wajdi - le guerrier déchainé

 

        Je suis le frère sur lequel on peut compter kan on a besoin d'une couverture. Du moins kan il s'agit pour une de mes soeurs, de voir le bogoss qu'elle a dans la tête.

 

        Je suis partisan de la franchise et je préfère en general ke les choses se disent. Je n'aime pas mentir a mes parents par simplicité. Mais fo reconnaitre ke sur ce theme, sans mensonge, ya pas d'issue possible.

 

        C'est le drame de nos renps, je crois, de préférer k'on leur mente, plutôt ke de savoir. Kel manque d'ouverture ils ont sur nos fréquentations... Je trouve ke nous, les frères, on n'est pas obligé d'être aussi cons k'eux sur ce thème. Sinon, c'est évident k'en voulant se controler les uns les autres, on ne fait ke s'éloigner et se mentir.

 

        J'ai imposé a mes parents le choix de ma meuf avec laquelle je vis. Première pilule a avaler : elle n'est pas musulmane. Deuxième : il n'est pas question qu'elle se convertisse si c'est pas son desir. Troisième : on fait des gosses hors mariage. Quatrième : je ne suis pas sûr de circoncire mon fils, j'y réfléchis (mais j'ai droit à une question ou une allusion à ça à chaque visite).

 

        Dans mon style et mon assurance, ils sentent ke c'est à prendre ou à laisser. Ke j'entends pas les laisser diriger ma vie. En échange de ça, j'accepte de leur épargner mon kiff pour les meks. Ca les tuerait littéralement. Ils comprendraient pas. Aussi je sais ke je le nierais, même s'ils me surprennaient en train de défoncer un keum.

 

         C'est plus dur pour mes soeurs d'imposer leur vision de la vie. Je la trouve pourtant bien soft : "un mari ki m'aime et ke j'aime, des enfants...". La soeur avec ki je m'entends le mieux, on a ce lien ki nous rapproche. Elle sait que je la couvre dès k'elle veut voir son pelo. Ca m'a vallu la dernière dérouillée paternelle de ma vie (pour le principe) voir Les Rabzas en force !

 

         C'est elle aussi ki avait tout preparé, la premiere et la seule fois ou j'ai amené une fille a la maison, pendant ke les parents étaient chez des cousins. Elle m'avait parfumé les cheveux et les draps à la fleur d'oranger, je l'oublierai jamais. C'est elle aussi ki me faisait des tatouages au hénée sur la cuisse, avant chaque grand combat, à un endroit ki ne pouvait pas se voir sur le ring, mais ke ma meuf aurait le privilège de découvrir plus tard dans la nuit ou le lendemain. "Comme ça, tu déchireras deux fois !" elle me disait, avec toute l'affection et le sourire complice d'une soeur. 

 

         Qu'est-ce qu'on aurait été l'un sans l'autre ? C'est aussi elle, avec sa douceur et son équilibre, ki m'a un peu appris à parler. C'est elle qui m'a rassuré sur les femmes, sur leur sincérité, ke par dépit je ne voyais plus. "On est francs, elles sont hypocrites", c'est des paroles d'homme blessé...

 

          Dans la merde sociale où on était, on aurait pu se déchirer. Se battre pour les miettes comme des meskins qu'on étaient. Au lieu de ça, on a su se tenir par les coudes, même si là, j'idéalise un peu. Mais cet exploi-là (je le dis pour Walid et Samad) n'était pas dû au hasard ou la magie. On a su se voir tels qu'on était les uns les autres, différents, et respecter cette diversité dans la même fratrie, au lieu de fantasmer qu'on était tous pareils.

 

           Hymne aux corps libérés.

 

          Vous êtes belles mes soeurs et mes cousines ! kan vous laissez vos corps au naturel, bouger et ressentir au rythme de la danse ou de l'amour sauvage.

 

          A 26 ans, je peux me permettre de faire le grand frère maintenant : Vivez votre sensualité ! Laissez votre corps jouir et parler. Kesk'il ya d'haram là-dedans ? C'est l'Amour !

