wajdi - le guerrier déchainé
Si ya bien un plan où ma meuf ressemble à ma reum, c'est son incapacité à etre tendre avec moi kan je suis fragile. Ya pas si longtemps,…
Jeu 6 mar 2008
12 commentaires
serieu jtrouve dommage elle face ca comme ta reum! c t loccaz pour toi de rattraper le coup ske ta mere ta jamai donner kel te donnera pas mais ke d'une certaine maniere tu attend tjrs! jesper ta meuf va evoluer sur ce point; c jamais facile de trouver kelkun ki soit la pour les moment ou on est fragile, fo ce soi la personne ke tu sais elle te respecte, pour pas te juger, juste te prendre dans ta faiblesse, te reconforter, t'accompagner juske t'aille mieu et apres ne pas en parler ni utiliser ces instants
jesper elle rempli ce role a present ou ke ta trouver kelkun ki le fasse c grave important pour ne pas en avoir dieu sais k moi ca mank!
RDV au prochain post
K - le 04/08/2010 à 17h07
Il changea de rythme et décida de s'intéresser à mes couilles. Peut-être réalisa-t-il qu'elles étaient pleines et prêtes à se vider d'un bon miel bien juteux !
Il se mit à me lécher consciencieusement... Je me levai, regarda à mon tour si personne ne venait - on se serait cru seuls au monde - et le poussai entre mes jambes... J'avais vite retiré mon survet et mon caleçon pour qu'il puisse être à l'aise...
Bien accroupi entre mes cuisses, il se mit à me brouter toute cette partie super intime, celle située entre les couilles et le trou de mes fesses... Ce petit triangle des Bermudes me fait perdre la tête, autant quand on l'atteint sur ma personne que lorsque je le découvre chez un mec...
Je l'orientais plus précisément vers cette zone, ô combien érogène... Moi aussi, je gémissais ! Je pouvais voir son membre super bandé et ce spectacle m'excitait encore plus...si c'est possible !
Prenant sa main, je le fis se relever et je l'amenais près de la fenêtre... il marchait mal, entravé par son jean à hauteur de ses genoux !
Le paysage défilait à toute vitesse dans la nuit... Je me sentais seul au monde avec cet homme anonyme dont je ne connaissais même pas le timbre de voix !
Je l'obligeais à se courber un peu, pour mettre en valeur ce cul musclé que je pouvais maintenant découvrir et admirer... Imberbe, rond et bien ferme, je ne pensais qu'à le pénétrer, mais je pensais que j'avais le temps...
Je m'agenouillais et je décidais de zoomer ce cul... j'écartais ses deux belles montages pour scruter ce petit trou,aussi rose que ses lèvres...
Ma langue fut aimantée par ce petit trou et je me mis à lui bouffer son cul... Je ne le mangeais pas, je le bouffais littéralement... Je ne fus rassasié qu'après de longues minutes, lorsque ma bite trop mouillée me rappela à l'ordre pour lancer l'offensive finale...
Je revins vers mon sac, posé sur la banquette près de ma place, et sortis rapidement un préservatif, toujours placé dans la petite poche intérieure...
En un tourne main, il se retrouva à la bonne place et ne pus m'empécher de gouter à nouveau à ce délice... avant de le pénétrer d'un coup, sans sommation d'usage...
Il poussa un cri lorsque mes 22cms furent déjà au fond de lui... Je ne pensais qu'à une chose : lui donner de grands coups de bite et lui faire mal : il gémissait, murmurait des mots d'amour, susurrait des je taime, et se retournait de temps en temps pour guetter mon plaisir qui devait se voir sur mon visage !
Je ne fus pas longtemps à jouir tellement j'étais excité... J'agrippais ses fesses avec les mains et je le baisais... Lorsque ce miel sortit de ma bite, je criais à mon tour... La nuit m'enveloppait autant que mon plaisir...
Les spasmes me jetaient dans une autre dimension ! Mon algérien ressentait les soubresauts et criait de plaisir... On était seuls au monde !
Lorsque la vague de plaisir s'estompa, je me retirai de ce trou chaud et tellement hospitalier avec un soupir d'aise...
Il releva son caleçon, remit son jean, me fit un bisou sur la joue et quitta mon compartiment...
Je ne le revis plus jamais !