors k'une meuf c'est autre chose, plus complexe, plus abouti. Je sais ke ça va en faire bondir plein ici, mais c'est comme ça ke j'le vois : un délire avec un keum pour moi, même si c'est fun, ça mène pas tres loin.

Globalement, j'adore les filles. Je crois ke je comprends un peu ce k'elles vivent. Ce matin dans le metro, yavait une black ki disait a son keum, k'elle aimait pas sa tête. K'elle aimait ses seins mais ke personne lui disait jamais k'ils etaient bien. J'ai trouvé ça trop mignon. J'ai failli lui dire ke sa tête, elle etait très bien. C'etait pas de la drague, c'etait sincère. Pour un gars, c'est pas pareil. On s'en fout un peu de la tête k'on a; Ca interesse personne d'ailleurs et c'est pas pour notre physique k'on est aimé. C'est pour ckon degage je pense. C'est pas forcement plus facile pour ceux ki dégagent rien, mais c'est different. On est plus jugé sur ki on est ke sur notre aparence. J'ai beaucoup d'affection aussi pour mes soeurs. Je sais ke ce k'elles vivent n'est pas facile. Ca me touche sincèrement. Bien ke ce soit à des années lumières des problèmes k'on rencontre nous.

C'est dur de dire comment je suis dans mes relations hétéro, car ça depend de la fille avec ki je suis. J'ai pas enchainé les histoires, car j'etais pas très doué pour draguer. Parait ke je vois pas du tout kan une fille me kiff. Peut-etre ke j'arrivais pas à y croire. Et puis j'etais très renfermé. Globalement, je suis assez macho au sens ou je trouve k'on est vraiment differents entre hommes et femmes. J'aime le masculin chez un keum et le feminin chez une meuf. Mais je suis ni misogyne, ni egoiste. Je partage pas mal les taches et partuculierement tout ce ki est en rapport avec les gosses. C'est pas le cas de mes reufs. Je le sais. Sexuellement, je suis très mek. Trop a mon gout. Je donne beaucoup, je prends beaucoup, mais toujours dans l'action. Pas dans le je me laisse faire. C'est moi ki decide, et elle aime. Mais ya des trucs ke je kifferais : etre plus passif, ou etre dans ses bras au lieu de l'inverse. Mais j'y arrive pas. Ca dure trente secondes, puis je reprends le dessus. C'est plus fort ke moi. Pareil, kan j'ai fréquenté une super cochonne ki etait a l'aise avec tout, j'ai été choké plus vite k'elle. Je le regrette aujourd'hui mais à l'épok, c'était pas envisageable pour moi. Aussi, fo imaginer deux minutes d'où je viens, kel était le discours sur la question autour de moi. Dans la famille, les potes ki se faisaient des idées plutot ke savoir. C'est une sacrée pression d'etre un mek dans un quartier. Fo assurer de tous les cotés. C'est dur comme ambiance. Ya pas trop de place pour la tendresse, surtout en public.

Voila, toi t'as le droit à plusieurs questions d'un coup. Non pas paske t'es une femme, mais paske tu es une rare représentante de la gente féminine à te taper mon blog. Ca donne droit à un privilège. J'suis content ke tu sois repassée. La biz à Lorenzo. A bientôt.

Allez, c'est pas facile ta nouvelle règle du jeu, mais je m'y essaye. Respect. Te revoilà au centre du jeu.

 

Ma question va commencer par une que t'a posée Dan (dans l'une de ses interventions), et que te pose encore Xelias de façon directe : comment s'est passée ta première fois (ou tes premières fois, si Xelias préfère). C'est surtout la question de ton ressenti qui m'interesse. Dans première fois, il y a la première queue d'un autre que tu as effleurée, que tu as empoignée, la première bouche qui a pris la tienne, ta première enculade, mais il y surtout la première fois que tu as réalisé cette "autre" attirance pour les garçons, ou si elle existait, latente, d'une façon ou d'une autre depuis longtemps, depuis l'enfance, la première fois où tu as réalisé qu'elle représentait une "anormalité". Quels sentiments t'ont travaillé, comment as-tu vécu avec, comment as-tu fait face ? Et pourquoi, comment, un jour, es-tu passé à l'acte ?

 

Sur le blog de Boby, tu as dû lire cet article touchant intitulé "identité homosexuelle". Il exprime des choses fortes et justes sur la façon dont face à ces sentiments naissants, on ne peut plus être guidé par ses propres envies, mais d'abord par le regard de la société, ou ce que l'on perçoit comme tel. C'est structurant souvent pour le reste de la vie, ou en tout cas pour longtemps. C'est un peu ce que j'avais appelé l'autre fois l'"homophobie intériorisée", qu'on a tous en nous, et qui fait que même moi qui vit avec un mec depuis 10 ans, qui assume ce statut de façon très libre et très ouverte dans à peu près tous les milieux où j'évolue, sans ostentation toutefois, m'abstient souvent de ce que tous les couples hétéros s'autorisent : un baiser dans la rue, une ballade main dans la main, un enlacement dans une piscine... Mais je m'éloigne de ma question. Tes premières fois... Merci d'avance de cette mise à nu. Oh!91

 

@Xelias et Oh!91 : Votre question me pose pas mal de probleme, paske ca remonte a un temps ou j'etais pas dans la conscience de mon ressenti. J'etais dans l'instinct. Le passage à l'acte. J'ai kiffé l'odeur, yavait moyen, je l'ai fait. Dis comme ça c'est rude et court. Donc je vais y penser encore. J'ai failli utiliser un joker, mais ça va j'ai trouver la voie. Fo juste un peu de temps.