 

         Si vos frères vous font chier avec ça, c'est sûrement k'ils n'arrivent pas à prendre leur pied avec leur teub et leurs corps crispés. Conduisez-les vers la douceur, l'échange... Faites confiance à l'ouverture, au respect. Non pas au respect de principes débiles, incompris, mais au respect de Soi et de l'Autre. Tout le monde préfère la douceur du coton à un matelas de clous.

 

         Lorsque chacun et chacune aura libéré son corps au lieu d'en avoir peur. Le monde sera plus beau. Au nom de quoi j'interdirais à mes soeurs le plaisir et l'amour ? 

 

         La série de fotos en clin d'oeil n'est pas là pour choker ! C'est ma façon à moi de rendre hommage à ki vous êtes, mes soeurs et mes cousines, dans votre plaisir et votre sensualité. Vous les verrez peut-être comme des putes, mes frères, je les vois comme des femmes. Voir les photos de meufs arabes nues

 

 

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Jeu 1 fév 2007 11 commentaires
moi je prefere un metelas de bites lol.
je partage les meme idees que toi wajdi concernant les filles.
que dieu te garde ta soeur
kamel - le 01/02/2007 à 13h06
Salut,

J'ai découvert ton blog récemment en cherchant des photos de queue et des trucs pour m'exciter. Et puis j'ai commencé à te lire et je suis revenu pour autre chose, parce que tu racontes m'intéresse. Je t'ai mis en lien depuis deux jours et j'ai presque tout lu.

J'aime bien comment tu écris, j'apprécie ta forme particulière de franchise. Je voudrais faire un compliment que je lache pas facilement : tu me fais réfléchir. Alors merci et continue
Hélain - le 01/02/2007 à 21h30
Je continuerai. Pourquoi ça te fait réfléchir ?
WajDi
je reste sidéré par la qualité de ton blog, ta sincérité, ton honnêteté & surtout ton talent Tu as 1 véritable "plume" Je le mets tout de suite dans mes favoris, alors à bientôt
Yves - le 02/02/2007 à 16h34

Je suis l'aînée de 3 et je vis en coloc avec mon frère, alors ce que tu écris sur ta soeur me touche beaucoup. Je te tire mon  chapeau d'avoir su prendre du recul par rapport aux femmes. Je suppose que ce que tu vis de dualité dans ta chair explique ton chemin vers l'acceptation du plaisir, quel qu'il soit. Comme tu l'écris, prendre et donner du bonheur à l'autre ne peut pas être mal. C'est la religion qui veut induire la culpabilité et des normes. Mais nous ne sommes pas que des esprits. Nous sommes des êtres de chair et de sang, animaux avant tout, avec des pulsions parfois inexplicables.


Mon frère est un homme que j'estime énormément, loyal, respectueux en général, et des femmes en particulier. La pratique des arts martiaux, je suppose que ça complète un bon état d'esprit au départ.


Je pense, comme toi, que les hommes qui veulent brimer et contrôler la sexualité des femmes sont des non-sensuels qui ne voient le sexe que comme un rapport de force, pas un échange.


Tu écris bien, Wajdi. Tu as une aisance à décrire tes sentiments, avec des mots simples. Continue.


:)


 

Fiso - le 22/07/2007 à 22h01

Tu dois te demander ce que je fous ... lol


Hier, une femme avec laquelle j'avais une discussion personnelle - bien plus âgée que moi - m'a dit qu'en me parlant, elle avait la chair de poule. Que mon regard lui donnait des frissons. Elle a posé ses mains sur mes épaules, m'a prise dans ses bras et m'a embrassée, comme ma mère ne l'a jamais fait. 


Puis elle m'a dit : "Tu peux trouver les réponses aux questions que tu te poses, mais tu en feras quoi?  "Tout est dans ton corps, c'est là-dessus qu'il faut que tu travailles".


Son regard sur moi était plein d'amour. Elle voulait qu'on parle plus mais j'ai fui. Pas le courage, c'était trop violent. En reprenant le métro, seule, j'avais la gorge serrée. Je me suis forcée à écouter une musique qui ne laisserait pas de place à l'émotion. Pas là, devant tout le monde.


Alors,ce billet que je redécouvre, il résonne dans ma tête aujourd'hui, vraiment. Quelque chose s'est débloqué hier soir.

