wajdi - le guerrier déchainé
T'as 18 ans, tu te tiens mal, tu dors beaucoup et le reste du temps t'es effondré devant msn ? Tu sens surement plus trop ton corps. Ses…
Lun 18 fév 2008
22 commentaires
Merci Zarxas de nous faire partager ton expérience et de prendre le temps de développer cke j'essayais d'expliker dans le post.
J'suis d'accord avec toi sur le fitness et la muscu kan elle est utilisée comme un but plutôt k'un moyen. C'est nul. Pour le reste tout est bon tant ke ca te plait et te fais sentir ton corps.
J'suis d'accord avec toi sur le fitness et la muscu kan elle est utilisée comme un but plutôt k'un moyen. C'est nul. Pour le reste tout est bon tant ke ca te plait et te fais sentir ton corps.
WajDi
y a 2ans ca morait bien aidé a lire je pense!
K - le 04/08/2010 à 15h55
Ça fonctionne plutôt à lŽenvers : la bagarre tŽaide à faire la paix avec toi-même, ce qui est une condition nécessaire pour être en paix avec les autres.
Un corps flexible et fort rend lŽesprit flexible et fort.
LŽurgence de lŽinstant dans la lutte tŽoblige à agir libre des pensées, des jugements, de lŽimage que tu as de toi-même ou que les autres tŽimposent.
En entrant au dojo, tu te libères du corset qui étouffe ta vie. Tu te libères des mensonges, et putain, que cŽest bon !
Tous pareils, le même kimono blanc, ou short ou autre selon le sport, mais enfin pareils, égaux. LŽunique différence, tu te la gagnes véritablement selon la capacité, les efforts, lŽexpérience.
Tu apprends à être ridicule, et te le pardonner, à être agressif, et à te le pardonner. A être sublime, et ne jamais te la péter parce quŽil y a toujours quelquŽun pour te remettre à ta place. A voir tout ça chez les autres, et le leur pardonner, de même quŽils te le pardonnent.
Tu te trouves enfin pour la première fois avec des gens qui tŽacceptent tel que tu es. Qui te connaissent mieux que quiconque, et réciproquement.
Voilà du moins ce qui fut mon expérience, et de tous autour de moi. Les amitiés faites au dojo sont parmi les plus solides que jŽaie. Elles ont résisté aux années, aux changements de pays. Elles sŽapprofondissent avec le temps.
JŽtŽai déjà dit chez toi : tu me rappelles tellement moi-même à ton âge. Alors, jŽose espérer que partager avec toi ce morceau de ma vie puisse tŽaider à ta libération.