J'en ai discuté avec Bob sur Msn. Il m'a dit un truc très juste (pour une fois lol), je le recopie avec son autorisation :

Bob dit :

Alors les premières fois... Comme la première fois que tu t'es tenu debout, la première fois que tu es sorti seul, la première fois que tu as embrassé une fillle... On ne garde pas trace de toutes ces premières fois...

Bob dit :

En fait, pour toi je pense, c'est une manière d'être de communiquer... Comme certains offrent un bouquin par débuter une amitié, toi tu offres ta queue à sucer... Je veux dire, ni plus, ni moins...

Bob dit :

Et en plus je pense, en ayant le sentiment de faire un très beau cadeau...

Bob dit :

Donc, je ne sais pas comment tu peux répondre... Tu n'as pas de souvenir marquant sur tout ça. C'est venu comme ça, à différentes occasions... Sans calcul, sans croix sur la cheminée...

Bob dit :

Ce que tu dois bien comprendre, pour comprendre leur question, c'est que pour un gay, la première fois (le baiser, la pipe, la sodomie, etc.) ce n'est pas seulement une première expérience. C'est une conquête, une victoire, un déblocage, une envie de hurler ce que l'on est... C'est un mélange d'exaltation et de souffrance. Car aussitôt l'énorme culpabilité "d'en être", d'être différent "des autres

Bob dit :

Tu comprends ce que je veux dire, ce qu'ils te demandent ? Et toi, ben tu comprends pas... Tu te dis "mais qu'est-ce qu'ils ont après ma première pipe ? Il y en a bien d'autres qui ont été meilleures..."

TU SAIS JE RELIS TON BLOG ...ARTICLE PAR ARTICLE ET....CA M A JUSTE RAPPELER UN TRUC "rocambolesque".
moi je me comprend et j esper que je me trompe.....a+

Un commentaire un peu long, pour une fois, mais j'aimerais réagir à tes idées sur les rapports homme/femme. Ce n'est pas polémique : ton texte ne l'était pas, tu précisais bien que c'est ta manière de voir les choses et que ça n'engage que toi. Mais bon, quand même, j'ai quelques remarques à formuler.

1. L'amour homosexuel est-il narcissique ?

Possible mais il faut commencer par voir qu'il existe des couples homo très différents : des jeunes avec des vieux, des actifs avec des passifs, des virils avec des éfféminés, des arabes avec des "céfran", des intellectuels avec des mannequins, etc. Et ce ne sont là que des clichés, il y a bien d'autres solutions ! Mais il y a aussi beaucoup de couples homo de mecs du même âge, du même milieu, du même profil : peut-être est-ce que c'est un amour narcissique.

Mais si on regarde les couples hétéro, ce n'est pas forcément mieux. Entre celui qui cherche une femme qui lui rappelle inconsciemment sa mère, celui qui en cherche une pour contrarier sa mère, celui qui a une très belle femme parce que tous ses amis l'envient... La psychologie et la psychanalyse n'a pas attendu les couples gay pour voir que "l'amour pur (ou abouti)" est très rare en ce monde.

2. Les hommes sont-ils de Mars ?

Ben non. La réponse est dans ton propre texte quand tu fais référence à la pression de la famille, des potes, du quartier. Dès qu'ils sont tout petits, on dit au garçon qu'il ne faut pas pleurer, que c'est "un grand garçon". Plus tard, au collège ou au lycée, attention aux blâmes des potes, aux injures de "pédé", "tafiole", "pédale" si on n'est pas assez viril, si on n'est pas assez macho avec les "meufs". Ca peut être très violent : c'est bien la preuve qu'il faut parfois être violent pour que les garçons acceptent le fait d'être de Mars (et les filles de Vénus : (je ne parle pas de ce que peuvent subir les filles trop masculines...). Cette répartition des caractères est le résultat d'une construction sociale, d'une violence sociale, et ce n'est pas quelque chose de naturel.

C'est ça, la réflexion sur les "genres" : on peut être un garçon mais doté d'une sensibilité "féminine", et on peut être une fille très "masculine". C'est distinction entre "féminin" et "masculin" est donc extrêment difficile à manier. De toute façon, pour tout ce qui concerne l'amour et le sexe, il n'y a plus rien de naturel chez l'homme. A part le fait que certains naissent avec un zizi et d'autre avec une zézette, tout le reste dépend du caractère, de l'éducation, du développement de chacun, de la manière dont il peut s'identifier à tel ou tel groupe, etc.

Les transgenres (ou transexuels) sont des cas extrêmes mais ils sont aussi la preuve qu'on peut naître avec un zizi et non seulement se sentir extrêmement féminin mais bien se sentir femme (ou inversement). Même le fait d'être homme ou femme est quelque chose qui peut être remis en question. Il y a donc le sexe (biologique), le genre (se sentir homme ou femme) et l'orientation (être attiré par les hommes ou par les femmes, ou par les deux, etc.). A chaque étape de sa construction personnelle, un individu peut être amené à prendre un chemin différent des autres (sauf s'il se fait tabasser d'ici-là...).

Et on peut même aboutir à des mecs rebeu mariés, macho, qui dominent de temps en temps des jeunes mecs pour s'amuser "entre potes" et qui en plus obéissent à un blanc qui leur imposent des "gages sexuels". il y a vraiment de tout dans ce monde !

Voilà, c'était ma petit contribution au débat (en attendant ma réponse lol).

Très brièvement.

Malgré ton soucis de l'anonymat, et ta crainte compréhensible d'être reconnu pas un proche... Si la confiance était suffisante, est-ce que tu accepterais d'aller au delà du virtuel avec un de tes lecteurs, en le rencontrant autour d'un pot, ou ailleurs ?