Fiso - le 04/09/2007 à 18h41

Il est sympa ton blog. Moi j'en ai pas mais puisque tu te plains de ne pas avoir de lectrices, j'ai pensé que peut-être tu aimerais lire ce qu'il y a dans la tête d'une meuf moderne. J'ai envie de poster ici un épisode de ma riche sexualité, même si je doute que ça excite beaucoup de tes lecteurs, qui sont homos pour la plupart. Ca m'excite moi, c'est déjà très agréable. On verra ce qu'ils en disent. J'attend ton commentaire aussi. 


Mon amant, je ne le vois que toutes les 2 semaines environ, mais depuis plusieurs années déjà. Même pendant le Ramadan, l’envie de me baiser le fait braver l’interdiction. La première année, il a craqué, depuis il n’essaie même plus de résister. Quand il vient me chercher à la gare, je ne dois pas le toucher jusqu’à ce qu’on soit chez lui. Il ne me touche pas non plus. Il dit que dès qu’il me frôle, ça le rend dingue et qu’il ne peut plus s’arrêter.

 



Dans la voiture, parfois, je désobéis et lui caresse la nuque pour le plaisir de le sentir tressaillir. Il exige que je sois en robe ou en jupe alors j’écarte un peu les jambes, il jette des coups d’œil anxieux vers moi. Je vérifie que son membre est déjà dur et merveilleusement moulé dans son pantalon.  

 



Arrivés dans son parking, je descend de la voiture et sens son regard qui détaille mes courbes et savoure déjà ce qui va suivre. Je monte l’escalier devant lui, lentement. Je sais qu’à cet instant, il a les yeux fixés sur mes fesses qui bougent en cadence et que l’envie de me pénétrer fait déjà monter une chaleur vibrionnante dans son ventre. Mais il aime prendre son temps. Avec lui, j’ai appris à savourer lentement les heures passées ensemble et à ne pas céder à l’envie impérieuse de le sentir bouger en moi.

 



Quand la porte de son appartement se referme, le rituel commence. Il installe des coussins sur le lit, le long du mur. Il nous sert un verre de vin, parfois du rhum et allume des bougies et de l’encens, pour couvrir l’odeur de la cigarette qu’il fumera lentement en me dévorant des yeux. Puis il s’installe de l’autre côté de la table basse, sur un pouf en cuir.

 



Moi je sais ce que je dois faire et je m’exécute, docile. Une tension délicieuse envahit mon bas-ventre et me tiraille les tripes.  J’enlève mes chaussures à talons et ma veste et je m’assois en face de lui, sur le lit. Parfois, je porte un décolleté plongeant, parfois une chemise en mousseline transparente. Il aime deviner mon corps. J’imagine sa bouche chaude et humide qui se referme sur l’aréole brune et dilatée de désir et je sens la pointe de mon sein se durcir instantanément à cette pensée. Assez vite d’ailleurs, il me demande de lui montrer mes seins. Je m’exécute, lentement, j’enlève les boutons un a un et mes seins blancs jaillissent de la dentelle, tout dressés d’excitation. Lui a libéré sa belle bite et commence à la caresser en me fixant. Je sens la salive envahir ma bouche au souvenir de sa douceur mais je contiens mon émotion.

 



Très vite, il me demande, d’un air suppliant : « Enlève ta jupe ». Je joue un peu les timorées, c’est un jeu entre nous. Quand je suis en string et en bas devant lui, je vois dans ses yeux que mon pouvoir augmente peu à peu. Son souffle devient court, il fixe mon entrejambe et dit « Montre-moi. S’il te plaît. » La première fois, j’ai été très gênée de sa demande. Je me suis exécutée, vaguement mal à l’aise, croyant que ça ne durerait pas longtemps et que, comme d’habitude, la pénétration viendrait très vite. Mais il a violé ma pudeur, sans concession ; il m’a admiré longuement, fixement. Il n’arrêtait pas de répéter que ma chatte était magnifique et charnue comme il aimait. Je ne m’étais jamais offerte comme ça au regard d’un homme. Avant de le rencontrer, je ne pensais pas être différente des autres femmes, et surtout, je ne trouvais le sexe féminin – donc le mien - ni beau ni laid. Peu à peu, devant son bonheur émerveillé, mon corps s’est relâché, mes jambes se sont ouvertes un peu plus pour le laisser me scruter et j’ai commencé à mouiller abondamment.

 



Aujourd’hui, je prends un plaisir inouï et totalement impudique à m’offrir à son regard. Je me sens belle devant lui. Magnifique, même. A chaque fois que j’ouvre les cuisses, la même émotion m’envahit. Il reste d’abord de l’autre côté de la table et fixe ma chatte en fumant une cigarette et en buvant un peu d’alcool. Il se caresse doucement en me souriant et plisse les yeux  en disant qu’il est ému de ma beauté.

 



Par moments, il vient déverser dans ma bouche le rhum qui a tiédi dans la sienne. Je bois le liquide de ses lèvres viriles, puis je prends possession de sa langue pour en sentir le goût de tabac. Il s’arrache à regret et retourne s’asseoir, en tirant sur sa cigarette de plus en plus nerveusement.

 



J’aime tout chez lui, sa peau d’une douceur incroyable, ses poignées d’amour attendrissantes, son odeur, sa bouche, sa voix chaude, sa bite fière et magnifique. Je pourrais l’embrasser, fouiller sa bouche et mordiller doucement ses lèvres pendant des heures.

 



Au bout de quelques minutes, il bondit vers moi, fébrile, et s’agenouille devant mes cuisses ouvertes en gémissant. Son souffle tiède et haletant fait frémir ma chatte et y met le feu. Il passe d’abord la pulpe de son doigt sur le contour de ma vulve soyeuse, tout doucement, comme sur une petite chose fragile et délicate. La première fois, il m’a demandé de m’épiler intégralement et depuis, j’y ai pris goût. Pour qu’il puisse me lécher partout où il le veut et que je sente sa langue dans les moindres de mes replis. Son regard émerveillé me bouleverse. Il parle d’une voix étranglée par le désir, me demande si je sais à quelle point je suis belle, et comme mes seins sont magnifiques. J’adore sa voix, elle m’excite déjà terriblement au téléphone. On ne se voit que toutes les 2 semaines environ et je me suis branlée souvent en l’écoutant me décrire tout ce qu’il me ferait à notre prochaine rencontre.   

 



Après m’avoir caressé avec dévotion, il pose délicatement sa bouche au creux de mon aine. Puis il passe son index sur la crête violacée de mes lèvres qui s’entrouvrent comme les pétales d’une fleur sous la chaleur du soleil. A cet instant, je sais que je mouille abondamment. Une fontaine de désir. Lui est heureux, comme hypnotisé. Il fait glisser son doigt de haut en bas de ma vulve mouillée et lèche son doigt en gémissant de bonheur et en me disant à quel point il aime mon goût et mon odeur.

 



Le moment où il referme ses lèvres sur les miennes me fait presque défaillir. Il tire doucement sur mes lèvres et les suce en me regardant dans les yeux. Il me demande de regarder ce qu’il me fait et comme il y prend du plaisir. J’ai du mal à le fixer à ce moment là. Je préfère me renverser en arrière sur les coussins et me cambrer sous ses coups de langue de plus en plus rapides et autoritaires. Il me lèche très longtemps, s’arrête régulièrement pour me regarder et jouer avec ses doigts partout à l’intérieur de moi. A ce moment-là, j’ai une envie folle qu’il me prenne, tout de suite. Je le lui dis « Prends-moi » mais il refuse, presque suppliant de le laisser me donner encore plus de plaisir. Nue devant lui, je me sens puissante. Je le tiens dans ma main, il est à ma merci, dévoué à satisfaire tous mes désirs. Il me demande souvent ce que je veux qu’il fasse, de quoi j’ai envie ; il dit qu’il fera tout ce que je veux. Alors je lui dis ce qu’il doit faire. Il effleure la pointe de mes seins de sa main puis sa bouche chaude les lèche et les mordille. Moi je mords ses épaules et son cou. Il se met debout et me présente sa bite, comme un trophée offert à ma sensualité. Je recueille d’abord du bout de la langue la goutte de semence qui perle sur son gland soyeux et vulnérable, débarrassé du prépuce. Il est entièrement épilé aussi pour que je le lèche partout. Je dépose des baisers légers sur son gland et son frein d’une douceur irréelle avant de les lécher puis sur toute la longueur de sa verge, longtemps,  en le regardant dans les yeux. Je sais qu’il aime me regarder le sucer comme une chienne lubrique. Quand j’ai le goût de sa queue partout sur ma langue, je l’enfourne dans ma bouche, d’un coup, en lui arrachant un cri de surprise. Il s’allonge sur le lit et je me mets à quatre pattes pour qu’il me caresse pendant que je le suce, j’adore ça. Ses doigts fins pénètrent, seuls ou à plusieurs, dans ma chatte dilatée de plaisir et sa main est toute mouillée. Je le suce longtemps, j’adore sentir sa bite au fond de ma gorge et l’avaler tout entière. Elle est longue et belle, on dirait qu’elle a été faite sur mesure pour ma bouche. Au bout d’un long moment de va et vient entre ma chatte, mes seins et sa queue, et plusieurs orgasmes pour moi – ça peut durer jusqu’à 1 heure – il donne enfin le signal « J’ai envie de te prendre maintenant ». La plupart du temps, je lui offre mes fesses, bien cambrée et écartée devant lui dans une des positions que je préfère. Je sens derrière moi son membre dur et chaud qui s’enfonce et me lamine. Il jouit très vite et lance un cri qui m’impressionne à chaque fois. J’aime ce mélange de virilité et de joie enfantine en lui. Sous ses mains et sa langue, j’ai pris conscience de ma puissance et de mon animalité. Il a fait de moi une femme.

 


Pauline - le 05/10/2007 à 14h41

      Disons pour l'instant ke ça m'a foutu une super trike. Du genre ki mouille un peu le tissu du jean et ki donne de la puissance à l'odeur de ma teub. En particulier le dernier paragraffe. Pour t'en dire plus, il fodra ke j'laisse murir un peu.

      Merci beaucoup en tout cas pour ce bo kado. J'attends ton nouvo passage avec impatience.

WajDi

Merci de ta bienvenue, Wajdi. Je me suis permis d'écrire sur ton blog parce que je le lis depuis quelque temps déjà, sans commenter, et que je regrette que tu ne parles plus de ton intimité. Je te sens comme quelqu'un de très sensuel, et tu me fais penser à "lui". J'aime comment tu parles des femmes et les encorage à se lâcher, comme lui l'a toujours fait avec moi. C'est rare de rencontrer ça chez un homme, de façon parfaitement sincère. J'espère que tu es conforme à ce que tu écris et que ce n'est pas juste un discours.


Ta façon de retarder les choses, de prendre ton temps, de tourner autour, c'est tout ce que j'aime ! Si tu as envie que j'écrive encore, dis-le moi, ce n'est pas de l'exhibitionnisme mais l'envie de te redonner envie ...

Pauline - le 06/10/2007 à 13h40

J'ai relu ton premier texte. J'aime ossi la confiance ke tu as prise en toi. Et le plaisir ke t'as à montrer ta chatte avec de plus en plus d'impudeur. T'as raison d'etre fiere de mouiller et d'etre sensuelle.

Ecris-moi encore. Et fous-toi de cke les otres ici pouraient te dire si ca les perturbe. Avant de te repondre sur le meme ton, j'ai envie de te connaitre plus.

WajDi
Moi ça m'a bien excité ce texte!!
Biz et bienvenue
Yohan - le 08/10/2007 à 00h13

Qu'elle est forte cette liqueur distillée par Pauline ! Elle parle à mes 5 sens et fait plus que me séduire.  


A boire avec précaution sous peine de mort subite.

Dan-Oméga - le 09/10/2007 à 23h10
un mec bien en somme je te decouvre ..;23ans,boxeur; 26 ans dans ce dernier article :ce blog fonctionne encore?tu y es souvent dessus en verité?         a.ahlin@hotmail.fr
alexandre - le 28/12/2007 à 19h09